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 La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria)

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Adam Bierce
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Adam Bierce


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MessageSujet: La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria)   La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria) I_icon_minitimeLun 26 Mai - 0:25

Mailman

Il existait de par le monde des brillantes voitures qui conduisaient leurs propriétaires sur plusieurs dizaines de milliers de miles sans jamais émettre la moindre plainte, sans que leur pot d’échappement ne pétaradant pas plus que nécessaire ; ces mêmes voitures savaient s’offrir des morts homériques, des carambolages hollywoodiens ou éclatent leur vergeture de fer dans un fracas strident d’acier. Tant de tôles pliés et un ultime râle d’agonie prenant la forme d’une roue caracolant libre dans le lointain pendant que son occupant sort de l’habitacle sain et sauf.

Et à côté, il y avait la voiture d’Adam, qui creva le capot ouvert un beau jour d'été par une insolation d’enfer. Okay, la voiture était vieille mais quand même ! Butée par le soleil de midi, si Adam n’avait pas l’habitude de rouler sept heures par jour, il se serait demandé en quelle sorte de carton son pick-up était fait. Mais là il fallait bien l’avouer : il avait ruiné sa bagnole.

Un trajet en dépanneuse plus tard et un garagiste anti-Toyota lui lança sans ménagement toutes les réparations que l’inconscience d’Adam (allergique aux contrôles techniques) allait devoir à la voiture, et avec encore moins de ménagement, il lui indiqua le prix de toutes ses opérations.

Un crédit à la banque plus tard


La mort dans l’âme, l’anarchiste partit faire le deuil de son compte en banque dans le premier tripot venu. Au bout de trois ou quatre pichets, il se sentit mieux et fomenta dans sa tête le plan de ses prochains jours à venir.

Tout d’abord, il lui fallait trouver un travail, heu non, un logement… bière, tu en penses quoi ? Encore une gorgée ? Okay.

Bon… trouver un logement… Adam avait quelques connaissances dans le secteur qui pourrait éventuellement le loger le temps qu’il trouve une collocation. Okay, ça c’était fait, les numéros étaient dans son carnet. Pour le boulot, une lecture rapide et attentive des petites annonces du canard local ferait l’affaire. Les petits seront des ersatzs d’esclavagisme. Mal payés et mal considérer, l’un d’entre eux devrait toutefois lui permettre de rembourser son crédit mois après moi. Une fois que ce sera fait et que la Toyota serait remise en service, il pourrait repartir sur les routes.

______________________________

Un mois s’était écoulé depuis l’accident. Ne tenant littéralement jamais en place, Adam avait trouvé un boulot de livreur qui s’occupait de la partie physique des commandes effectuées sur Internet. Chaussé d’une paire de roller qu’il avait gardé pas mal d’années parce qu’il estimait (et aujourd’hui à raison) qu’elles pouvaient toujours servir. Portant son sac mono-bretelle qui lui, portait les petits colis, un GPS bon marché scotché sur la manche, Adam filait à travers les rues comme un diable trop longtemps resté enfermé dans sa boite. Il adorait filer à toute vitesse et sentir le vent sur son visage. Malgré une collocation qui se passait mal, il ne détestait pas trop son escale forcée dans cette ville.

Ce matin toutefois, un curieux, mais finalement assez fréquent, accident lui compliqua durablement son travail de la journée.

« Adam, Voila les colis arrivés pendant le week-end, oh et à ce propos, la photocopieuse est encore en panne, c’est Victor qui a encore écrit l’adresse à rejoindre sur les colis.
-Et merde.
-Oh allez s’est pas si terrible, c’est un quoi ça à ton avis ?
-…Un huit ?
-Tu penses ? Pour moi c’est un trois.
-Réflexion faîte, ça ressemble aussi à un six ; où est Victor, que je lui demande ?
-Il est en week-end.
-On est lundi.
-Il prend des long week-end.
-Bordel de merde… bon c’est pas grave, je tenterais plusieurs sonnettes.


Aussitôt dit, aussitôt fait. Enfin… pas vraiment, les rollers étaient certes le moyen de locomotion le plus pratique en milieu urbain (comme l’avait remarqué les voyous et, avec un temps de réaction qui s’apparentait à de la réactivité, les forces de l’ordre leur courant après) mais cela ne restait pas encore de la téléportation.

Bon, quartier pépère, jolies bâtisses. Adam était arrivé sur la rue de son premier colis, problème : Victor écrivait vraiment comme un chien. L’anarchiste s’approcha du premier numéro potable et sonna à la porte.
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Maria
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MessageSujet: Re: La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria)   La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria) I_icon_minitimeMer 28 Mai - 7:10

Notre bonne poupouffe aux arguments tout droit provenant d'un film porno, d'ailleurs, elle ferait une actrice du tonnerre je pense, en plus du bas de ses 17 ans, elle entrerait parfaitement dans certains fantasmes de gros dégueulasses à la limite du pedobear. Non mais sérieusement! on l'imagine parfaitement dire à un père noël pas qui aime énormément les enfants dans son genre. "oh monsieur le père noël j'ai été très très vilaine!!" avec la bouche en cul de poule et fringué comme une écolière sexy afin en plus de réaliser un fantasme de japonnais. Hmmm mais je voulais dire quoi à la base? aucune idée. j'essayais de trouver un moyen d'introduire mais j'ai pas trouvé. Donc parler un peu pour rien dire me semblait un bon compromis, mais avec le recule pas tellement. Je suis le roi pour divaguer et gratter des lignes qui ne veulent strictement rien dire. Non sérieusement! c’est tout un art! Je sais pas si c’est plaisant à lire mais à écrire, ça passe. Il y a pire.

