Dream Land Infinity RPG
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 Et il leur offrit un regard qui disait tout. Il disait: "Non mais arrête de manger ton maïs horizontalement comme un barbare faut le manger verticalement, plébéien. Non mais." (finite)

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Et il leur offrit un regard qui disait tout. Il disait: "Non mais arrête de manger ton maïs horizontalement comme un barbare faut le manger verticalement, plébéien. Non mais." (finite) Empty
MessageSujet: Et il leur offrit un regard qui disait tout. Il disait: "Non mais arrête de manger ton maïs horizontalement comme un barbare faut le manger verticalement, plébéien. Non mais." (finite)   Et il leur offrit un regard qui disait tout. Il disait: "Non mais arrête de manger ton maïs horizontalement comme un barbare faut le manger verticalement, plébéien. Non mais." (finite) I_icon_minitimeDim 4 Mai - 16:27


Nom et Prénom
Une petite citation
Ton personnage...
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Et il leur offrit un regard qui disait tout. Il disait: "Non mais arrête de manger ton maïs horizontalement comme un barbare faut le manger verticalement, plébéien. Non mais." (finite) IMAGE 200*400


Nom : Coots
Prénom : Joseph
Surnom : Coots
Age : 26 ans
Sexe : Homme
Où habites-tu ? : Marseille, anciennement New-York
Activité : Barman
Ton histoire...
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♠ Description Physique : Coots est grand.

Non, vous comprenez pas. Il est très grand. À 2m10, il a gagné l’habitude de se pencher pour éviter les cadres de porte. C’est dire ! J’ai littéralement besoin de spécifier ça dès le début. Il est grand. Avec un grand G. Pas qu’il est juste une échalotte, mince et laid, au moins il est athlétique, et relativement musclé. Un peu d’entrainement ici et là, juste pour éviter de s’atrophier. Son teint de peau est le classique teint du sud des Etats-Unis, ou, autrement dit, la peau blanche pendant vers le brun. Normalement on pourrait même parler de peau olive. Notez que la peau blanche de l’avatar c’était pour le swag et le look artistique.

Yé souis oune artiss’, voyez-vous.

Après ça, on peut commencer par décrire Coots avec ses cheveux – courts, bruns, avec quelques petits cheveux blancs ici et là, avec une mèche particulièrement tenace au top du crâne, qui ne veut pas être domptée. Il a beau essayer de plaquer un putain de gallon de gel pour sculpter son chevelu, il arrivera jamais à vaincre la putain de mèche. Coots a des yeux rouges sanglant (c’est pas du vrai sang, mais comme couleur, c’est tout comme) et un nez aquilin, qu’on aurait peut-être comparé à un bec d’aigle si il se tenait avec assez de personnes pour qu’on essaie de décrire son nez. Une bouche normale en dessous de son nez, qu’il garde souvent fermée. Quand t’es muet t’as pas grand chose à dire, donc tu te la fermes. Il porte les favoris longs et larges, ainsi qu’un petit bouc bien rasé. Si il a pas envie, par contre, il peut la laisser pousser, sa barbe. Ça donne une petite broussaille piquante.

Ah oui, parlons de ça. Muet. Totalement. En regardant plus bas de son visage, on peut comprendre pourquoi. Une grande cicatrice cousue et à l’apparence douloureuse est positionnée horizontalement dans son cou. Le fait est que ses cordes vocales ont été enlevées de son cou de façon relativement brutale quand il était plus jeune. La raison pour cet acte sera dévoilée dans son historique. Va falloir être patient.

Tiens, pendant qu’on y est, pour les marques associées au passé de Coots, on peut parler de ça aussi – le dos et les bras de Coots sont recouverts de cicatrices et de tatouages rituels. Ça commence en haut du dos, pour descendre à gauche, remonter à droite, et arrêter dans le dos du cou. C'est noir, ça ressemble à une ligne du temps, et c'est sans doute symbolique mais Coots a jamais vraiment essayé de les comprendre. Leur application fut des plus douloureuses, vous pouvez me croire. Mais encore une fois, il faudra attendre pour savoir pourquoi ils sont là.

