Présentation d'Adam Bierce

Adam Bierce
Change, plutôt que tes désirs, l'ordre du monde

★ Nom : Bierce ★ Prénom : Adam ★ Age : 23 ans ★ Sexe : Homme ★ Où habites-tu ? : Pick-up bleu Toyota, quelque part sur les routes Etats-uniennes, toujours à un endroit différent chaque jour. Anciennement un centre de désintoxication de Los Angeles, anciennement une Crack House de Los Angeles. ★ Activité : Procrastinateur, chômeur et road trotteur. Egalement terroriste onirique pendant ses heures de sommeil.

Ton histoire...

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♠ Caractère :

« Malgré tous les efforts du personnel médical, le patient semble conserver tous ses errements psychologiques. Les mots ne manquent pas pour désigner tous les problèmes rencontrés par Adam ; citons en vrac un surmenage mental, une incapacité à se concentrer sur un sujet précis, un rejet de l’autorité, des définitions (surtout celles touchant à la psychologie), des répétitions (dans le sens large du terme). Adam déteste le sentiment d’être enfermé dans un train-train quotidien et cherche à modifier toutes les variables de la vie qu’il peut saisir. L’idée d’être enfermé dans un établissement tel que le notre lui est insupportable. Les nombreux entretiens que nous avons eus avec lui témoignent chez lui d’une envie de « s’évader » comme il le répète souvent lui-même. Comme toujours avec Adam, il faut prendre le mot dans le sens large du terme. « S’évader » de son corps, « s’évader » de ses habitudes, de sa vie. Il fait sa propre révolution dans sa tête, mais ses ambitions sont trop hautes et non en adéquation avec la réalité dans laquelle il vit. Le problème étant qu’il ne sait y répondre que par la violence.

En cas de contradiction ou de compromis, Adam s'énerve immédiatement. Il n’est pas suffisamment stable mentalement pour y faire face et son désir (je devrais plutôt écrire « besoin » de variétés n’arrange pas les choses. Ce qui ne convient pas à sa vision des choses, il le déteste. Il est intolérant et a beaucoup de mal à présenter d’autres types de réactions face à certaines réalités de la vie. Il cite souvent Damasio. Il supporte très mal l’autorité sous quelque forme que ce soit, les idées préconçus (leur alchimie : un diagnostique psychologique, le met véritablement hors de lui, surtout le sien). Il lui arrive pourtant d’être un garçon charmant pendant ses bons jours.

En entretien, il est poli, courtois et se montre souvent cultivé, il fait d’ailleurs preuve de temps en temps d’une rare intelligence, compte tenu de ses antécédents. Mais il se maîtrise malheureusement très mal et passe souvent d’une idée à l’autre sans lien aucun, signe extérieure évident de son surmenage mental. Il parle souvent très vite et en devient incompréhensible, surtout que les idées qu’ils développent sont parfois dure à suivre. Il s’ennuie toutefois vite de son interlocuteur et ne le cache pas. Il s’ennui de tous assez rapidement d’ailleurs, et seuls les changements l’intéressent, surtout les changements brusques et inattendues.

Il a récemment avoué entretenir souvent plusieurs pensées en même temps dans son crâne, ce qui perturberait grandement sa concentration, me confortant dans l’idée qu’il est hyperactif à ce niveau là du diagnostique.

Il semble que la musique « violente » (surtout la musique violente) le calme aussi efficacement que des narcotiques. Elle est certainement un moyen pour lui de « s’évader quelque part ». « Du moment que ça bouge », qu’il dit. Son lecteur MP3 a été parmi ses premières affaires que l’on c’est empressé de lui apporter dans sa chambre quand une infirmière s’en ai aperçu.

Détail amusant, c’est un idéaliste du genre humain et déteste l’injustice et les mensonges. A laquelle bien sûr il ne sait réagir que par la violence… »

Extrait d’un rapport de Gaëlle Winston, psychologue dans un centre de désintoxication en Californie.

« Je ne suis en aucun cas taxidermiste, pompiste, absolutiste, bibliste, ignorantiste, œcuméniste, unionisme, koriste, néoréaliste, plagiste, talchiste, pigiste, pomologiste, forfaitiste, galéniste, dadaïste, fumiste, moniste, parapentiste, raciste, journaliste, gymnophiste, chauviniste, consumériste, neurobiologiste, obscurantiste, tchékiste, sérologiste, radiesthésiste, carnettiste, isolationniste, helléniste, gradualiste madrigaliste et bien d’autres…

J’en conclus que je suis anarchiste. »

Adam Bierce, quand il veut bien parler de lui

♠ Description Physique :

Adam est à l’image de ses ambitions philosophiques, quelque soit l’élément de look interprété comme « déviant » par les majorités, il le porte. Ses oreilles sont percées en plusieurs endroits, il porte une bague à thème sataniste. Une montre avec une représentation kawai de Cthulhu  derrière les aiguilles de cette dernière est accrochée à son poignet. Ses cheveux sont coiffés avec un pétard chaque matin, puis ramenés en arrière pour la majorité d’entres eux. Il s’est fait tatouer par quatre fois. Il porte d’abord deux tatouages identiques au niveau des veines du poignet : une chaîne faisait le tour de son bras, brisée à un endroit. Il a également un code barre tatoué au  niveau du torse qu’il a rayé d’une cicatrice avec un cran d’arrêt. On peut trouver également sur sa jambe gauche une représentation Aborigène d’un serpent à sonnette. Son dernier dessin sur sa peau est une étoile communiste se trouvant sur son dos, au niveau de la hanche droite.