Bon plus sérieusement, Maria séchait les cours. Bah oui, sinon qu'est ce qu'elle foutrait chez elle un lundi matin?! Papa et maman au boulot et les frérots pas à la maison non plus. Bonne occas' pour sécher les cours et se faire une grasse mat'. Par ce que oui, sécher les cours ça la dérange pas. Puis à vrais dire, elle est assez fourbe pour arriver à trouver des moyens d'assurer ses arrières. Par exemple en interceptant les papiers de l'établissement avant qu'ils n'arrivent à la maison, en donnant un faux numéro de ses parents à son lycée ou en se démerdant pour faire croire qu'elle était malade. Faut dire que le lycée, c'est chiant. D'autant plus qu'elle a l'impression de strictement rien y apprendre par ce que sans travailler, elle s'assure de bonnes notes et a priori pourra se trouver une bonne fac sans soucis et elle pourra ainsi glander à la fac et se faire des soirées étudiantes qu'on pourrait qualifier d'orgiesques. Owi le pied! Elle a hate! mais en attendant passe ton bac d'abord! comme disent les vieux. même si elle est américaine et que je suis pas persuadé que les américains aient le bac malgré ma très pauvre connaissance du système scolaire américain. Bref, Maria est une petite gosse de bourge enfermée dans sa petite vie d'occidentale embourgeoisée qui a jamais connue la misère puisqu'elle a toujours été plus ou moins chouchoutée. Le tout issue de la middle class aisée américaine, juste assez riche pour avoir une belle maison dans un quartier résidentiel sympatoche mais pas assez pour se faire appeler Crésus.

Mais soudain, on vint perturber cette douce matinée ensoleillée par ce que oui il fait beau. J'en ai décidé ainsi. Un sacré enfoiré vint dingdonguer chez elle. Oui j'invente des mots! Vous savez qu'au japons, les enfants commencent l'aprentissage de la langue grâce à des mots du genre? Vous en avez rien à faire?! Je sais! et c’est pour ça que tout le monde déteste la linguistique sauf les linguistes. D'ailleurs comme l'a dit un grand linguiste: "la linguistique ne sert à rien" ... Et dire que le dit mec a consacré sa vie à la linguistique puisque c'était un fils à sa maman et qu'il a jamais rien fait d'autre de sa vie. (au passage... j'vous l'avais dis que j'étais le roi de la divagation! avec moi on peu commencer à parler physique quantique et se retrouver à parler de pets de gozilla de façon tout à fait logique. D'ailleurs, s'il crache du feu le lézard. Vous pensez qu'il pète du feu?)

Maria laissa sonner le dit connard pendant quelques secondes en grommelant puis finit par se dire qu'il allait pas s'en tirer comme ça l'enfoiré! Elle se leva, la tête dans le cul. En tous cas, le mec était consciencieux et il sonnait comme un malade. Plein d'autres livreurs auraient sonné une fois, attendu deux pauvres secondes avant de rentrer avec le colis sous les bras en mode "il viendra le chercher au retrais des colis". Maria courut donc de façon assez gauche depuis sa chambre jusqu'à l'entrée puis vint ouvrir au livreur. Il est à noter que la bougresse ne porte rien d'autre qu'une chemise de nuit qui est en fait un t-shirt de mec beaucoup trop grand pour elle et qui lui va donc jusqu'au bas des cuisses et une culotte. Faut pas pousser le vice trop loin non plus. Et non! je déconstruit donc un mythe! Maria ne dort pas entièrement nue, tel une vénus naissant dans l'écume. étendue, las de sa vie et de ce monde de brute! (cette phrase veut rien dire mais elle sonne bien) Il est à noter au passage que le dit t-shirt est légèrement transparent et qu'on voit un peu à travers l’opulente poitrine de l'adolescente qui n'a donc aucune pudeur?!  Elle avait pas vraiment les yeux en face des trous, venant de se lever et faisait un peu peur vu la tronche de ses cheveux totalement en pétard.

-t'as vu l'heure enfoiré?! y en a qu'essaient de dormir! C'est pourquoi?! encore un colis de merde! Donne moi ça!

Elle arracha le paquet des mains du livreur qui n'est autre qu'Adam. Oui, je me suis retenu de faire la blague de mauvais goût qui est de te faire lire ce poste affreusement vide de sens pour que t’apprenne finalement que le dit livreur n'est pas Adam. La lycéenne signa tous les papiers puis commença à ouvrir le paquet sous le nez du mec. Elle avait rien commandé, surement ses parents mais elle l'ouvrait quoi. Bon du coup elle dira à ses parents ce soir qu'elle se sentait un peu fiévreuse par ce que sinon, comment expliquer sa présence à la maison et pas en cours. Elle ouvrit le paquet et vit alors... Un sex toy d'une taille relativement monstrueuse. Le livreur aussi profita du spectacle de voire l’engin fait en je ne sais trop quelle matière d'ailleurs!

-Wouah!

C'était un "wouah" à mi-chemin entre l’impressionnée et la surprise. même si elle est passablement salope, elle ne s'amuse pas seule avec ce genre de trucs. C'est pas amusant enfin! Le sport de lit c'est un sport collectif! Et elle trouvait improbable qu'on puisse vouloir se carrer un truc aussi énorme dans l'oignon. Elle s'était tapé un jour un mec qui a un calibre semblable... c'était pas vraiment plaisant au final. Mais surtout, ça changeait totalement son regard sur ses parents et leur sexualité.
bref, elle se retrouve au sot du lit, à moitié à poile devant un livreur, un énorme god dans les mains. Si les voisins voient ça, et ils vont le voire c’est obligé! surtout vu la commère que c'est la voisine du 12! ça allais jaser!
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Adam Bierce
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MessageSujet: Re: La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria)   La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria) I_icon_minitimeSam 7 Juin - 14:33

God Save the Queen

Comme dans tout travail ayant une partie du boulot en relation avec la clientèle, une partie du plaisir se trouvait dans les multiples rencontres de demi-minute que la vie nous occasionnait avec des parfaits inconnus. De ce point de vue là, un livreur était particulièrement gratiné vu qu’il avait plus que sa part en matière de rencontre totalement random. La faute au fait qu’un livreur allait voir les gens dans leur quotidien plutôt qu’un guichetier qui aurait droit à une version polie du citoyen lambda. Parce que le citoyen lambda se soignait un minimum avant d’allez voir des gens au travail. Pas celui qui était chez lui. La loufoquerie était donc de mise, surtout en Amérique où le non-gêne quand à son apparence à soi était implanté dans la culture populaire. Suivant la tradition des livreurs, Adam avait une page de son carnet où il comptabilisait toutes les catégories de personne qui avait un jour réceptionné un de ses colis.

