Sphinx ♥ Méchant & Papillon ♠
Surnom : Sphinx Team : Général des Météors Pouvoir : Morpheur Sphinx (papillon de nuit) Points de Puissance : 44 500 Points Points de Réputation : 57 500 points Points du Membre : 833 points Double Compte : Bébert Messages : 654
| Sujet: [MAJ] La métamorphose du Sphinx Lun 5 Jan - 20:11 | |
| HOEFGEN Henri Aide-toi, le Ciel t'aidera.
L’homme au masque… -----------------------------------
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★ Nom : Hoefgen ★ Prénom : Henri ★ Surnom : Sphinx (avec son masque à gaz), le Vagabond (sans son masque à gaz). ★ Age : 20 ans. ★ Sexe : Homme. ★ Où habites-tu ? : Dans un studio à Paris.
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Ton histoire...----------------------------------- ♠ Classement à Dreamland : N°103 de la ligue M. ♠ Description Physique : - Spoiler:
Dans la vie de tous les jours, Henri est le genre de type qui passe inaperçu. Pour l’observateur peu attentif, il n’a rien d’exceptionnel, doté d’une paire de bras, d’une paire de jambes et d’une tête comme la majorité de l’humanité. Et ce n’est pas sa chevelure brune et ses yeux marron qui vont attirer tous les regards !
Portant, si vous vous approchez de ce jeune homme, comme si vous vouliez l’embrasser, quelques détails s’ouvriront à votre vue : vous remarquerez tout d’abord ses yeux, mare brunâtre de chocolat fondant agrémenté d’amandes, dont il est difficile de détacher le regard. Votre estomac s’agitera alors, tandis qu’une soudaine envie de dessert chocolaté se fera ressentir.
Vos yeux descendront ensuite le long de son nez, plutôt grand et pointu, s’attardant bientôt sur ses deux lèvres pleines, presque féminines, que l’on a envie de manger comme s’il s’agissait d’un fruit exotique à la chair pulpeuse et rouge. Ici et là brilleront des gouttes de salive, nectar amer qu’il faudra vous garder de gouter ! Car il s’agit d’un breuvage aussi dangereux et mortel que l’ambroisie, dont on ne peut jamais être satisfait.
Ses lèvres ne tarderont pas, ensuite, de s’étirer en un sourire mesquin. Leur propriétaire sait que le poisson est ferré et qu’il ne reste plus qu’à le déguster. Vous verrez ainsi scintiller deux rangées de dents, perles de nacre dans leur écrin de chair, qui sembleront protéger un met encore plus raffiné que ses lèvres : sa langue.
Cette dernière, loin d’être la grosse limace pâteuse et rouge que possède le commun des mortels, est plutôt longue et effilée, semblable à quelque glace à l’eau à la forme fantasque. Mais, bien loin de vous rafraichir, cette langue ne fera qu’attiser la flamme qui brûlera en vous, qui remuera vos entrailles, achevant de vous enlever vos dernières défenses.
Votre sort sera scellé dès le premier baiser.
Vous vous reculerez ensuite, contemplant le visage de cet effronté. Son front sera dissimulé par quelques mèches brunes qui retomberont sur ce visage plutôt rond en somme, mais étrangement attirant. Vous ne comprendrez pas l’origine de votre trouble, regardant les joues glabres aux sommets arrondies, les oreilles dissimulées par quelques mèches de cheveux avec incrédulité.
Puis, comme une enfant, vous vous jetterez dans ses bras tandis que l’étreinte, le piège, se refermera sur vous sous la forme de deux bras plutôt musclés. Votre corps sera pressé contre un corps aux muscles plutôt bien dessinés, même si vous remarquerez qu’à l’endroit où devrait se trouver des tablettes de chocolat, il n’y aura qu’une mousse informe, vestige de bonne chère.
L’homme vous surplombera d’une bonne tête, du haut de son mètre quatre-vingt-cinq. Vous ne tarderez pas à vous rendre compte que, si son ventre est mou, le reste de son corps est d’une dureté quasi-exceptionnelle, et vous vous presserez davantage contre lui.
Il enlèvera alors son tee-shirt blanc, ne conservant que son jean usé et ses Levis aussi ternes que sales. Mais, perdue pour l’éternité, ce genre de détails ne vous interpellera pas.
