Ton histoire...-----------------------------------
♠ Description Physique :
Ma description physique ? Mais pourquoi ? Vous voyez déjà ma tête et mon corps de gringalet, non ? Hein ? C'est pas facultatif ? Pff... Bon... Non, me frappez pas, je vais vous la faire jusqu'au moindre petit détail -même mon grain de beauté en forme de Mickey Mouse sur une de mes cuis... Merde. J'aurais jamais dû dire ça...- Comme beaucoup de japonais -quoique je suis métissé, mère française et père japonais-, je ne suis pas très grand, environ dans les 1m67 et vous pouvez toujours courir pour avoir mon poids, j'aime pas parler de ces choses-là. De toute façon je ne suis pas bien gros mais pas maigre non plus, quelques muscles apparaissent de manière subtile mais pas mal à mon goût -et à ceux de mes ex. Je suis loin d'être le beau mec barraqué, quoi, même si je pratiquais pas mal de basket dans un club au collège. Depuis un certain temps, j'ai décidé de me teindre les cheveux en bleu, en ayant marre de leur couleur brun clair naturelle -c'est pas légal au lycée, l'éducation japonaise est très stricte sur la tenue des élèves, mais comme j'ai quitté le collège... Affaire à suivre- allant de paire avec mes grands yeux de la même couleur. Ouais, ils sont grands. Ca me donne un air mignon, paraît-il, avec mon visage un peu rond en bonus. Moi, j'en sais rien, je trouve pas... Ma peau est naturellement très pâle. Je souris régulièrement. Au niveau des tenues vestimentaires, j'aime m'habiller comme je le souhaite. Réflexion étrange, certes, mais lorsqu'on a passé une bonne majorité de sa vie à porter un uniforme, on prend bien plus de plaisir à s'amuser lorsque l'on s'habille dans la vie de tous les jours. Enfin, ça ne m'empêche pas de porter de temps à autre l'uniforme du lycée où je devais m'inscrire, histoire d'aller me faire un cercle d'ami auprès des lycéens -ou d'aller voir les filles qui craquent devant ma bouille d'ange. Ce n'est pas de l'égocentrisme -en fait, je m'en fiche- mais plutôt une constatation: quand tu entends régulièrement des "kawaii !", il y a des questions à se poser. Je porte des lunettes lorsque que je bosse sur mes bouquins ou quand je suis en mode travail sur n'importe quoi et... que dire de plus ? Je vois pas. En fait, je crois que j'ai terminé. Puis sérieusement, j'ai l'impression de vendre mon corps, j'suis pas un objet...
♠ Caractère :
Où devrais-je commencer...
... Je ne suis pas un trouillard, mais je ne suis pas non plus un homme très courageux. J'aime autant mon confort et les imprévus de la vie. Après tout, je ne suis qu'un écrivain, qui ne fait rien d'autre que jouer avec les mots, composer des séries de romans que les gens semblent apprécier. Les péripéties que je vis ne sont que fiction depuis le départ, écrites sur papier. La routine s'est installée très vite, et on peut dire que je m'ennuie très facilement en ayant la flemme de faire un effort pour tout changer. Parfois, un évènement me fait réagir et je me laisse porter sans rien faire. Ouais, je suis un gros flemmard, un peu comme un shaman. On m'a souvent demandé si je comptais suivre le rythme de vie d'un moine shintoïste. Ce que j'ai répondu ? Pas grand chose, une vague réponse du genre "Mouais, je sais pas...". Finalement, j'ai finis par me bouger un peu et devenir un écrivain, mais vous saurez tout plus tard sur ce point, c'est pas ici qu'il faut en parler.
Depuis tout petit, j'ai toujours été entouré de beaucoup de gens. J'avais, j'ai et j'aurais toujours peur de la solitude, un effroi bien plus grand que la normale. Du moins, dans le monde réel. En fait, je vous ai montré mon caractère habituel, quand je ne suis qu'avec certaines personnes en particulier. Parce que quand je me retrouve au milieu d'une foule, en public ou une bande de potes, je suis totalement différent: je deviens très souriant, mon air blasé disparaît et je discute beaucoup, joyeux. En fait, c'est dans ces moments-là que je suis le plus actif et c'est pour ça que je faisais partie des personnes les plus populaires dans les établissements scolaires que j'ai fréquentés. En ce qui concerne les petites amies, j'ai beau avoir l'air d'être un type qui sort avec pas mal de filles à cause de sa bouille "trognonne", ce n'est pas le cas: en fait, je suis plus du genre à analyser les personnes avant de décider de les fréquenter. C'est la même chose avec mes vrais potes. Les autres, je les laisse bien entendu m'approcher mais ce ne sont que des figurants sans importance à mes yeux. Ouais, je suis pas sympa, je sais, mais on peut pas être pote avec tous le monde.