Quand Maria ouvrit la porte, il su immédiatement qu’il allait pouvoir rajouter un trait à la catégorie « naked girl ». Si ses souvenirs étaient bons il devrait en être à la cinquième. Pour un mois de travail c’était plutôt un bon score. L’anarchiste appréciait de plus en plus ce boulot. Dans une imitation parfaite du caméléon, un de ses yeux reluqua en douce les courbes à moitiés cachées de l’adolescente tandis que l’autre soutenait son regard (l’adolescente en question se payait un corps à faire quiller un eunuque, un œil, ça avait des besoins bordel !), pas gêné pour deux sous d’avoir réveillé la donzelle un lundi matin en jouant avec sa sonnette. Premièrement, Adam adorait sonner chez les gens parce que l’on ne savait jamais qui allait ouvrir (et on avais parfois de bonnes surprises comme aujourd’hui) et aussi parce qu’au cas où personne ne répondait, on avait théoriquement le droit d’appuyer autant de fois que Dieu le voulait sur le bouton, ce qui amusa beaucoup l’enfant qui était resté en Adam. Et deuxièmement, notre anarchiste n’aimait pas faire des rollers avec le sac plombé par des colis en tout genre donc autant s’en débarrasser autant que l’on pouvait. Ses coups de sonnette intempestifs le privait bien souvent de la récompense du pourboire, mais chez Adam, l’amusement venait largement avant l’argent, parfois un peu trop devant d’ailleurs. Il fallait aussi parfois qu’il compose avec sa langue acide. Un peu comme maintenant : il était impensable pour lui de se faire ouvrir la porte par une fille qui faisait prendre de l’air à ses jambes sans noter tout haut cet état de fait à haute voix par exemple.

« J’ai toujours un stylo sur moi ; pas la peine que tu fouilles dans tes poches. »

Cette boutade aussi fine qu’un éléphant perdu dans un magasin de porcelaine lui sortit de la bouche en même temps qu’il tendait à la fille ledit stylo. Accessoire indispensable pour un livreur digne de ce nom. Absolument pas amusée par la situation, la fille usa du bic et ouvrit le paquet devant Adam avant même qu’il n’eut le temps de dire « signer ici s’il vous plait ». Du paquet sortit le compagnon de jeu au lit préféré des célibataires. Ce n’était ni la première fois qu’un des chargement d’Adam contenait un objet délicat de ce style, ni la première fois qu’une cliente (ou un client, ce qui avait toujours le don d’allumer une sonnette d’alarme dans la tête de l’anarchiste)  l’ouvrait devant lui. Parfois par surprise, parfois par exhibitionnisme malsain. L’expression de leur visage était naturellement assez facile à décrypter dans ce cas là. Suffisamment pour faire le tri entre les deux catégories en tout cas. Dans celui de la jeune fille, Adam était persuadé que s’était la surprise qui étreignait les traits de cette dernière quand elle tenait dans ses mains un « bilboquet de la reine ». Si l’accessoire n’était pas pour elle, il était alors pour ses parents, avec un peu de chance, juste pour la mère. Par pure empathie, Adam toussa poliment en tentant de ne pas se casser la gueule sur ses rollers avant d’ajouter :

« Tu sais, ça arrive beaucoup plus souvent qu’on ne le croie ce type de colis, j’ai déjà transporté bien pire. »

Mouais c’était pas terrible comme façon de consoler, mais bon, partit comme sétait partit, il valait mieux créer des occasion pour rire plus tard de la situation. En ce qui concernait Adam, il était sur le point de se marrer dès maintenant mais Dieu merci, il avait des nerfs et un certain sang-froid. Même si la tentation était tellement forte qu’elle devait ce voir sur son visage, ce qui ne plaira certainement pas à la cliente si elle s’en apercevait.
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MessageSujet: Re: La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria)   La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria) I_icon_minitimeLun 9 Juin - 18:26

Maria était toujours un peu sur le cul avec cet énorme engin dans les mains. Le livreur semblait pour sa part très amusé par la situation et trouvait moyen de faire des mots d'esprit dans tout ça. Quel putain d'enfoiré ce mec. D'autant que ce qu'il disait lui faisait s'imaginer des scènes juste immondes entre ses deux parents. Elle en venait même a imaginer que peut être que ce n'était pas pour sa mère mais son père. Ou un de ses frères. Il serait donc gay?! mais lequel?! euh attend ma grande tu t'emballe plus vite qu'un paquet cadeau pour un enfant de huit ans ne se fait déballer. Elle avait plein de scénar qui défilaient dans sa tête et ça se voyait. Et au passage, ça se voit enfoiré que tu te fois de sa gueule. Elle est pas débile no plus. Enfin, pas toujours quoi. Puis elle réfléchit un peu. Elle se dit que franchement, ça ressemblait ni à ses parents, ni à ses frères. par ce qu'après tout, c'est pas forcément pour se faire plaisire à eux mais pour une amie, érotiser le quotidien. mais c'est con a dire mais ses frères a côté d'elle sont des saintes ni touche du coup elle les voit mal essayer de carer ça dans le cul de leurs meufs. Et ses parents... bah c'est les dignes parents de ses frères. c'était un peu l'alien du point de vue sexuel dans sa famille. La seul grosse dévergondée qui couche à droite à gauche. 

Elle se décida alors à regarder le paquet qu'elle avait éventré. elle constata que l'adresse était écrite dégueulassement. mais a vrais dire, justement, elle a elle même une écriture très sale. Pas une écriture de fille toute belle avec de belles formes bien rondes et harmonieuses du coup, elle a développé un certain talent pour relire les écritures immondes, dans le but de tout simplement pouvoir se relire elle même. En gros, elle arriva à déchiffrer l'adresse et se rendit compte que ce n'était pour cette maison. ce n'était donc pas pour le 16 mais pour le 18. Haaaaaan Madame Galloway! elle cache bien son jeux cette vieille peau! remarque, si on veut l'avis de maria elle dirait bien que son mari a pas l'air de la satisfaire du tout. On se demande même s'il la touche. Du coup maria constata aussi très simplement que c'était pour les galloway. bah oui pauv' cloche de livreur! suffit de regarder à qui c'est destiné!!! Maria ne se priva pas de faire remarquer ça au livreur. Elle l'attira dans la maison en le tirant par le col et claqua la porte derrière lui. Avec une grande violence, elle lui posa le débris de boite de colis sous le nez sur lequel on pouvait voire l'adresse écrite en pâtes de mouches.