Voila pour le look, pour le corps, c'est par ici :

Visage angélique, peau satiné, cheveux platine, yeux rouges, corps élancé, allure gracile, le tout pour une taille d'1m85. Tout cela sonne plutôt bien sur le papier mais détrompez-vous car l'on est malheureusement loin de l'homme idéal. Bâti comme une tafiolle, ce jeune homme au caractère pourtant explosif semble avoir été taillé dans du carton mouillé. Dénué de toute force physique, son corps le force a exclure d'office toute activité un tant soit peu physique. C'est pas tout a fait ce qu'on pourrait appeler un vrai, un dur... Comment ? Ses abdominaux ? Inexistant... Les biceps ? Que dalle... Des pectoraux ? La bonne blague... Ne cherchez pas a trouver chez lui la moindre trace de musculature car il en est totalement dépourvu. Avec ses 55kg tout mouillé, il n'apparait cependant pas comme un sac d'os, disons juste qu'il est plat comme une planche,


♠ Histoire :

This is the story O’ my LF

Je vois pas l’intérêt de parler de mon enfance, tout ce qui faisait de moi un gamin a été solidement poudré par ma puberté, elle doit continuer encore aujourd’hui d’ailleurs, étant donné que je suis toujours aussi invivable. Je crois que c’est à cette période là que je me suis mis à détester ma vie, ce serait logique, je crois comprendre que c’est la définition du mot « puberté ». Je suis désolé d’avoir fait baver papa et maman à ce sujet mais j’en pouvais plus. Le trip métro boulot dodo, c’est bien le seul qui ne me fasse pas planer. Mes faux cours qui m’assommaient à longueur de journée, mes camarades de classe complètement cons, mes moutons de voisins et mes conformistes de parents. Je voulais échapper à tout ça.

Trying to find'O camino
Turning el todo upside down

Seulement, sans argent et sans droit légal de quitter la maison familial, difficile de partir quelque part, alors j’ai tenté les chemins alternatifs du verbe : musiques, produits illicites, sorties nocturnes. J’ai tout fait pour balancer de la variété dans ma vie. J’adore être étonné, je déteste être ennuyé. Si j’ai un Dieu, c’est le Grand Rupteur ; celui qui coupe le quotidien en deux, remplaçant la monotonie par une série d’évènements aléatoires et aléatoires.

Untill da final tornado
Making every shit wrong seem'right
And being acting liked surprised

Etant donné le caractère ô combien sain de mes activités, je me suis fait des amis, mais pas les bons. Même les bad guys sont des gens simples à découvrir, les dealeurs sont pris dans leurs habitudes. C’est pourtant leurs rangs que j’ai rejoint à ma majorité. Pognon facile et excédent de stock délicieusement jouissif. La fumette avait l’avantage de me calmer l’esprit et de me faire vivre des choses absolument inimaginables autrement.

When by the and we realise
We go an ego camino

L.A méritait le même surnom que Londres : « La Cité Enfumée », mais pas pour les mêmes raisons. J’avoue en avoir bien profité en tout cas. La règle n°1 du parfait petit dealer est qu’il ne doit jamais toucher à sa marchandise, mais vous avez du comprendre assez vite que je ne suis pas du genre à respecter les règles par pur esprit de contradiction. J’ai tout de même tenu quelques petites années à faire mes affaires dans une Crack House avec des potes aussi pourris que moi avant qu’une descente de flic ne nous emmène en cellule. On a été finalement relâché, faute de preuve, après avoir payé une substantielle caution qui parlait pour nous. Malheureusement pour moi, je me pris sur le coin de la troche une décision de justice m’envoyant en désintox.

Heres' my life story and its far from fiction
One part love and two parts addiction

Je déteste autant cet endroit que le fait d’en parler. Si ça vous intéresse, vous pouvez faire le voyage et demander au personnel des détails sur le merveilleux patient que j’étais. Ils devraient avoir leur lot de rapport me concernant. Je connais assez ces connards condescendants pour ne pas en douter une seule seconde.