On peut parfois me considérer comme quelqu'un d'hypocrite, ce qui est en partie la vérité. Disons que je ne suis pas du genre à foncer et balancer ce que je pense à une personne qui me déplaît. Ca ferait une personne en moins dans mon entourage, et vous savez maintenant que j'aime être entouré du plus de gens possible. Je suis un mec plutôt maladroit, je ne compte pas les fois où je priais de m'acheter des nouvelles mains, j'arrête pas de tout faire tomber, c'est chiant. Du coup, c'est une des raisons pour laquelle je déteste travailler et préfère glander: chaque petit boulot se soldait en échec total parce que je foutais tout en l'air à cause de ma maladresse. On va dire que j'ai de la chance de faire un boulot que j'aime qui nécessite pas du travail manuel, juste d'un pc et taper sur les touches du clavier. Enfin, faut pas croire, j'ai bossé comme un dingue pour en arriver là. La passion, c'est la seule chose qui me fait vraiment bouger, car elle est rare chez moi. Ouais, ça m'arrive d'être un gars passionné, j'suis pas un mec avec des yeux de poisson mort sans volonté.
Oh, une dernière chose: dès que j'ai trouvé quelqu'un que j'apprécie, j'ai tendance à le/la coller, d'après mon meilleur pote. D'où mon surnom de Patafix. Beaucoup de filles m'ont quitté parce que je les étouffais. Trop affectueux. Et j'suis aussi un type vachement jaloux et plutôt sentimental dans le fond.
♠ Histoire :Allez... Place à l'autobiographie, maintenant... Heureusement que j'aime écrire.
Je n'ai pas grand chose à raconter. Dix-sept ans d'existance, c'est plutôt court, vous savez.
Je suis né d'un père japonais et d'une mère française dans un foyer respectable et insouciant. J'étais un gamin joyeux et plein de vie, toujours entouré de beaucoup d'autres enfants dès mon plus jeune âge. Bien entendu, le fait d'être métissé était à la fois mal vu et suscitait aussi l'admiration ainsi que la fascination auprès des japonais. Être un ハーフー [hafu, ou Half, c'est ainsi que la société japonaise nous appelle] a ses avantages et ses inconvénients, comme tout métissage. Mais mon tempérament m'aidait à m'intégrer presque pleinement et mon charme "particulier" attirait les gens. J'ai eu droit à des regards mauvais, curieux, et critiques mais je ne m'en suis jamais formalisé, ça ne m'avait donc pas pourrit la vie. Souvent, un métissé a le cul entre deux chaises: choisir sa nationalité n'est pas simple, mais moi, j'ai trouvé assez tôt une réponse toute simple: je suis moi, peu importe mon ethnie. J'ai une culture bien plus japonaise que française car j'y ai vécu toute ma vie et mes virées en France n'étaient que temporaires, lorsque ma mère avait le mal du pays et qu'elle voulait me faire découvrir le pays dans lequel elle était née et avait vécu.
J'ai passé une adolescence quelque peu paradoxale. Je rejetais les études tout en m'accrochant à l'établissement scolaire. La société japonaise fait preuve d'une grande pression envers la position et la hiérarchie: pour moi, il était question de mon avenir qui s'annonçait conflictuel. Dès mes treize ans, j'ai commencé à ne plus travailler mes cours, glandant en classe tout en étant un mec aimé des autres élèves. Je ne pensais qu'à m'amuser, enchaînant les karaokés et toute sorte de sorties avec mes camarades de classe. Mal vu par les adultes, adulé par les adolescents. Makoto, mon meilleur ami mais aussi mon ami d'enfance m'observait et m'accompagnait dans mes occupations avec un certain agacement. Ce qui est étrange chez lui, c'est qu'il est totalement différent, il prend les choses de manière toujours trop sérieuse et rigoureuse mais reste mon ami le plus proche malgré mon comportement qu'il juge souvent inacceptable. Je suppose que c'est ça, un véritable ami. Cependant, il savait qu'en dehors des cours et de mes rares temps libres avec moi-même ou en sa présence, je m'appliquais dans mes écrits, travaillant les mots avec une minutie que je ne possédais pas en temps normal. Je lui dois actuellement énormément, c'est grâce à lui que j'en suis là aujourd'hui. Makoto avait un jour piqué un de mes scripts parce qu'il savait pertinemment que je n'aurais jamais le courage d'aller voir un éditeur moi-même -par flemme et par modestie- et l'avait déposé chez un de ces derniers. Après une ou deux semaines d'attente, je recevais un appel d'un éditeur me proposant un contrat. En premier lieu, j'avais manqué de faire une crise cardiaque vu que cet imbécile ne m'avait pas prévenu de son vol.