Ainsi, Henri n’est un danger que pour le beau sexe, les femmes. Il les charme avec son apparence qui semble banal mais qui a un petit truc qui fait craquer les femmes. Ni Henri, ni les femmes ne sont capables d’expliquer ce qu’est ce petit truc en plus, mais ce n’est pas Henri qui va s’en plaindre. Depuis son combat contre le N°79 de la ligue M, le Sphinx a changé, au point d'en devenir méconnaissable pour qui l'a fréquenté de près. Tout d'abord, l'intégralité de ses cicatrices et des ravages causées par le pouvoir obscur de son ex seigneur cauchemar ont disparues. Quant à sa pilosité (qui était passée de châtain à grise), elle est devenue bleue. Si bien qu'on pourrait croire à un lien de parenté avec Axel (ce qui ne blesse aucun des partis, vu qu'ils ne sont jamais rencontrés). Les yeux du Sphinx ont également une teinte différente dans le monde réel, ayant pris la couleur de l'ambre. Tout cela n'est pour déplaire à la gente féminine, bien au contraire, mais l'homme derrière le masque a changé, tant dans le monde réel qu'à Dreamland. Alors que c'était un coureur de jupons notoire, il a cessé d'être un consommateur vorace de chair fraiche et de bonne chère. . ♠ Caractère :
Grâce à la « rééducation » dispensée par son psy et les livres (à haute valeur morale) conseillés par ce dernier, le Sphinx a changé. Il s'est raccroché à des idées philosophiques afin de surmonter le drame qui l'a bouleversé, mélangeant les principes de l'enseignement de Musashi (concernant la Voie du Sabre) à la philosophie libertarienne de Rand revisitée par Goodkind. De base un jeune homme plutôt intelligent mais bien trop impulsif et colérique, le Sphinx est devenu bien plus calme, bien plus à cheval sur les règles qu'il s'était fixé. Parmi elles, quelques principes qu'il a trouvé lors d'une recherche sur Wikipédia et qu'il s'efforce de respecter : - Spoiler:
- Eviter toutes pensées perverses - Se forger dans la voie en pratiquant soi-même - Embrasser tous les arts et non se borner à un seul -Connaître la Voie de chaque métier, et non se borner à celui que l'on exerce soi-même -Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose -Prêter attention au moindre détail -Ne rien faire d'inutile
Mais, tout le monde étant faillible, il lui arrive de se déroger à un principe ou deux. Concernant l'objectivisme de Rand, le jeune homme a trouvé plus simple de respecter les leçons qui en découlent dans les livres de Terry Goodkind (auteur américain se revendiquant de cette philosophie ainsi que du capitalisme individualiste, qui en imprègne ses romans afin d'endoctriner ses lecteurs ou, du moins, de les convaincre du bien-fondé de ses croyances philosophiques). Elles sont au nombre de 11 - Spoiler:
1ère leçon : Les gens ont tendance à tenir pour vrai ce qu'ils souhaitent être la vérité ou ce qu'ils redoutent être la vérité . 2ème leçon : Les pires maux découlent des meilleures intentions . 3ème leçon : La passion domine la raison . 4ème leçon : Absoudre, c'est donner aux autres. Mais aussi recevoir d'eux plus que ce qu'on leur a offert . 5ème leçon : Rappelle toi ce que les gens font, et pas seulement ce qu'ils disent, car les actes trahiront un mensonge. 6ème leçon : Le seul souverain dont on doit accepter le joug est la raison. 7ème leçon : La vie est le futur, pas le passé. 8ème leçon : Mérite la victoire. 9ème leçon : Une contradiction ne peut exister, ni en partie, ni en entier. 10ème leçon : S'écarter volontairement de la vérité est une trahison envers soi même. 11ème leçon : La dernière règle est celle a laquelle on sait se plier sans contredire ce que l'on est.
Source : La saga de l'Epée de Vérité, écrite par Terry Goodkind.