Finalement, on pourrait parler de ce que Coots porte. Juste pour s’assurer qu’il se promène pas à poil dans les rues. Il s’habille comme il veut, c’est un grand garçon, mais intéressons-nous aux vêtements que je lui foutu sur l’avatar, si vous y tenez tant. Un chandail olive (plus olive que son teint tout de même) porté sous une chemise cowboy rouge enjolivée de coutures blanches trop mignonnes qui font des petites fioritures autour des manches et dans le dos, et d’un col beige en coton. Il porte aussi des jeans délavés et des chaussures de course standard.

Bon, c’est tout. Tout y est.

♠ Caractère : Avec le mutisme, Coots a toujours eu un peu de difficulté à s’exprimer normalement. Par conséquent, l’armeloque est plus introverti qu’extroverti.

Coots est un homme discret. Discrétion complexe à cause de sa taille, je vous l’accorde, mais il réussit toujours à ne pas attirer trop d’attention. Difficile à approcher amicalement, vu son recul (ou son indifférence, à vous de voir) envers les gens qu’il connaît pas, Coots est toutefois très amical une fois la barrière franchie. Et vous êtes mieux de pas blesser les personnes à qui il s’attache si vous voulez pas finir en charpie. Le problème avec le mutisme c’est que parfois, c’est plus facile de s’exprimer physiquement. Ce fait est particulièrement vrai pour Coots quand il ne t’aime pas.

L’amerloque est aussi un homme de culture. Préférant le silence au bruit, Coots a l’habitude de s’éloigner de toute source de bruit trop bruyante pour ses petites n’oreilles. Il reste malgré tout des exceptions. La musique, par exemple. De tout, et de fond en comble, il pourrait écouter n’importe quelle chanson, ça le surprendrait pas. Il a aussi tout entendu alors ça sert à rien d’essayer de lui faire découvrir quelque chose. Il en est de même pour les livres, les peintures, et tout art classique. Aussi, si il considère que la voix d’une personne est assez mélodique, il pourrait rester là à l’écouter longtemps, même si on lui lisait l’annuaire téléphonique.

Vous vous demandez pourquoi j’appelle pas Coots par son nom, Joseph. Simple préférence, honnêtement. Pas qu’il déteste son prénom, juste qu’il préfère la sonorité de son nom de famille. Et puis, tout le monde l’appelle comme ça tout le temps, par habitude, alors pourquoi essayer de sortir son vrai nom dans une conversation ?

Finalement, il est important de dire que Coots étant anciennement catholique. Pourquoi anciennement ? Parce que lisez l’historique bande de vous et vous verrez pourquoi, non mais. Le fait est qu’il n’est pas pratiquant ou zélé, mais il a l’habitude de faire une petite prière muette ou de se dire nom de dieu dans la tête. Choses mineures, quoi. Il croit plus nécessairement à la présence d’un petit vieux jugeant tout nos péchés dans le ciel, mais sur un point, il a de la difficulté à traverser la frontière.

Coots est un homosexuel. Pas que ça le définisse, mais il s'assume pas trop, en fait. La simple raison est celle-ci – si dieu aime pas les homosexuels, faudrait mieux ne pas en être un. On a beau ne pas être catho, ça laisse quelques marques. Celle-ci est la plus chiante du tas. Pas assumer sa sexualité c’est le mal. Au moins, y a du développement de ce côté : Coots commence à lentement mais sûrement assumer qui il est. Mais il est qu’au début du chemin, ça va peut-être prendre plus longtemps.

♠ Histoire : Coots, prénom Joseph, est né dans une petite chapelle d'un culte de charmeurs de serpents catholique dans les plaines de l'état de Tennessee. Aussi romantique que ça puisse avoir comme sonorité, c'était loin d'être avec une cuillère d'argent dans la bouche qu'il est né. Alors qu'il prenait son premier souffle, une éclipse apparaissait en haut de sa tête. Cet événement était tout à fait au hasard, mais c'était assez pour planter une graine de folie dans la tête du leader du culte, le père de Coots, et il a rapidement décidé que son fils était le messie. Ou un ange. Ou quelque chose d'autre. Coots s'en ai toujours un peu foutu. Depuis le temps il avait autre chose en tête. Comme essayer de s'enfuir.