Stupéfait, j'avais évidemment accepté et nous en étions venus à un accord qui me parut intéressant: lorsque j'aurais terminé le collège, je n'irais pas au lycée et consacrerait mon temps à écrire et peaufiner à fond un livre qui j'espérais ne ferait pas un flop. Ce fut mon choix, ils ne me poussèrent en rien d'abandonner mes études. Après maintes engueulades avec mes parents, je finis par les convaincre -difficilement- que je misais tout sur mes romans et que si je foirais, j'en prendrais la responsabilité. C'était un pari risqué, mais pour la première fois de ma vie, j'étais déterminé à faire quelque chose d'intéressant et inhabituel: forcer le destin. J'ai passé un certain temps à bosser comme un forcené jusqu'à la publication de mon premier roman. L'accueil des lecteurs m'avait extrêmement surpris, l'éditeur avait manqué de me faire chialer quand il m'avait fait part de mon succès. Mes parents n'avaient donc plus rien à dire, ils étaient fiers. Et moi, j'obtenais une reconnaissance plutôt inattendue. Mon premier travail en tant qu'écrivain eut un succès plutôt mineur par rapport à aujourd'hui. Je suis un des plus jeunes écrivains à succès, chaque bouquin que j'écris se vend plutôt facilement. Mais j'ai encore des choses à améliorer, je suis encore jeune.
Ma vie actuelle est rythmée par mon travail d'écrivain, les sorties entre amis, les filles qui me larguent, Makoto qui passe chez moi pour me faire chier, râlant contre le désordre de ma chambre... Bref, une petite vie tranquille. Parfois, il m'est arrivé de rester seul une longue période, enfermé chez moi car j'étais en retard pour rendre mes manuscrits: c'était les pires moments de ma vie. Travailler dans ces conditions me déprimait.
♠ Dreamland :Un jour, j'ai fais un rêve. Le rêve d'une nation qui... Ha, non, c'est pas le bon texte, ça. Et la signification de rêve n'a pas le même sens ici. Parlons plutôt d'onirique, dans ce cas, car c'est là que tout voyageur commence, prenant conscience du monde de Dreamland pour la première fois. Bref, entrons dans le vif du sujet.
C'était un mois d'avril où tout allait plutôt bien, excepté un petit syndrôme de la page blanche qui noircissait mes journées -mais ce n'était rien comparé à mon éditeur qui était sur le point de m'étrangler si je ne trouvais pas quelque chose d'intéressant à écrire d'ici la fin du mois. Je sortais plus que d'habitude pour m'aérer l'esprit -et échapper à mon éditeur démoniaque-, entouré de gens, flirtant, enfin bref, la routine. Je n'étais pas seul irl, mais pourtant... un cauchemar terrible survint. D'une fourberie implacable. Après une soirée bien agitée, rythmée par mes potes et les figurants, j'étais rentré chez moi exténué et je m'étais endormi dès que j'avais laissé tombé mon corps nonchalamment sur mon lit. C'est là que tout commença.
Debout, je me trouvais au centre d'une foule bruyante et amicale. D'abord surpris, je ne fis rien, puis en haussant les épaules, je m'étais mis à taper la discute aux inconnus qui m'entouraient. Grossière erreur car dès que je laissais échapper un mot, ils s'étaient tous retournés dans ma direction avec un regard... méprisant. Puis j'aperçus mon meilleur ami. Il me regardait de la même façon. Ce fut le premier à se détourner et à s'en aller, comme si j'avais fais quelque chose de grave et qu'il ne souhaitait plus me côtoyer. J'avais essayé de le rattraper, la panique commençant à céder légèrement la place à la surprise, mais il avait totalement disparu. J'avais ris nerveusement, avant de me rassurer en me disant qu'il restait encore cette foule, que j'étais toujours bien entouré malgré la perte d'un élément important de mon entourage. C'est à ce moment-là que la foule en question s'éloigna sans me laisser la chance de les en dissuader. A la fin, il ne restait plus que moi et des minutes, peut-être des heures de tourments s'ensuivirent. Pourquoi ils me laissaient ? Qu'avais-je fait ? Je n'en savais rien. De la panique, je cédais à la suffocation. J'avais besoin de présence humaine pour survivre et la peur d'être seul me foudroyait sur place. Tremblant, mal à l'aise, je me sentais nu sans personne autour de moi. A poil, disait l'autre.