Mix it with a little bit of fun for details
Things are goin down aint no time to waste so
I'm a hit the trail till I get those pesos

Mais pour aussi odieux pensionnaire que je fut, je n’en suis pas moins resté quelqu’un de raisonnable et à l’heure d’aujourd’hui, j’ai totalement arrêté les produits illicites. Bon je vous fais marcher, je ne suis pas devenu un ange du jour au lendemain, juste un voyageur à Dreamland. Ce qui me fit un bien suffisemment fou pour me faire quitter cette hospice de drogué à la con.

This is da final global-phenomen'hom'
My friends and I we made it minimal

Comment dire ? C’est un peu comme si Dieu me considérait comme un super chrétien et avait décidé d’exaucer mon rêve le plus cher avant que je n’atteigne le Paradis. Un monde sans queue qui ni tête rempli de créature et de situations absurdes. Impossible de s’ennuyer là-bas, sauf si on le faisait exprès. Je suis en ce moment même l’homme le plus heureux de la Terre, ou peu s’en faut. Dans le monde réel, je passe de ville en ville, de petits boulots en petits boulots qui me payent l’essence et les sandwichs au cellophane. Je bouge tout le temps, je tente de voir tout ce qu’il y a à voir, j’expérimente ce qu’il y a à expérimenter. La nuit, je m’endors et fout le boxon à Dreamland pour faire bouger encore plus ce monde. Il n’est pas parfait mais j’y ajoute ma patte. Je le colorise un peu plus, en somme.

We loco people are running out of control
We criminal animal illegal-illegal

Voila, c’est l’Histoire de ma Vie ; et je l’adore.



♠ Dreamland :

Les murs bougent, le sol se dérobe. Le tout tremble, surtout moi. Rien ne reste en place. Une porte qui claque, un projectile qui fonce vers ma gueule, je suis dans un océan d'objets volants et je sais déjà comment ça va se finir : je reconnais le cauchemars. Je fais le même depuis un temps fou. Je sais pas d'où me vient cette phobie mais je sais où elle m'emmène !

Je flippe et je fuis -comme d'habitude, un bourdonnement près de mon oreille m'informe qu'une chaîne de télé vient de passer près de ma tête à vitesse grand V. Elle aurait très bien pu me fracasser le crâne mais mon inconscient (ce connard) sait que mon palpitant déconne quand les projectiles passent à côtés, pour que je puisse les voir. C'est ça mon problème, j'ai peur de tout ce qui me tombe sur la gueule, littéralement. Quand j'étais petit, ces rêves me réveillait en même temps que ma mère, rapport aux hurlements que je poussaient à l'époque, voyez. En grandissant, je me suis maîtrisé au réveil, mais j'étais toujours en nage.

Toujours en grandissant, ma perception du cauchemars a évolué. J'ai remarqué ou ressenti plus de truc. Ma perception a évolué. Je me rappelle de ce psychologue au centre de désintox qui me conseillait "d'affronter" ce rêve. Il en parlait comme s'il savait de quoi il parlait. Soi le gus connaissait un truc que j'ignore, soit il était complètement con. Je penche personnellement pour la deuxième hypothèse : j'ai toujours détesté les psys

Je disais donc que j'avais une vision différente de mon cauchemars ces derniers jours. J'ai l'impression qu'il y a un esprit malsain à l'oeuvre qui régit ce rêve. Soit je deviens fou (ou disons, encore plus fou) soit c'est là la manifestation de mon subconscient qui m'en veut d'avoir été un connard pendant toutes ces années avec mes parents.

Un jour (ou plutôt une nuit), sans que je ne sache pourquoi, il y eut comme un déclic. Une idée à la con qui s'imposa en un éclair dans mon crâne comme cela m'arrive assez souvent (elles ne sont pas forcément bonnes). Je crois que c'est mon besoin de surprise et mon esprit de contradiction qui me le suggérèrent : à la place de fuir comme à chaque fois ce maelstrom de débris volants qui ne font que provoquer et provoquer encore ma phobie ; pourquoi je ne me jetterais pas en plein dedans ? Cette seule idée eut le mérite de provoquer une certaine panique du côté de mon cœur qui commença à battre rapidement en cadence comme autant de mouvements horizontaux de menton qu'il aimerait bien m'adresser. Mais ma décision est prise. Parce que, putain, j’en ai marre de toujours fuir, à côté du fait que j’accomplis par là la même action en boucle, encore et encore, c’est vraiment le sentiment de fuite qui me dégoutte. La débâcle, c’est comme le crack : j’y ai goûté et j’aime pas ça.

Je plongea en plein dans le nuage de ces conneries volantes filant comme des OVNI, le cœur lourd à l’idée de me prendre la crise cardiaque du siècle. Sauf que ce fut tout le contraire.