Il fera ainsi souvent référence à ces leçons, lorsque la situation s'exigera. Bien entendu, il aurait pu se les approprier en les reformulant, afin de se faire passer pour un petit génie. Mais Henri, ou du moins le nouveau Henri, n'est plus du genre à s'attribuer le mérite des autres. En définitive, le nouveau Sphinx est un type plutôt discret quand il ne fait pas de longs discours moralisateurs. Il s'efforce de toujours dire la vérité, et de toujours la chercher (ce qui est un changement pour lui), d'avoir une conduite toujours honorable (nouveau changement, une fois encore) ce qui peut le faire passer à l'occasion pour quelqu'un de naïf même si, souvent, la deuxième leçon le fait agir de manière peu honorable pour certains. Il fait attention à toujours réfléchir avant d'agir, et n'aide que les personnes méritantes. En somme, il n'aidera jamais quelqu'un qui implore son aide car il le considérera comme un assisté. Pour avoir le droit de demander son aide, il faut avant tout la mériter, en agissant suivant des principes proches de ceux du Sphinx. . ♠ Histoire :
- Bonjour, est-ce bien Mr Hoefgen à l'appareil ?- Lui-même. Vous désirez ?- Désolé de vous l'annoncer ainsi, j'aurais préféré que vous ne l'appreniez pas comme cela mais... Vos parents et vos frères et sœurs viennent de décéder dans un accident de voiture.- C'est qui l'enculé qui me fait une blague pareille ?! C'est toi, Arthur ?! Tu trouves ça drôle ?- Je comprends votre réaction, et je souhaiterais également que ce ne soit qu'une plaisanterie d'un goût douteux. Hélas, c'est la triste réalité. Nous mettrons en place une cellule psychologique à votre disposition ainsi que...Le téléphone tomba au sol, laissant la jeune femme continuer son monologue. Les passants, interloqués, regardaient ce jeune homme d'une vingtaine d'années qui venait de faire tomber son portable au sol, et ne prenait même pas la peine de le ramasser. Au lieu de ça, il se contentait de rester figé, aussi immobile qu'une statue.
Choqué, son corps ne savait comment réagir. Ce n'était pas la première perte qu'il avait subi mais, hormis un léger choc, il n'en avait pas versé des fontaines de larmes. Le jeune homme avait toujours considéré la tristesse comme une émotion inutile, continuant de vivre comme si de rien n'était. Mais là, c'était bien trop gros pour être accueilli stoïquement.
Lorsqu'une personne âgée, ayant bien vécu, décédait, on se montrait triste mais, puisqu'on s'y attendait plus ou moins, on en devenait pas malade de tristesse. Mais lorsque sa famille proche disparaissait d'un coup, la vie devenait rapidement insupportable.
Alors qu'il restait figé, il prenait conscience de la perte qu'il venait de subir. Plus jamais, il ne pourrait prendre sa mère dans ses bras, lui parler ou l'écouter. Pareil pour son père. Ou même ses frères et sœurs. C'était d'ailleurs la perte de ces derniers qui le touchaient le plus profondément : leur âge allant de sept à vingt-et-un ans, ils avaient la vie devant eux !
Oubliant toute pudeur, il se laissa tomber à genoux et pleura à chaudes larmes. Son monde venait de s'écrouler.♦♦♦ L'accident avait été provoqué par un jeune conducteur sous les méfaits de la drogue. Il leur avait coupé la route, à un rond point, dépassant de beaucoup les diverses limites de vitesse. Le jeune homme aurait pu haïr ce type et décidait de le retrouver. Il n'en fit rien : il aurait pu être à sa place.
En effet, depuis quelques temps, le jeune homme s'était mis à dealer de la drogue, et également à en consommer. De plus, respecter les limitations de vitesse n'était guère une priorité chez lui. La seule personne que Henri se mit à haïr, après l'accident, ce fut lui-même. Il eut de grandes répercussions dans sa vie,, outre d'un point de vue moral.
Les parents du jeune homme ayant toujours été dans le besoin, il bénéficiait de beaucoup de bourses, en plus de l'argent envoyé par ses parents. Après leur mort, les bourses continueraient de tomber mais jusqu'à quand ? Et puis, elles subvenaient tout juste à ses besoins... Henri dut se résigner à quitter Paris, ville trop chère pour ses nouvelles ressources.
D'un point de vue strictement matériel, il avait tout perdu avec cet accident. Son père étant submergé de dettes de son vivant, il ne pouvait accepter l'héritage. Il était donc dans la mouise, financièrement parlant et, sans l’État, bah il pourrait même plus continuer ses études.
Mais la France ne fit pas que cela pour lui. On lui assigna une assistante sociale car, même s'il était majeur, il était préférable pour lui que quelqu'un l'épaule dans toutes les démarches qu'il allait devoir faire, pour s'inscrire dans un autre établisse, trouver un autre appartement, ce genre de galères. On lui assigna également un psychologue.
Au début, Henri était resté grosso modo lui-même. Ayant une piètre considération pour lui-même, il tenta de la noyer en s'offrant une bonne semaine de beuverie et de luxure. Mais cela ne marcha pas du tout. L'alcool le mettait dans un état encore plus dépressif, et le moindre râteau le réduisait à l'état de loque n'ayant qu'envie de mettre fin à ses jours. De plus, s'étant toujours conduit comme un connard avec tout le monde, il réalisa qu'il n'avait aucun ami, autour de lui, pour l'aider à surmonter cette terrible épreuve.