J'irais pas jusqu'à dire que les tentatives furent réussites, mais au moins il a essayé.

Ça a commencé lentement. Éloigné des autres enfants "moins nobles", il était soi traité aux petits oignons, soi saigné comme un cochon pour son sang "mystique". Bien sûr, il n'y avait rien de spécial dans son sang, mais ça semblait leur faire plaisir de le saigner de toute façon. C'est durant une session de saignement que le chef de culte a décidé de lui enlever les cordes vocales (elles étaient considérées comme impures, capable de faire passer des messages peu catholiques, et donc inutiles pour un messie).

Le traitement offert à Coots était bipolaire, pour ainsi dire. D'un côté, il était considéré comme une divinité, oui, mais de l'autre, ça n'avait pas empêché les membres du culte un peu plus vils d'abuser physiquement, psychologiquement, et sexuellement du jeune garçon.

À un point où il était assez vieux, il participa à une des traditions les plus brutales de ce culte. Tout simplement, l'application d'un tatouage dans le dos, marquant la divinité qui vivant dans l'individu, en utilisant des cendres et des coupes avec un couteau. Vu la supériorité divine imaginée par les membres du culte, Coots eut le droit à un traitement total. La majorité de son dos et fut cicatrisés rapidement. Après, c'était le tour de ses bras. Finalement, le cou eut le même traitement.

Après ça, on le traitait aux petits oignons. C'est à ce moment là (il apprit plus tard que c'était à ses sept ans) que Coots apprit à écrire et à lire (la bible, petite lecture légère pour un enfant, n'est-ce pas?) Coots était surtout choqué par la foi, la croyance que les membres du culte avaient envers lui, lui qui n'était qu'un jeune garçon comme les autres, lui qui, à part avoir vu une éclipse lunaire en même temps qu'il soit né, n'avait rien de spécial. Cette foi était traumatisante, véritablement monstrueuse. Le jeune pensait que c'était fini, qu'il allait rester là toute sa vie, et qu'il n'en sortirait jamais. Enfin, il serait pas rendu à Marseille si il était pas sorti donc vous pouvez vous douter de la véracité de ce fait.

Le gouvernement avait entendu parler de ce groupe il y a quelques années. Les médias avaient fait leur recherche de leur côté. Après avoir découvert le traitement que les cultistes offraient à Coots, il fut rapidement retiré de la chapelle. Il avait huit ans. Tout ça devant les caméras, sur toutes les chaines. Ça s'est connu partout dans le monde - oui, quelque part, peut-être pas loin de chez nous, des humains se rabaissaient dans la poussière et la violence pour un idéal si éloigné et si distant qu'un dieu. Ces huit ans d'enfer pour Coots lui valurent un petit reportage.

Ça a pris jusqu'à douze ans pour le déprogrammer et le rehausser à niveau pour qu'il puisse au moins essayer de réintégrer la société normale. Mais les écarts étaient larges. En premier, les cauchemars (dans lesquels le culte revenait le chercher constamment, ou dans lesquels il se retrouvait enchainé au trône où il avait été traité aux petits oignons auparavant, alors qu'une lumière divine le brulait pour ses péchés) qu'il faisait durant la nuit le faisaient suffoquer et pleurer, et par ce fait, il passait de maison d'adoption à maison d'adoption. Il fut finalement mis dans un orphelinat catholique, où, encore une fois, sa phobie reprit le contrôle de sa vie - entouré de signes religieux et de prières à longueur de journée, il était constament paniqué et névrosé, incapable de se concentrer sur quoi que ce soit.