C’était ...indescriptible. J’étais le roi du monde, putain. Les projectiles déchets pouvaient bien vrombir à mes oreilles, je m’y habituais beaucoup plus rapidement que je ne l’avais cru. J’étais euphorique. J’avais l’impression de renaître. La matière est en vie, est avec moi, me pénètre, m’architecture, elle me porte. Les déchets ne sont pas morts, personne n’est mort ! Personne ne pourra jamais mourir ! Je veux être l’incubateur de tout ce qui bouge, vit et remue ici. Car les livres en moi exigent d’êtres écrits, réimprimés ! Les grues d’êtres ré-articulés, les voitures reconstruites et l’acier refondu et retrempé ! Les soleils soleils nucléaires réactivés ! Je suis le magma d’absorption de toutes les forces qui gravitent !

Je suis à Dreamland, et putain, ça fait du bien !


♠ Les chroniques d'un Baby :

Les premières semaines furent fantastiques. Il n’en était pas possible autrement. La découverte d’un nouvel environnement aux règles inconnues était un des plus grands plaisirs de la vie d’Adam. Lui qui rêvait toujours de partir à l’étranger s’imprêgner d’une culture différente mais qui devait s’en abstenir faute d’escarcelle assez grande pour lui payer le voyage.

Avec Dreamland, c’était différent. C’était instantané et immédiatemment dépaysant. La quantité de royaume et de paysage à découvrir augmentait exponentiellement avec l’exploration de l’anarchiste. Pourtant, ce dernier ne fut jamais décourager et il entama un périple de plusieurs mois dans les deux premières zones de Dreamland afin d’en visiter le plus de royaume possible. C’était dur, mais immensément gratifiant pour le jeune homme qui vivait ainsi un de ses rêves les plus cher. Etant donné le caractère inconstant d’une majorité des royaumes de la première zone, son ambition était impossible, mais il se contenta toujours de ce qu’il pouvait trouver.

Avec le temps, il prit tout de moins quelques habitudes. Une fois que tous les royaumes d’importance furent découvert, il passa la grande plupart de ses nuits à vabagonder dans ses préférés. Ceux là étaient surtout ceux qui contenaient une ville ou quelque chose s’approchant à la civilisation. Pas parce qu’Adam appréciait la proximité des gardes autocratiques ou des institutions publiques mais plutôt parce que c’était en ville qu’il y avait le plus d’animation. Le Royaume des plaines était bien jolie mais il faut avouer que ça manque de truc à faire dans les parages. Adam prit donc l’habitude de passer ses nuits dans des royaumes policés où il profita de la profusion d’activité de ces derniers pour s’entraîner à aquérir des compétences qu’il aurait été compliqué de mettre en oeuvre dans le monde réel.

Tout d’abord, il prit soin de s’entraîner à jouer les tires laines dans une foule bondée. Posséder les talents d’un pickpocket était toujours utile et c’était un fantasme qu’il possédait depuis qu’il était tout petit. Il lui fallut quelques mois de dur labeur avant d’apprendre à escamoter correctement la bourse de son prochain. Ses échecs en pleine foule étaient souvent suivi d’une course poursuite à travers les rues par les messieurs de la marée-chaussée du coin. Mais son corps était déjà rôdé par ses incessants vagabondages à Dreamland et il réussit à chaque fois à s’en tirer sans trop de problème. Sauf une fois où il fut rattrapé et traîner dans un cachot Dreamlandien. Ce qui lui donna des idées quand à la prochaine compétance qu’il allait s’amuser à aquérir.

Une fois réveillé, Adam se débrouilla pour trouver un cyber café et se remplit la tête de cours thérorique à propos du crochetage de serrure qu’il put mettre en pratique une fois revenu dans sa cellule onirique. Il ne lui fallut cette fois que deux semaines pour assimiler les rudiments de la technique mais en même temps, du fond de son cachot, Adam n'avait bien que ça à faire. Il réussit finalement à décrocher la serrure au bout d'une centaine de tentatives infructueuses. C'est quand il remarqua que la porte de sa cellule comportait en vérité deux serrures qu'il la défonça à coup de pied avant de partir tranquillement. La prochaine fois, il apprendrait à fabriquer ds bombes avec de l'eau oxygénée et de la poudre de salspetre, des fois que la porte ne serait pas en bois. Une matière qui ne résistait pas aux arguments martials d'un voyageur.

Mais la vie nocturne d'Adam ne fut pas composé uniquement d'expérimentations ludiques de ce genre. Il y eut aussi des nuits où il dut défendre sa peau de voyageur face à d'autres voyageurs, parce que ces derniers étaient killers où -tout le contraire, des fervents bras de la loi voulant faire payer à Adam sa liberté avec le code pénal. Dans ses moments là, ce fut les poings, les pieds et les coudes qui parlèrent, et non la langue et les dents, sauf si ces dernières se retrouvaient éparpillés sur le sol. Et le moins que l'on pouvait dire, c'était qu'Adam ne manquait pas d'argument dans ce type de débat. Ses poings servaient d'hameçon : de sujet que l'adversaire avait l'impression de maitriser mais c'était pour mieux canaliser ses laisses martiales. Ensuite, c'était à ses contres arguments (ses jambes et ses coudes, parfois son genou) de faire le reste. Techniquement parlant, Adam n'était pas doté d'une grande force physique, même si son corps était celui d'un voyageur qui arpentait Dreamland depuis de longs mois (soit, un corps présentant des aptitudes physiques bien supérieur à celui d'un humain du monde réel), son corps taillé comme un bec bunsen lui donnait un désavantage face à des voyageurs au contact. Il s'en sortait toutefois grâce à son sens tactique et à son pouvoir qui lui donnait pas mal d'opportunité pour prendre son adversaire par surprise. Sans compter qu'il était complètement imprévisible au corps à corps, même si cela jouait parfois contre lui. Surtout quand il affrontait des amateurs d'arts martiaux.