-Tu sais pas lire pauvre con?! j'ai une tête a m'appeler galloway?! et tu confond le 16 et le 18 toi?! Comment j'fais moi avec cette saloperie maintenant hein?! explique moi trou du cul?! tu veux que j'te le carre ou je pense?! tu vas vite voire si t'as déjà livré pire!

pourquoi l'avait elle fait entrer?! simplement par ce qu'elle allait pas se mettre a lui gueuler dessus en publique devant tout le monde. Non... un peu d'intimité. Et puis aussi par ce qu'en disant cela, elle lui collait limite des cous de sex-toy en guise de ponctuation. Vous savez, ses parents sont italiens. Ils lui ont transmis la parole très gestuelle typiquement italienne. Du coup, avec un truc dans les mains, ça se manifestait par des petits coups de sex-toy. tiens fais toi biffler gourgandin! 

En tous cas, elle avait l'air pas très contente la nana. En même temps, quel service de livraison de merde!! as capable de lire une adresse.
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Adam Bierce
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MessageSujet: Re: La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria)   La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria) I_icon_minitimeLun 9 Juin - 22:44

Harry la Hache

Adam avait une certaine expérience en matière d’ouverture de god dans un emballage cadeau (une expérience très singulière, certes, mais pour quelqu’un ayant vécu plusieurs dizaines de mois dans une Crack House, on avait les relations que l’on méritait). Là, la cliente entrait dans la phase de déni. Mais non monsieur, je n’avais jamais vu ce god avant aujourd’hui. Ce genre de chose. Soupçonnant que la commande n’était pas pour elle, Adam imaginait qu’elle devait être en train de se faire du mouron pour la vie sexuelle des membres de sa famille. Le kaléidoscope de toutes les situations qu’elle imaginait les unes après les autres pouvait presque se voir dans ses yeux. Un peu comme le même phénomène qui frappait les gens sur le point de mourir et qui avait droit au visionnage en accéléré de toute leur vie. Sauf que là, Maria n’était pas en train de mourir, elle tenait juste une bite en caoutchouc dans la main. S’était presque pas pareil.

Ensuite, venait le moment ou ENFIN, l’heureuse élue pensait à zieuter un coup sur l’adresse histoire qu’il y aurait une erreur sur la personne. C’était un peu la partie qu’Adam craignait vu qu’il y avait plus ou moins une ligne de caca plutôt qu’une adresse en bonne et due forme sur le carton. Au vu des grands yeux écarquillés de sa cliente, Adam devina qu’il allait bientôt devoir utiliser cet adjectif qualificatif au passé : il s’était de toute évidence gouré sur l’adresse. Telle révélation n’était visiblement pas au gout de son interlocutrice qui le chopa par le col avant de le trainer à l’entrée de sa maisonnée. Adam faillit se casser la gueule à cause des rollers, il réussit à conserver son équilibre parce que c’était ça, ou être étranglé par son ex-cliente. A peine remontée la demoiselle.

Elle allait sans doute lui balancer le carton à la gueule en lui disant qu’il était une vraie triple buse de pas avoir pu lire l’adresse correctement. Et c’est plus ou moins comme ça que les choses se passèrent, les insultes en moins. Non mais franchement qui lui avait appris à parler comme ça ? Okay Adam aussi avait un langage à faire pâlir une poissonnière mais ça c’était normal de la part de quelqu’un ayant majoritairement eut des conversations avec des gens estimant que suivre la loi, c’était comme porter des vêtements dans un club naturaliste : inapproprié.

En plus de ça, l’adolescente se la jouait aussi « Harry la Hache » et le frappait méthodiquement avec son nouveau jouet, reproduisant la scène célèbre de la personne, pour le plus grand dam d’Adam qui ne s’attendait vraiment pas à être bifler ce matin. Bon certes il aimait les imprévus mais il ne fallait pas pousser non plus ! N’ayant heureusement pas sa langue dans sa poche et au final toujours amusé par la situation, il décocha à la jeune femme, entre deux coups de « bilboquet » le même sourire agaçant qui ne le quittait décidément pas avant de rétorquer :

« Et qui est le plus à plaindre entre nous deux ? Le livreur qui confond une patte de mouche avec une autre ? Ou la brave lycéenne qui appose sa signature deux centimètres près d’un nom qui n’est pas le sien ? »

Là-dessus, Adam avait commencé à s’approcher de la sortie et en avait même ouvert la porte avant qu’il ne fasse mine d’avoir oublié de lui dire quelque chose. Il se retourna et…

« Oh en fait, la commande… tu peux la garder ou avoir les couilles de l’amener à ta voisine, je m’en fous. De toute façon (sourire carnassier et exposition du reçu) t’as signé. »

Adam ouvrit complètement la porte avant de s’arrêter à l’entrebâillement, histoire de bien soigner sa sortie, l’heure de sortir quelques vers était tout indiqué.

« Sous le soleil naissant
Le livreur apporta séant,
A la nymphe endormie
Un paquet épris
D’une autre ! Mais cela ne l’arrêta point
Et la miss se retrouva ainsi
avec un god bien en main
Et se retrouva encore plus malapris
D'apprendre que ce n'était même pas le sien »



Adam termina par une révérence aussi sarcastique que ses laisses dont il se doutait bien qu’il n’y avait nul applaudissement à attendre de la fille. Il fit sauter prestement ses rollers en un demi-tour avant de reprendre sa tournée. Avec toutes ses conneries il allait être en retard.
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MessageSujet: Re: La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria)   La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria) I_icon_minitimeMer 11 Juin - 21:43

Il s'avéra que le livreur était un vrais bon gros connard. Ouais! un vrais connard! Il retourna à l'envoyeur le reproche que lui faisait comprendre qu'elle avait qu'à pas avoir signée comme une conne sans même lire le nom de la personne à qui le colis était adressé. Bon il a pas tors mais bon! d'abord! elle vient de se réveiller! Puis ensuite... bah laissons là dire quoi ensuite.

-Ouais peut être connard! mais si tu faisais mieux ton taf! j'aurais jamais signé ce colis et tu serais gentiment allé livrer à la bonne personne!

Mais le mec semblait s'en battre le steak de ce que la jeune lycéenne pendait et lui dit que de toute façon il se cassait et lui laissait le colis et que si elle le voulait, elle irait le rendre à la voisine. Non mais oh! il la prends pour qui?! elle va pas garder ce truc dégeu! bien sûr qu'elle va aller lui rendre et elle va pas se gêner. tu la prends pour quoi mec! elle a une grande gueule et pus de couilles que la plupart des mecs! ça la fera même bien rire d'humilier cette conasse de voisine. Jamais put blairer cette commère. Mais bon. c'est sur le principe même du geste d'Adam que Maria aimait juste pas du tout. Elle avait quand même bien envie de lui foutre au cul à ce connard de livreur son god là. Mais elle se retint et sortit juste sur le perron.