Recroquevillé, je ne bougeais pas d'un millimètre pendant quelques temps puis, pris soudain d'une détermination qui était étonnante de ma part, je m'étais levé pour partir à la recherche de quelqu'un, n'importe qui mais quelqu'un. J'errais dans cette ville abandonnée, presque fantôme. Je ne trouvais pas ce que je cherchais. J'avais peur de rester coincé là pour l'éternité à ne taper la discute qu'à moi-même. De devenir fou aussi, au passage. A la fin, j'avais finis par courir, cherchant inlassablement. Le monde était vaste, j'allais finir par y parvenir... Une voix retentit. J'hésitais, puis décidais de la suivre puisque je n'avais rien d'autre à faire. Elle me conduit dans une maisonnette coincée entre deux immeubles. J'entrais, mais ne trouvais personne. Juste la voix qui, dans ma tête cette fois, me disais que j'allais rester seul toute ma vie, que même entouré de tout ces gens, j'étais seul, que j'étais un naze. Serrant les dents, j'essayais de ne pas l'écouter. Ne pas l'écouter... Ne pas... Plus aucune voix n'avait retentit. Je ne ressentais bizarrement plus de solitude. Plus rien de tout ça. En fait, ma seule envie était de trouver une seule personne, j'ignorais pourquoi. Une autre voix, plus douce, m'avait murmuré ces mots à l'oreille: "Cherche moi." Et j'avais ouvert les yeux, interloqué pour bailler ensuite.
Après ce rêve, mes nuits changèrent totalement. Je me trouvais dans un monde totalement étrange et incompréhensible, mais, plus que de l'anxiété, je ressentais un sentiment de liberté et j'avais l'impression que mes nuits de sommeil n'étaient plus du temps perdu. Toujours avec le but de chercher cette mystérieuse personne en tête, je n'hésitais pas à visiter tout ce que je trouvais et à m'en inspirer parfois dans mes écrits, accompagné de mon stylo irl et du Black Pen que j'ai trouvé lors d'une nuit quelque peu périlleuse dans un royaume étrange.
J'aime - 1. Être entouré d'une bande de potes 2. Les chats 3. Le wazabi 4. Les filles 5. Glander | Je n'aime pas - 1. Être seul 2. La vulgarité 3. Son grand père 4. Les tartes -comestibles ou pas- 5. Les choses pas mignonnes |
- Phobie : La solitude me fait peur. Pourquoi être seul alors qu'il y a des milliards de gens dans le monde ?
- Pouvoir : Partage de l'âme. C'est-à-dire que mon seul et unique pouvoir est de trouver la personne avec qui partager mon âme lors de mes nuits sur Dreamland. Une sorte "d'âme soeur" encore inconnue à ce jour, qui aurait le pouvoir de me faire pousser des ailes. Comment ça, c'est tout sauf viril ? Je suis un homme, moi !
- Objet magique : Black Pen: Un stylo noir permettant de changer les évènements selon ce que j'écris dans un carnet que je trimballe depuis mon arrivée. Cependant, son pouvoir a des limites, et je ne suis pas en mesure de le contrôler. Disons que ça foire à 90% et que ça m'use plus qu'autre chose. Si je l'utilise trop, je finis par me réveiller ou entrer dans un stade légume, incapable de bouger jusqu'au réveil. En gros, il faut être surhumain ou surpuissant pour être capable de crée quelque chose qui a une énorme incidence.
• Le personnage sur ton avatar : Kuroko Tetsuya [Kuroko's Basket]
• Code du règlement : Derrière l'écran...-----------------------------------
• Prénom ou pseudo: Cécy
• age: 18 ans
• comment as-tu connu le forum ? Sur un top site
• Connais-tu Dreamland ? Oui, mais je ne suis pas à jour niveau tomes [Genre tome 3]
• Depuis quand fais-tu du rp ? Quelques mois
• Des critiques sur le forum ? Nope, ça a l'air sympa, par ici
• Une remarque ? Vive les boulets.