Sa peur de tout ce qui s'approchait du divin le poussa donc, à 16 ans, à fuir le plus rapidement possible l'école où il était pour aller vivre à New-York. Là au moins, il serait plus en paix, éloigné le plus possible de ces états du "bible belt" du sud, si attachés à la foi et à leur dieu, qu'il fallait regarder avec peur et confiance. Coots considérait que si il avait le choix, il préfèrerait ne pas l'avoir dans sa vie du tout.

Sans compter qu'il avait ces... Pulsions. Sexuelles, bien sûr. Envers les hommes. C'était un péché, il le savait, mais il ne pouvait pas vraiment s'empêcher d'y penser. Au final, il réussit à se justifier - si Dieu n'avait pas voulu d'homosexuels sur terre, il n'aurait sans doute pas laissé ça à la chance. Car après tout, il n'avait certainement pas décidé qu'il préférait les hommes. Ça venait naturellement. C'est à New York qu'il vécut ses premières expériences sexuelles. Il se trouva aussi un emploi dans un bar en tant que barman. Juste quelque chose pour réussir à survivre.

Malgré les lacunes d'éducation de Coots, il restait avide de toute forme de culture, d'éducation, et d'art. Visitant le plus de musées, le plus de galleries d'art, de spectacles, d'ateliers d'écriture, et de salles de présentation, Coots a lentement remonté la pente, mais aussi travaillant le plus possible avec ses mains, en plomberie, en travail de construction, et en sculpture, accumulant des connaissances plus pratiques que techniques.

Avec les années, malheureusement, on avait commencé à retracer son apparence au jeune garçon qui avait vécu dans le culte (personne qu'il essayait autant que possible à effacer de son passé), et l'espace se faisait entre tout le monde et lui. Il fallait refaire une distance entre lui et son passé, qu'il fuyait le plus possible. Et puis, ces cauchemars, constants et de plus en plus symboliques... Oui, il fallait changer d'environnement.

Premier avion pour la france, allez-simple.

Venant juste d'arriver à Marseilles et de se trouver un appartement quelque part, Coots ne savait pas trop quoi attendre. Enfin, on verra bien. Après tout, avec ce qu'il a vécu, il est pas mal près à combattre n'importe quoi.

♠ Dreamland : C'est récemment qu'il a réussit à combattre sa phobie.

C'était un de ces rêves comme les autres - il se retrouvait dans son corps d'enfant, et était incapable de fuir alors que les membres du culte envahissaient sa chambre, le réhabillaient dans ses haillons rituels, et était kidnappé pour il ne savait pas quelle destination, équivalente à la mort. Il était enchainé à un autel rituel, en haut d'une petite colline, où une lumière divine le jugeait, le brulait, l'empêchait de s'enfuir.

C'est là qu'il a craqué.

Il ne supporterait plus ce qu'on le forçait à vivre plus longtemps. Plus de religion. Plus de croyance. Il en avait assez de cette présence dans sa vie. Au diable la foi envers un dieu, il avait gagné, au fil des années, une foi personnelle plus puissante que tout. Cette ardeur de confiance brula à travers les chaines qui le retenait. Il se leva, son corps vieillissant rapidement pour arriver à son corps présent, à 26 ans d'âge. Se dégageant de ses vêtements, il se leva de l'autel, et sauta directement dans la lumière, poing préparé à frapper. Son coup toucha la lumière, brulant la main de Coots avec une ardeur divine. Et soudainement, la lumière explosa comme une ampoule.

Dans la noirceur, Coots se sentait soudainement libéré d'un poids qui avait été extrêmement lourd. Et puis, soudainement, une lueur explosa de son corps, illuminant les environs. Autour de ses mains, les chaines restantes se transformèrent lentement mais surement en chapelet, entourant les bras du jeune homme avec une chaleur surnaturelle, comme si il avait tenu les perles longtemps, les imprégnant de sa chaleur.

Libre de sa phobie, il était maintenant libre de visiter Dreamland.