Donc finalement, Adam vit une vie plutôt excitante à Dreamland, comme il l'a toujours voulue. Il reste dans les royaumes civilisés et emmerde les forces de l'ordre ou les syndicas du crime local, au choix. Il aime aussi faire la connaissance de voyageur, aimant beaucoup faire la connaissance de quelqu'un. Il faut toutefois un esprit particulièrement frais pour rester longtemps dans ses contacts. Il noue principalement des relations d'une nuit qu'il revoie occasionnellement au hasard de Dreamland.

Et on va s'arrêter là avant de parler de ses plans cul, made in Dreamland, parce qu'il se fait tard et que ça n'intéresse personne de toute façon.



♠ Test RP :

L’air est chaud et poisseux, l’atmosphère sombre. C’est le cocktail que l’on obtient quand on se trouve depuis plusieurs heures dans un pub qui mettait un point d’honneur à tenter de faire croire à ses clients que ces derniers se trouvaient au beau milieu du Far West. Volets quasi clos, salle enfumée et un choix de boisson dont la moins alcoolisée se trouvait être un mélange entre du lait, du miel et de la vodka. D'ailleurs pour la petite histoire, le lait se trouvait dans la composition d'une majorité des boissons de ce royaume. Ce qui était logique quand on savait que les chats étaient les habitants dudit royaume. Adam adorait le royaume des Chats, en particulier sa capitale : les rues étaient remplis d'adorables peluches ronronnantes (même s'ils elles étaient un peu trop capitalistes à son goût) et il y avait un gouvernement qu'il tourmentait à sa manière. Ce n'était pas grand chose, on ne pouvait même pas dire qu'Adam était une aiguille dans leur pied tellement ses exactions étaient sans conséquances mais c'était comme ça qu'il aimait remplir ses nuits.

L’établissement n’était également pas du genre à défendre le droit des non-fumeurs. Il était également du genre à se foutre des risques d’incendie. La sortie de secours devait se situer dans l’arrière salle mais ça c’était à condition de la trouver. Si un feu se dclarait dans la salle principale, tu pouvais dire adieu à ton petit cul carbonisé. la musique était super pourtant, du Johnny Cash dans toute sa splendeur.

Adam n’avait pas pourtant pas passé la nuit à écouter God’s Gonna Cut you Down tout en se biturant la gueule, même si c’était là un type d’activité qui pouvait se révéler chronophage chez lui. A la vérité, Bierce était ici pour échapper à la vengeance d'un certain personne, ou tout du moins, pour la retarder. Et il s'est naturellement dit que, tant qu'à attendre, autant le faire dans un débit de boisson où il pourrait tenter de vider conscienseuement tout les fûts qu’il se sentirait le courage de payer.

Pour résumer toute l'histoire, Adam avait commencé sa nuit par une petite balade dans les rues de la ville, ne sachant pas encore comment il allait s'occuper cette nuit. Il eut de la chance car il entendit comme un bruit de lutte venant d'une ruelle adjacente. Ceux qui connaissent bien Adam savent que cette sonorité agit sur lui comme de la lumière bleu électrique agit sur un papillon de nuit : il lui était tout simplement impossible de ne pas s'en approcher. Avec circonception (curieux mais pas suicidaire l’anarchiste), Bierce se déplaça jusqu'à la source sonore et apprécia la scène.

Il y avait visiblement quatre protagonistes et deux camps. Le premier était composé de trois créatures des rêves genre sales gueules de bovins. Bardés d'armes comme des mercenaires étrangers qu'ils étaient certainement. Leur meneur était un énorme minotaure dont la taille dépassait facilement les deux mètres de haut, cornes non comprises. Le monstre était taillé comme un juggernaut et si Adam avait été un fantôme, il aurait certainement pu se glisser dans son bras sans laissé un seul morceau ectoplasmique de son corps à l'air libre.

La quatrième et dernière personne se révela être une jeune voyageuse qui devait avoir (au pifomètre) globalement le même âge qu’Adam. Brune, cheveux courts, vêtements masculin dont le tissu et la couleur étaient réprouvés par la mentalité bourgeoise. C’était pile ce que donnait le moteur de recherche mental qu’Adam obtenait quand il cherchait son type de fille. Il n’en fallait pas plus pour activer le palpitant de l’anarchiste (il y aurait un autre organe à mentionner, toutefois, la mentalit bourgeoise réprouve également son signalement, mais vu qu’on les emmerde, disons que c’est une queue).