-Ouais c'est ça tire toi fils de pute! j'vais faire ton taf espèce de connard! j'vais lui donner moi son god à la vieille Galloway!

Dit elle en faisant de grands moulinets avec le god. elle traversa la rue, toujours habillée comme ça puis alla taper à la porte de la conasse de galloway. Elle lui posait ensuite son god dans les mains avec un sourire un peu dégueulasse.

-De la part d'un livreur incompétent et surtout bon plaisir!

Puis elle rentra chez elle comme une petite biatch qu'elle est puis retourna dans sa chambre finir sa grasse matinée.

Plusieurs jours plus tard
:

Maria était en train de marcher tranquillement dans la rue. Elle voulait juste faire les boutiques tranquillement comme bonne petite biatch qui aime faire les boutiques comme une biatch. elle marchait tranquillement en regardant un peu autour d'elle. Et là... qui elle voit pas?! L'enfoiré de fils de pute de livreur qui est en train de se boire une bière tranquilou. Maria en voyant ça décida de changer ses plans pour aller faire chier cet enfoiré. elle se posa juste en face de lui à la terrasse.

-Tu m'reconnais enfoiré?!

Dit elle en lui collant au passage un coup de pied. violente la nana.
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Adam Bierce
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MessageSujet: Re: La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria)   La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria) I_icon_minitimeMer 18 Juin - 20:05

The World's End

Dans les dessins animés et autres histoires fantasques, une ficelle scénaristique relativement fréquente faisait apparaître un personnage avec deux petites apparitions sur chacune de ses épaules ; un ange et un démon. Qui sont des images métaphoriques des cas de conscience dudit personnage. Et qui étaient naturellement en conflit la plupart des cas.

Adam aussi avait ses petites appariations bien à lui, et elles étaient elles aussi en conflit constant. Sauf que lui il avait deux démons. Toujours en concurrence pour savoir lequel avait eu la pire idée, quand ils ne lui chuchotaient pas leur sinistre projet tous les deux en même temps.

C’était un bon mensonge pour expliquer ce qui se passait parfois dans la tête d’Adam : inexact en tout point de vue mais assez pratique pour comprendre pourquoi il se comportait parfois en parfait enfoiré. Parfois, les ressorts interne qui soutenait la partie gentleman d’Adam lâchait tout simplement prise, phénomène relativement fréquent chez n’importe quel type d’individu, même s’il fallait l’avouer qu’il était plus fréquent chez Adam que chez d’autre. Parfois, quelqu’un devait en chier devant lui. Adam ne cherchait pas vraiment des excuses, juste des occasions. Et puis peut-être que Maria avait bien mérité une trempe de ce genre, et peut-être pas. Après tout quelle importance ?

Un psychologue l’a bien un jour questionné sur sa capacité à s’acharner sans raison chez une personne qui n’avait rien demandé. Adam avait simplement répondu « On dit qu’il faut aimer son prochain comme soi-même ; mais personnellement, je préfère moi-même. Mais je ne ferais pas entrer mes opinions personnelles dans ce débat. » Ce qui était un peu à coté de la plaque comme réponse (ce qui était là aussi assez fréquent quand on posait une question à Adam) en plus d’être une citation de Pierre Desproge, mais l’adolescent qu’il était alors n’aurait pas avouer cette dernière donnée pour rien au monde.

Tout ça pour dire que ce fut avec un grand sourire sur le visage qu’il fit avaler l’asphalte à ses rollers tout en quittant la maison de Maria. Il devina plus qu’il n’entendit cette dernière allez livrer le godemiché chez sa voisine car il avait déjà placé ses écouteurs sur ses oreilles pour profiter un maximum d’un bon groupe de rock pendant sa tournée. Ce qui était strictement déconseillé si l’on cherchait à éviter des sanglants accidents de la route. Mais aux yeux d’Adam, les précautions entraient dans la même catégorie que les matchs de foot à la télé : tant mieux si cela amusait les autres, mais lui vivrait très bien en s’en passant.

_________________________

« Alors Bierce, pour ce matin tu as réussis à trouver l’adresse ? J’ai pas à m’inquiéter des retombés d’un client mécontent ?»
-Nan.
-Sûr ?
-Ouais.


_________________________

Une poignée de jours plus tard

Un dicton dit « Si tu as demain un congé, alors profite de ta soirée ». C’était un dicton très peu connu, à vrai dire, seul Adam l’utilisait. C’était le privilège d’en être l’auteur.

Elle indiquait plus ou moins l’idée qu’il se faisait d’un jour de congé : comme une énorme sieste qui allait servir de moment-tampon pour amortir la soirée qu’il s’offrait la nuit d’avant. Ces jours ci, ce fut la grosse chaleur s’abattant sur la ville qui le décida à s’offrir un barathon. Telle activité n’était pas vraiment drôle tout seul mais on faisait toujours des rencontres intéressantes au bout de quelques pintes. Et puis le caractère lunatique d’Adam lui laissait peu d’ami enclin à passer une soirée complète avec lui.

Pour ce soir, le chiffre de pinte et de bar à parcourir sera de douze. Objectif qu’il se fixait toujours depuis qu’il avait vu ce qui était aujourd’hui son film préféré. L’histoire d’un barathon entre potes qui tournait vite au cauchemar what the fuckest quand ces derniers se retrouvaient attaqués par des aliens tentant de les transformer en citoyens modèles et politiquement correctes. Cette touche politique au dessus de ce pitch alcoolisé était un peu comme la grosse cerise sur le gâteau préféré de l’anarchiste, dont un tel synopsis ne pouvait que le faire frémir d’excitation.

Il en donc au milieu, à six pintes de l’après midi et sentait déjà délicieusement tanguer le monde autour de lui. Il tangua d’ailleurs encore plus lorsque qu’une furie parvint dans son champ de vision, et son pied, sur ses côtes. On aurait dit un coup de pelle sur du béton frais. Adam expira d’un seul coup tout l’air et toute la bière qui s’étaient retrouvé quelque part entre ses dents et son larynx. Une pulvérisation mi-gazeuse, mi-glougloutante aspergea sa table. La fille avait l’air plus qu’énervée. Comme si les deux protagonistes s’étaient quittés il y a cinq minutes de cela. Elle avait visiblement la dent dure, ne restait plus qu’à espérer qu’elle n’ait pas la griffe longue. Adam aurait pu réagir méchamment à une attaque si traîtresse et si coûteuse en bonne bière mais l’anarchiste était irrémédiablement et définitivement soûl. Et il était plutôt du genre à avoir l’alcool heureux.