J'aime -
1. Le silence
2. Un bon vin
3. La musique
4. L'écriture
5. LE SILENCE
Je n'aime pas -
1. Le bruit
2. Dieu
3. Le passé
4. Les médias
5. Les serpents

- Phobie : Théophobie, ou peur de dieu. Phobie souvent associée à un traumatisme, elle constitue à la peur d'une foi religieuse ou d'une divinité puissante qui juge les autres. Pour cette raison, elle est plus souvent associée au christianisme ou à l'islam qu'autre chose. Plus précisément pour Coots, il s'agit de la peur de ce que les hommes sont capable de faire quand ils croient en une divinité. On pourrait dire qu'il a peur des croisés et des zélés au final, mais il a aussi peur de dieu dans le sens qu'il a peur que dieu le juge pour ses erreurs et ses péchés.

Enfin, c'était le cas avant qu'il ne s'Éveille dans Dreamland. Maintenant ça va mieux.

- Pouvoir : Coots est un contrôleur de Foi. Il peut activer une mentalité de Foi Divine, qui a deux effets autour de lui. En premier lieu, Coots est mentalement augmenté: il devient plus alerte, ayant accès à un sixième sens, gagne une bonne dose de confiance en soi, et a une meilleure résistance à la douleur. D'un autre côté, les personnes hostiles touchées par Coots deviennent moins motivés à l'attaquer - les plus faibles mentalement se prosternent devant le "Messie", et les plus forts (joueurs et PNJs puissants) ont une seconde d'hésitation avant de frapper Coots. Ce qui est parfois assez pour qu'un combattant avec de l'expérience puisse retourner le combat à son avantage.

- Objet magique : Coots a gagné un petit Chapelet, qui, pour l'instant, reste sans nom. En récitant mentalement un certain nombre de prière, Coots peut métamorphoser le chapelet en divers objets, comme des armes ou de l'armure.

• Le personnage sur ton avatar : Original, yé soui oune artiss'
• Rang spécial désiré : GEARS (en rouge) - Bordel comment tu communiques avec un muet (en noir)
• Code du règlement :

Derrière l'écran...
-----------------------------------


• Prénom ou pseudo: Klaus
• age: 22 semai-(shot'd) mois-(shot'd) ans.
• comment as-tu connu le forum ? C'est la faute à caribou
• Connais-tu Dreamland ? sommairement, j'avance lentement dans le manga
• Depuis quand fais-tu du rp ? en ligne, 6 ans. IRL, une dizaine d'année.
• Des critiques sur le forum ? pas pour l'instant mais je vous le ferai savoir. niek niek niek.
• Une remarque ? Je sais mettre mon pied derrière la tête, regarder! Ah, non non nONONONON-(meurt)



Dernière édition par Coots le Mar 6 Mai - 0:36, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Et il leur offrit un regard qui disait tout. Il disait: "Non mais arrête de manger ton maïs horizontalement comme un barbare faut le manger verticalement, plébéien. Non mais." (finite)   Et il leur offrit un regard qui disait tout. Il disait: "Non mais arrête de manger ton maïs horizontalement comme un barbare faut le manger verticalement, plébéien. Non mais." (finite) I_icon_minitimeDim 4 Mai - 21:07

Finite, à vous de jouer, staff o3o
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Chupah
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Surnom : Chupah
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MessageSujet: Re: Et il leur offrit un regard qui disait tout. Il disait: "Non mais arrête de manger ton maïs horizontalement comme un barbare faut le manger verticalement, plébéien. Non mais." (finite)   Et il leur offrit un regard qui disait tout. Il disait: "Non mais arrête de manger ton maïs horizontalement comme un barbare faut le manger verticalement, plébéien. Non mais." (finite) I_icon_minitimeLun 5 Mai - 18:08

Hellow !

Alors alors...Déjà j'aime beaucoup ton personnage il est très original (même si je trouve que les favoris ça fait un peu dégueulasse) !

Y a de la qualité dans cette prez mais aussi de la quantité. Donc bref, ça me va parfaitement. L'histoire est très prenante et surtout, elle n'est pas racontée comme un RP, ce que font souvent les gens.

Tout est donc bon, je valide Cool
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