Le minautore, qui semblait être le chef, tenait la voyageuse par le bras en la traitant de voleuse. Adam aurait certainement pu en savoir plus sur leur différent s’il avait pris la peine d’écouter. Mais ça aurait été trop demander. Bierce était un fervent croyant de la règle balaçant sans trop de preuve qu’à situation explosive, il fallait une solution explosive, sinon rien. Avant même que la moindre pensée constructive (autre que “faut que je lui demande son  numéro”) ou la moindre stratégie ne traverse un des synapses d’Adam, ce dernier fonça entre les deux protagonistes d’un bond. Profitant de l’effet de surprise, il lança rapidement son coude dans les bijoux de famille du Dreamlandien. Le coup ne fut pas d’une puissance phénoménale mais sa zone d’effet somme toute stratégique eut un impact suffisant pour que le bovin interrompe sa prise sur la jeune femme. Cette dernière ne demanda rien d’autre et prit ses jambes à son cou dès qu’elle le put ; laissant tomber en pleine course un sac de toile de sa main, mais ne s’en soucia pas.

Toute cette scène se passa en une fraction de seconde et Adam eu le temps d’écarer les deux bras et d’envoyer une charge télékinétique de chaque. Ceci afin de plaquer contre les murs de la ruelle les deux ruminants acolytes du mastodonte à genoux. Pas de quoi les faire traverser le quartier genre Superman, mais assez pour les sonner un petit peu avoir le temps de prendre le sac de la voyageuse et de se barrer.

Qu’on se comprenne bien, Adam n’était pas du genre à fuir une baston téstéronée. Le problème ici est que des pugillats dans des ruelles, il en avait déjà disputé un assez grand nombre. Une partie d’entres eux s’étaient naturellement terminés avec sa tronche dans la poubelle la plus proche. Mais il s’était tout de même débrouillé pour avoir une certaine expérience en la matière. Seulement maintenant, le côté rookie de tabasser des gens sur du pavé mal éclairé avait disparu, sans compter le fait que les trois bovins avaient l’air méchamment costaux.

C’était pour ça qu’Adam s’était réfugié dans cette taverne tout droit sortit d’un film de John Wayne. Il avait ouvert le sac et découvert que celui-ci contenait une grosse quantité d’EV ainsi qu’un saphir brillant qui avait l’air de valoir son pesant en lingot, et même plus encore. rangeant le tout das son contenant, Adam se servit des EV pour commencer à taper dans la réserve d’alcool du bar en espérant que les taureaux ramènent leurs miches ici. Il ne savait pas comment il avait fait mais il ne s’était jamais beaucoup battu dans un bar. Il tena là une belle occasion de réhausser son score d’une unité. Il était d’autant plus exciter qu’il savait bien qu’une baston dans un bar présentait plus d’un attrait en terme de mise en scène et d’amusement. Surtout que les possibilités tactiques étaient plus développées. Il avait auparavent jugé les trois Dreamlandiens (enfin, surtout leurs pec’s qui semblaient couler dans du bronze) et il préférait autant éviter de se les fritter sans avoir prévu une ou deux astuces avant de les recevoir.

Pendant un temps indertiminé (qui fut en réalité compter en nombre de chopes éclusées, ce qui reste un système de mesure temporelle assez approximatif), les trois larrons poussèrent enfin les portes du bar. Ils en ont mis du temps, se dit Adam, qui avait pourtant pris soin de laisser une piste bien fraiche à base de vantardise public et d’exhibage de joyau.

L’énorme minautore s’avança vers la place d’Adam, juste devant le comptoir, tandis que ses deux séides restaient devant la porte pour empêcher le voyageur de prendre la poudre d’escampette. Le minautore se planta devant lui et lui adressa son plus beau regard de taureau furieux.

____________

Okay mon beau, à partir de maintenant c’est entre toi et moi. Je te préviens, l’alcool ne me rend ni patient, ni particulièrement pacifiste. Mais étant donné que je peux voir mon reflet sur ton torse, je vais faire un effort.

Il avait les yeux rouges du mec qui faisait une crise cardiaque et un sifflement s’échappait de ses lèvres. J’allais bientôt m’en prendre plein la gueule mais j’avais une meilleure idée que de me jeter à sa gorge. Il me gueula bientôt dessus :

“Qu’est-ce que tu as fait de mon E.V, espèce de connard !?”