« Aye ! » fit t-il en faisait traîner le « A » pendant de longues secondes en ouvrant les bras. Ce n’était pas un « aye » de protestation mais un plutôt un de style « Aye mon ami, ça fait longtemps que l’on ne s’est pas vu et je suis si complètement surpris de te voir que je pousse des "ayes"! » qu’Adam n’arrivait à sortir que quand il était bourré. Ce fut d’ailleurs son taux d’alcoolémie un poil plus élevé que celle du conducteur moyen qui l’empêcha complètement de se rappeler où, quand et dans quelles circonstances il avait bien pu rencontrer cette fille. Mais quand on avait une composition sanguine qui se mesurait en taux d’alcool par litre de sang, n’importe quelle personne était un ami. Surtout si l’ami en question arborait une poitrine.

« Aaaaah c’est malin maintenant j’ai gâché ma bonne bibin... ma bibo... ma bière, fit Adam en occultant presque sans le vouloir la question de Maria, Je pense que je vais en recommande une, je te prends une pinte si ça te dis. » proposa t-il en pointant sa pinte presque vide du doigt avant que ce dernier ne retombe mollement sur la table, faute de se rappeler qu’il devait le tenir en l’air. Quand on était pété comme un coing, on avait tendance à ne pas se soucier de pareils détails.
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MessageSujet: Re: La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria)   La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria) I_icon_minitimeJeu 19 Juin - 13:02

Le pauvre type qui était assis à la terrasse du bar expulsa le contenu de sa bouche en une projection rappelant un peu un aérosol. Hmmm tiens! en voilà une idée! un aérosol à bière!! bref, il pulvérisa de la bière un peu partout devant lui mais ne touchant, heureusement pour lui personne. La surprise du coup que lui avait collé Maria avait causé cette réaction. Puis après ça, elle se rendit compte que ce débile de livreur, alcolo en plus de ça, la remettait pas trop. Tout ce dont il se semblait se souvenir était qu'il l'avait déjà rencontré. Comment elle devinait ça?! Elle est certes lycéenne et l'alcool est interdit quand on a son âge mais vous pensez que ça arrête les lycéen américains?! Du coup elle avait déjà participé à des fêtes alcoolisées et elle connaissait un peu ce genre de réaction qui se maniesfta chez Adam comme un "Aye" de bienvenue.

Maria avait envie d'engueuler son mec et c'était pas le fait qu'il soit alcoolisé qui allait la rendre plus clémente. Au contraire même. Seulement, lui semblait plus se concentrer sur ses seins par ce qu'il la regardait pas trop dans les yeux. C'est sûr que s'il regarde pas son visage, risque pas de la remettre précisément. Et puis au passage, le fait qu'il évite la question trahissait le fait qu'il n'était pas trop apte à répondre. bref, elle croisait les bras en attendant une réaction autre qu'une réaction d'ivrogne et finalement... bah... il eut une réaction d'ivrogne sympatoche et lui offrit une pinte de bière. Elle esquissa alors un sourire un peu sournois en prenant la pinte de bière.

- oh merci! j'avais vraiment besoin d'me rafraîchir!

elle rpéparait un truc, ça se voyait par ce qu'elle disait ça de façon franchement hypocrite et complètement fausse! Et sur ce, elle versa le contenu de la pinte sur la tête de l'ivrogne en prenant bien son temps de tout vider et en secouant l'énorme verre pour être sûr que tout le contenu vienne se verser sur la sale tronche de con de l'autre. elle faisait à présent un grand sourire.

- Haaaaaa! merci! c'était vraiment rafraîchissant!
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Adam Bierce
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MessageSujet: Re: La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria)   La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria) I_icon_minitimeDim 22 Juin - 21:37

Au Guet !

On l’a déjà dit, mais Adam avait un caractère quelque peu lunatique. Un coup chaud, un coup froid. Un coup souriant, un coup souriant sur votre cadavre. Dans le meilleur des mondes, il aurait été le genre de type à être interdit à vie d’alcool, des fois qu’il y prendrait goût. Malheureusement nous sommes dans un monde où les barmans acceptent de l’argent de la part de quiconque est capable de les regarder dans les yeux sans avoir à lever le regard et Adam s’était donc accoutumé à un moyen de devenir encore plus colérique et imprévisible que d’habitude. S’il commençait très souvent l’alcool heureux, il le terminait rarement dans le même état d’esprit. Maria ne le savait pas, mais Adam avait un véritable feu qui lui brûlait l’esprit. De ceux qui profitaient du moindre appel d’air pour allez s’épandre ailleurs. Et seul un fou (ou en l’occurrence, une folle) lançait de l’alcool sur un feu.

D’un seul et unique mouvement, détense sèche, Adam bondit sur Maria et, après lui avoir empoigné l’arrière du crane, envoya ce dernier de toutes ses forces sur la table. Il lui fit une clé de bras derrière le dos sans lâcher ses cheveux, mit l’oreille de la jeune femme au niveau de sa bouche et lui parla, d’abord d’une faible voix qui frisait presque l’infrason mais qui était, à sa manière, très inquiétante pour qui se souciait de l’état mental de l’anar :

« C’est pas humain de gâcher de la bonne bière comme ça. De la bonne fermentation de glucidiques comme on n’en fait plus. T’as pas choisi la bonne gueule sur qui vider ton verre. On pourra faire du Picasso avec ta tronche une fois bien avant que je me calme. Oh je pourrais bien sûr me contrôler, mais j’en ai pas envie. J’pourrais aussi aviser le barman à travers la vitre qu’est en train d’appeler les keufs et décider de calmer le jeu maintenant, mais j’en ai pas envie. Ce dont j’ai envie, là maintenant et tout de suite, c’est de transformer ton corps en puzzle. J’aurais jamais le temps parce que l’acool me rend bavard comme une pie et que les flics de ce pays sont plus réactifs que des mouches. Mais laisse-moi te faire une promesse. Cette nuit, tu vas faire un cauchemar, un sacré putain de cauchemar parce que je serais dedans, et toi aussi. Je vais t’y tuer, et peut-être plus, qui sait ? Parfois j’ai une sacrée imagination pour ce genre de situation. Je pourrais faire carrière dans la torture. Pour l’avoir déjà fait, je sais que je suis capable d’opérer celle qui ne laisse pas un seul os indemne comme la psychologique où la personne sait à peine compter sur ses doigts en sortant alors que je ne l’ai même pas touché. »