Je jeta vers ma pile de chopes vides un regard éloquant qu’il suivit. Il comprit le message en un étranglement de rage. Pas parce que j’avais dépensé tout son pognon (il y en avait encore plein dans le sac, plus le saphir auquel je n’avais pas touché) mais parce que ce n’était pas lui qui en avait profité visiblement. Je porta l’unique chope encore à moitiée remplie à mes lèvres mais un geste brusque de la part du Dreamlandien l’envoya s’écraser contre le mur et son spiritueux liquide se répandit sur le sol. Je savais que le prochain coup serait pour ma pogne, je ne quittait pas des yeux l’énorme épée qu’il se trimballait à sa ceinture ; je devais me dépêcher de mettre mon plan en oeuvre mais en fait, non : j’en avais plus envie.

“Recommence ça, et je fais avaler ton extrait de naissance jusqu’à plus soif.”
-Qu’est-ce que t’as dit ? Me demanda t-il d’un ton incrédule. Quoi il avait pas compris ? C’était un classique pourtant...

“Il dit qu’il ta te botter le cul jusqu’à ce que tu en meurs” lâcha un des nombreux clients qui observaient la scène.
-J’apprécie cette traduction, lui lançais-je. Il me fit un sourire en leva son verre da sma direction. En attendant, l’énorme taureau me chopa par le colbac et me souleva aussi haut que lui permit la longueur de son bras. J’étais bien étranglé et n’avais aucune prise avec le sol. J’étais en train de tenter de poser le bout de mes orteils sur le comptoir derrière moi quand il me hurla à la figure :

“TU VEUX JOUER, C’EST ÇA ?”
-Ouiiiiiiiiiiii je fis d’une voix étranglé, joue avec moi...
-Et tu veux jouer à quoi connard ? Hey, mais c’était la même insulte que tout à l’heure... ce mec était nul, mais je ne lu ifit pas remarquer et lui répondit :

“A la Baffe Irlandaise...
-A quoi ?
-C’est un jeu d’alcool, fis-je en écartant les bras et les jambes comme un gars qui serait crucifié sur une croix de David, Vous voulez voir ça les gars ?

Toute la cantonade m’encouragea en hurlant : “Un jeu d’alcool ! Un jeu d’alcool!” en frappant en cadence sur leur table avec leur verre. Désireux de m’humilier en public (et étant aussi bien conscient que je devais avoir un taux de 0,4 ml de sang par gramme d’alcool dans les veines), le minautore hocha de la tête avant de me balancer contre un mur en gueulant pour avoir une table. On la lui apporta avec empressement, Les gens discutaient entres eux pour savoir si quelqu’un connaissait les règles du jeu. Etant donné que celui-ci venait tout droit du monde réel, il y avait peu de chance. Je me releva d’un pas mal assuré et commença à expliquer :

“Ce serait possible d’avoir une bouteille du truc le plus acoolisé qu’on sert ici ? Merci, fis-je au barman qui m’apporta le récipient demandé. La composition de la boisson était sur l’étiquette, c’était un mélange entre du rhum pur et de l’herbe à chat, ce sera parfait.

Les règles sont les suivantes : le premier qui joue remplis son verre et le boit cul sec, il a ensuite le droit de foutre une baffe, et je dis bien UNE, à son adversaire qui n’a pas le droit de la parer ou d’esquiver la gifle. Il cède ensuite son tour à l’autre qui répète le même cirque, et ainsi de suite. Le perdant est le gars qui n’arrive plus à bouger le petit doigt ou à finir son prochain verre. ON JOUE A ÇA ?" Balançais-je à la foule, elle me cria que oui, on jouait à ça. je frappa du poing le jukebox qui était à côté de moi avant de prendre place. Je faisais confiance à la machinerie Dreamandienne pour nous balancer une musique qui collerait parfaitement à l’ambiance.

On avait déjà disposé sur la table nos deux verres de taille assez respectable auquel j’ajoutait la fameuse bouteille. Toute la clientèle avait fait cercle autours de nous et commençait à prendre les paris. je n’avais même pas besoin de les écouter pour savoir que la cote n’était pas en ma faveur : tout le monde avait bien remarqué que j’étais déjà bien pêté et que j’étais taillé comme un filigranne comparer à mon adversaire. Ce dernier prit d’autorité la bouteille et se sevit jusqu’au bord de son verre avant de le vider d’un trait et de m’envoyer une tarte monumentale. J’eu l’impression de faire un bisou à un train. Ma nuque claqua dans un sens et je m’effondra sur le sol. Une forêt de main se dépécha de me remettre sur ma chaise. A moitié assomé, je comptais sur la rasade d’alcool pour me faire reprendre les esprits. L’astuce ne marcha que trop bien ; c’était comme si le minotaure m’en avait recollé une. Mon estomac me brûla tellement que je frappais six fois la table en moins de deux secondes à l’aide de ma paume pour me calmer. Ensuite, pour soulager mes nerfs un peu plus, je balança ma main sur la machoire de l’autre bovin juste devant moi. J’aurais pu tout aussi bien frappé un mur de brique. je dus me mordre la lèvre pour ne pas laisser un son plaintif s’échapper de mes lèvres mais le connard n’en fut pas dupe deux secondes. Vu le sourire éclatant qu’il affichait, je l’imaginais bien en train de bander tandis que ma main commençait à devenir rouge vif. Ni une, ni deux, il se balança un cul-sec du tord-boyau sans grimacer une seule seconde et me balança un coup qui me jeta une fois encore hors de ma chaise.

Je mis une bonne vingtaine de seconde à me remettre debout. Une fois assis, je fit craquer ma nuque à gauche et à droite, elle faisait le même bruit que deux galets pleins de sable que l’on frottaient l’un contre l’autre. Je me versa un verre et cracha dedans le caillot de sang qui s’était agglutiné dans ma bouche. Je faillis tourner de l’oeil quand je bu le tout d’un trait. Si dans dix secondes, rien n’était fait pour me sortir de ce jeu, j’étais bon pour allez vomir des pissenlits par la racine. Je fixa le minotaure pendant une dizaine de secondes. Lui, et toute la foule attendaient ma prochaine baffe avec impatience. Le monde retenait son souffle. J’étais le centre de toute l’attention et j’adorais ça. J’avais l’impression de jouer le sort du monde aux échecs contre Dieu.

La scène qui suivit dura moins d’une demi-douzaine de secondes. Je me leva et, dans le même mouvement, j’utilisa mon pouvoir télékinétique pour récupérer sa big épée. Je la leva à hauteur de mes épaules tout en tournant sur moi même afin de créer un mouvement rapide. Je me servis ainsi du plat de son épée pour offrir au mastodonte une baffe XXL qui l’envoya sur le plancher des vaches. Je lâcha ensuite l’arme qui était bien trop lourde pour moi. J’arma ensuite ma jambe et lui offrit ma conception de la chirurgie dentaire. Il hurla puis s’étouffa quand il avala un de ses chicos. Avant que lui  ne se lève, ou que ses deux sbires ne m’attaquent, ou bien que l’immense majorité des personnes ayant voter pour le minautore ne décide de me faire payer leur dette au prix du sang, je m’élança d’un saut gracieux (ou peu s’en faut) par dessus le bar, manque de me casser la gueule vu que j’étais soul comme une barrique. Je récupéra le sac d'EV(normal) puis je me précipita ensuite vers la sortie arrière du pub.

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L’histoire aurait pu se terminer là, mais quelques ruelles plus loin. Adam repéra la fille qui avait eu mailles avec le minotaure quelques heures auparavant. Ils étaient seul dans la petite avenue et notre anarchiste se dit que c’était là l’occasion parfaite pour lui proposer un rendez-vous mais il n’eut pas le temps de prononcer un seul mot. La voyageuse se jeta sur lui et l’envoya manger le sol en deux ou trois mouvements d’art martial. Il était trop fatigué par son affrontement dans le bar pour lui opposer la moindre résistance. Elle fouilla ensuite sur le sac de toile qu’Adam avait chipé au minotaure et délaissa l’EV pour ne prendre que le saphir. La prochaine fois que Bierce entendrait une personne se faire traiter de voleur, il se méfierait un peu plus d’elle la prochaine fois ; mais bon, elle était tellement mignoooooooone...

La voyageuse aux cheveux courts était en train de quitter la ruelle quand elle se retourna vers lui et lui adressa son plus beau sourire avant de disparaître après un virage.

“On s’appelle ?”

J'aime - 1. Le changement 2. L'inattendu 3. Le spontané 4. Shaka Ponk et Gorillaz 5. Son pouvoir

Je n'aime pas - 1. L'autorité 2. Les préjugés 3. Les culs-bénis 4. Les compromis 5. Les gens ennuyeux

- Phobie : : Peur des mouvements brusques

- Pouvoir : Télékinésie

- Objet magique : (Si tu en as un. Evidemment, il y a très peu de chance que tu puisses avoir un objet magique si tu as un pouvoir. Les objets sont surtout là pour les voyageurs et créatures sans pouvoirs.)

• Le personnage sur ton avatar : Haine Rammsternein du manga "Dogs, Bullets & Carnage
• Rang spécial désiré : Le Grand Rupteur
• Code du règlement :

Derrière l'écran...

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• Prénom ou pseudo: ...
• age: 20 ans
• comment as-tu connu le forum ? une pitite recherche sur google
• Connais-tu Dreamland ? Of course ! J'y vais toutes les nuits.
• Depuis quand fais-tu du rp ? Entre 3 et 4 ans, j'sais plus
• Des critiques sur le forum ? C'est vrai je peux ? Bon ben, sans être méchant, le design est un peu pauvre à mes yeux. Edit > à mes yeux, il est très chaleureux maintenant, du bon boulot^^
• Une remarque ? Ouais ! Il me semble (mais peut-être que je me base sur une vieille carte que Reno Lemaire a changé aujourd'hui) que la Zone 4 est la zone des royaumes des Seigneurs Cauchemars et la Zone 5, celle du Royaume Obscur ; mais je peux me gourer.