« Bien sûr, je connais aussi la combiné, qui consiste à t’empêcher de compter sur tes doigts car il t’en manquera un sacré paquet qu’en j’en aurais fini avec t… » n’eut pas le temps de terminer Adam car ce fut à ce moment là que les forces de l’ordre arrivèrent sur la terrasse et lui abattirent le bras de la loi sur la nuque. Une botte de la loi s’appuya aussi d’un talon expert sur son jarret et le força à poser un genou à terre. Ce fut terminé en moins de quelques secondes et Maria fut vite emmenée à l’abri, plus loin. « Vous allez bien mademoiselle ? » Lui demanda un policier avant de se désintéressé de son sort juste après. Propreté et efficacité. Adam se dit que s’il n’avait toujours pas gouté à la bille de fer enchâssé dans la matraque, s’était grâce aux nombres de témoins, assez conséquent.

« Allez on l’embarque. Cria un chef à ses hommes avant de se tourner vers Maria. « Vous êtes en situation de déposer, mademoiselle ? Pour ce genre de procédure on pourrait se passer de votre version des faits mais on préférerait faire ça dans les règles. »
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MessageSujet: Re: La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria)   La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria) I_icon_minitimeLun 23 Juin - 18:57

Bon bah... ce mec est un taré! il péta littéralement une durite sur Maria. certes elle l'avait cherché mais... ça vaut pas le coup de péter un gros câble comme ça. tout ça pour un peu de bière renversée sur la tête. Le fou se saisit violemment de Maria par l'arrière de la tête et la plaqua contre la table à laquelle il était assis un peu plus tôt. Il lui fit en plus de ça une clé de bras. Pour un mec saoul, il est plutôt adroit.  A cause son geste maria se cogna le front à la table ce qui la sonna légèrement. Le mec commença alors à lui proférer des menaces avec une intonation de gros psychopathe. Autant d'habitude maria faisiat la maline, autant là elle en menait pas large face à ce gros malade qui lui tenait des propos de gros malades. Elle commençait à paniquer et essayait de se débattre un peu mais la prise de ce type était bien trop ferme. Maria avait un couteau dans son sac mais bon, dans sa situation actuelle, ça servait rien vu qu'elle arrivait pas à le saisit. Puis, elle paniquait un peu. Autant à dreamland, on eu faire le malin mais dans le monde réel, quand t'es impuissant et qu'un mec te fait des menaces de mort, tu fais pas le malin. Elle se sentait impuissante et tout mais. Elle arrivait pas à se concentrer sur ce qu'il disait. Elle pigeait rien, tout se passait trop vite dans sa tête. Elle était à deux doigts de craquer quand les flics, appelés par le barman arrivèrent. Ils immobilisèrent assez vite Adam et éloignèrent un peu Maria qui semblait passablement choquée. Elle tremblait et une larme commençait à couler le long de sa joue.

- Vous êtes en situation de déposer, mademoiselle ? Pour ce genre de procédure on pourrait se passer de votre version des faits mais on préférerait faire ça dans les règles.
- Je.... je oui... d'accord.

Les hommes de loi embarquèrent le soulard et Maria également jusqu'au commissariat. Adam eut droit à la très cliché scène de la récitation de ses droits. Les policiers demandèrent alors à maria son âge et quelques informations sur la route. Elle apprit alors aux hommes qu'elle était mineur. oulalaaaaah! ça va couter chère à Adam ça. Elle put appeler ses parents, elle était un peu traumatisée faut avouer. Sa mère vint la rejoindre et elle put faire sa déposition alors que Adam était en cellule de dégrisement, en attendant qu'il cuve un peu et il sera certainement, après ça, pris en garde à vue.

- Alors... racontez nous votre version des faits mademoiselle.
- Je... j'étais en ville... et j'ai reconnu cet homme. il était passé livré quelque chose quelques jours plus tôt mais... c'était pas pour nous et j'ai eut des ennuis avec le voisinage à cause de cette affaire et... Je voulais lui dire ma façon de penser. Mais... il c'est mis à m'offrir de l'alcool et à tenir des propos incohérents... Je lui ai versé le verre sur la tête et c'est là qu'il m'a agressé et qu'il m'a menacé et... je sais plus trop.
- Je vois. On a recueillit le témoignage du barman qui corrobore votre version des faits. Si vous portez plainte, il y a de fortes chance que vous obteniez gain de cause et qu'il fasse plusieurs années de prison. Agression menaces sur mineur, trouble à l'ordre publique en état d'ivresse, fournir de l'alcool à une personne mineur, le tout sur une propriété privée. Et on a consulté son dossier, il est récidiviste... ça peu aller jusqu'à 20 ans de prison tout ça.
- Nous avons jusqu'à quand pour porter plainte?
- vous avez 10 ans.
- Tu veux faire ça?!
- Je sais pas encore j'aimerais réfléchir.
- Bien. Revenez au poste si vous souhaitez porter plainte. Vous pouvez vous en aller si vous le souhaitez.
- Merci monsieur!
- Merci.

Maria faisait toujours pas trop la fière. Elle fut ramenée à la maison par sa mère qui s'inquiéta pas mal pour elle. L'adolescente fut quand même un peu traumatisée par cette expérience. Elle pensa à ça durant plusieurs jours. A priori, elle avait pas trop envie de porter plainte mais si ce mec revenait la faire chier, elle se gênerait pas. Au pire elle a toujours 10 ans pour ça. mais ça la calma et travailla quand même un peu cette affaire. Et au final, ça ut même un peu bénéfique pour elle par ce que ça lui avait fait prendre un peu de plomb dans la tête et de maturité avec le recule.
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Adam Bierce
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MessageSujet: Re: La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria)   La vie est une pute, et après on meurt (RP avec Maria) I_icon_minitimeJeu 3 Juil - 21:47

Flow my tears, the policeman said


Les flics et les témoins, s'était une grande histoire d'amour. Quand ils étaient séparés, les policiers se sentaient parfois tellement seuls et oppressés dans ce monde cruel qu'il leur fallait frapper dans les suspects pour décompresser. Quelque part, Adam eu de la chance vu que les agents qui l'avaient appréhendés accompagnaient également la fille au commissariat. Du coup, l'anar eut juste droit à un petit "trébuchement" au moment de monter dans la voiture qui lui éclata le front contre le haut de la portière. Halala hasard quand tu nous tient.

Pendant le voyage, ils lu lurent la traditionnelle liste des droits qu'Adam avait. Il la connaissait par cœur et la détestait depuis leur premier contact. Ensuite ils le traînèrent en cellule de dégrisement où il lança un regard noir à tous les occupants qui lui lancèrent un coup d'd’œil. Il détestait aussi ce genre de cellule. Heureusement pour lui, Adam ne fut pas présent quand Maria déposa sa version des faits. L'alcool charrié par son sang lui aurait fait perdre toute mesure et il aurait alors eu des réactions disproportionnés qui ne lui auraient qu'aggraver la situation.

_______________

Le lendemain matin, ce fut un Adam encore un peu gris qui pianota des doigts sur une grosse table rectangulaire (grise aussi) qui remplissait carrément toute la salle, autrement vide. Le côté impénétrable d'un miroir sans teint ornait la quasi-totalité du mur entre lui et l'unique porte de la salle. Mais c'était une putain de salle d'enquêteur de la Criminelle ça ! Adam se tritura sa mémoire pour se rappeler ce qu'il avait bien pu faire hier soir mais rien ne lui vint. Il se remémorait juste que ça concernait une fille, mais que c'était assez grave pour justifier l'utilisation d'une telle salle. D'autres explications pouvaient également entrer en jeu pour justifier pourquoi il se trouvait dans une salle dont la première fonction était de mettre une pétoche de tout les diables à son occupant : on souhaitait par exemple... mettre une pétoche de tout les diables à Adam... ou quelque chose dans le genre. Ou alors toutes les autres salles étaient prises.

La porte s’ouvrit et un inspecteur à l’aspect un peu bonhomme et à la moustache aussi frisé que le torse d’un muchachos entra dans la salle et s’assit à côté d’Adam. Il tenait dans ses mains un porte document fourni et une tasse de café. L’estomac de l’anarchiste gronda soudainement, il n’avait rien bu depuis son arrestation hier-après midi et rien mangé depuis plus de 24h. Cependant l’officier parut ne pas le remarquer. L’anarchiste avait également un mal de crâne épouvantable, pas seulement à cause des effets de l’alcool qui persistaient, mais également parce qu’il s’était battu avec un suprématiste hispanique couvert de tatouage dans la cellule de dégrisement. Il avait lamentablement perdu. Sa lèvre fendu laissait encore perler du sang quand il parla et il avait une petite croûte de sang séché quelque part près de sa tempe.

Adam désigna du doigt les objets apporté par le policier.
“Ce sont les outils du bon et du méchant flic dans une seule paire de main ça. Où est votre collègue ?”
-On est à court d’effectif le week-end,
répondit l’officier en portant la tasse à ses lèvres. Adam en aurait gémi de frustration.
-Je vois, donc vous vous buvez le café et moi je me met le poing sur le nez tout seul ?
-Vous êtes libre de vos mouvements vous savez ?
L’officier donnait l’impression de prendre un grand plaisir à la discussion. Un début de sourire s’étira sur ses lèvres
-Je peux partir alors ?
Le sourire disparut instantanément.
-Cela ne va pas être possible malheureusement. Agression et menace à l’encontre d’une mineur, trouble de l’ordre public, corruption par alcool –sur une mineur également. Et ce n’est là que la partie immergée de l’iceberg. J’ai le reste de votre dossier sous le bras. Reprenons depuis le début d’accord ? Vous êtes donc Adam Bierce, née le 16 Août 1990 à Seattle, fils de Kim Bierce et d'Ambrose Bierce, vous confirmer ?
-Non.
-Vous rectifier ?
-Non.
-Depuis l’âge de 13 ans, vous avez été interpellé plusieurs reprises par les forces de l’ordre pour troubles sur la voie public et vols à étalage, dès 15 ans, vous avez commencé à être arrêté pour possession de produit illicite, vous confirmer ?
-Non.
-Vous rectifier ?
-Non.
L’inspecteur de police frappa soudainement sur la table avec la force d’un boeuf.
“Arrêter vos conneries ! Vous n’êtes pas en situation de faire votre intéressant ! Le 11 novembre 2006, vous avez lancé un projectile contondant sur l’os du genou d’un agent en patrouille et arrêté sur ces entrefaites. Vous étiez accompagné d’une bande de jeunes de votre âge, vous confirmer ?
-Non.
-Vous rectifier ?
-Pour le genou, c’était intentionnel, je visais la tête.


L’inspecteur fut sur le point de lui lancer une réplique cinglante en réponse mais se fit visiblement violence pour garder son calme. L’interrogatoire continua plus ou moins de cette manière pendant plus d’une demi-heure. Le fait que les flics gardaient toujours une trace de tout stupéfiait toujours autant Adam ainsi qu’une solide envie de pisser étaient les seuls choses qui traversaient la tête du voyageur. Finalement, quand ils arrivèrent à l’affaire qui les intéressait, soit celle d’hier après-midi, le policier lui avoua à demi mot qu’aucune plainte n’avait été enregistré contre lui. Adam failli sauter sur sa chaise en poussant un cri de la victoire quand il apprit la nouvelle. Mais par une fabuleuse maîtrise de soi qui l’étonna, il réussit à ne rien laisser paraître pendant les deux prochaines heures où il dut régler quelques broutilles administratives pour avoir enfin le droit de quitter le commissariat.

Mais quelque part, il avait toujours une épée de Damoclès au dessus de sa tête. Si la fille n’avait pas porté plainte, le temps dont elle disposait pour le faire était carrément indécent et les chances qu’elle le fasse dans les semaines à venir étaient assez grandes et s’il savait qu’il serait folie de la voir ou de la contacter dans le monde réel, il serait encore plus dangereux de la voir sur Dreamland. Il pourrait croiser en elle une voyageuse, ou pire, une rêveuse. Rêveuse qui pourrait interpréter la présence de l’anarchiste dans ses rêves par un nœud psychologique qu’elle résoudrait en l’envoyant en prison. Quoi qu’il en soit, le mieux était de l’oublier et d’allez faire sa vie ailleurs. Ce qu’Adam faisait toujours, de toute manière.
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