Alors qu'il avait toujours critiqué les psys, s'étant toujours cru plus malin qu'eux, ce fut en celui qu'on lui assigna qu'il trouva la seule personne susceptible de l'aider à surmonter tout cela. Au début, il avait fait preuve de toutes ses réserves de cynisme et de méchanceté gratuite à l'encontre du psy. Comme si, inconsciemment, il souhaitait dégoûter quiconque de l'aider. Une sorte de masochisme inconscient le poussant à tenter d'arriver au pire scénario possible, afin d'avoir l'occasion de se plaindre et de faire son Caliméro.
Car c'était là où résidait l'unique satisfaction restante d'Henri : se faire plaindre par les autres. Il voulait faire pleurer les chaumières, obtenir de l'attention ainsi. Pitoyable, pathétique, autant de qualificatifs qu'il méritait.
Concernant Dreamland, il se fit oublier. Bien entendu, le Sphinx existait toujours, mais il ne fit plus parler de lui pendant deux bons mois. L'accident n'ayant eu lieu que quelques jours après la Dreamfest, les gens pensèrent que cette disparition avait un lien avec l'événement, et ne cherchèrent pas plus loin.
Dans le monde réel, il n'était plus que l'ombre de ce qu'il avait été. Au moins, avait-il pris de bonnes résolutions : il abandonnait toutes les drogues, l'alcool, les conquêtes. Et, même s'il devait se retrouver à la rue, il se jura de ne plus jamais vendre de drogue, afin d'éviter que d'autres familles soient ravagées par des chauffards sous stupéfiants.
Le nouvel Henri était dans un si faible état psychologique qu'il était prêt à se raccrocher à n'importe quoi pour se trouver une raison de vivre. Si les mormons ou les témoins de Jéhovah étaient venus frapper à sa porte, peut-être qu'il serait venu plus tard vous emmerder chez vous afin de vous apporter la Bonne Parole. Mais le seul individu capable de l'influencer était son psychologue, qui eut néanmoins une influence positive sur lui.
Utilisant des méthodes peu orthodoxes, il lui fit reprendre ses esprits. N'hésitant pas à l'insulter afin de le sortir de sa coquille, il lui gueulait souvent dessus en répétant qu'il devait se reprendre en main, qu'il faisait pitié, et bien d'autres piques qui, en titillant son orgueil, faisait ressurgir l'ancien Henri à la surface.
Puis, il lui conseilla des lectures. De nombreuses lectures, capables de parachever son éducation, de faire de lui un homme sans qu'il y ait besoin, pour cela, du soutien d'un père en bonne santé. Le psy, d'origine japonaise, avait une manière de penser bien à lui et, presque paternaliste, il comptait en faire profiter Henri.
C'est ainsi que le jeune homme put se cultiver, au travers d’œuvres incontournables de la culture japonaise, sur des thèmes qu'il avait si souvent rejeter par le passé. La notion d'honneur, de devoir, mais également la notion de perfectionnement. Il fallait toujours chercher à être un homme meilleur car, si tout le monde faisait de même, le monde ne pourrait qu'en être meilleur.
De plus, Mr Shusen, son psy, lui avait révélé qu'il avait également traversé une mauvaise passe, comme Henri, et que c'était cela qui l'avait motivé à faire des études de psychologie. Il avait perdu sa famille et, plutôt que d'attendre, désemparé, que quelqu'un lui montre un chemin à suivre et le guide, il avait décidé de devenir le phare, le guide des gens désemparés, justement.
Ces paroles pénétrèrent profondément en Henri, et le firent mûrir. Il décida de suivre l'exemple du psychologue, mais à Dreamland. Ainsi, il fit son retour dans le monde onirique, mais sans son masque à gaz et donc, dans le plus grand anonymat.
Plus tard, après avoir orienté ses lectures vers la Fantasy qu'il adorait avant l'accident, et découvert la philosophie d'Ayn Rand au travers de la sage de Goodkind, il décida de continuer à se servir du masque à gaz quand cela était nécessaire, c'est à dire quand il devait se comporter de manière non honorable pour rester conformes avec les différentes leçons. . ♠ Les chroniques d'un N°103 de la ligue M :
. Le classement du Sphinx, durant l'hiver descendit puisqu'il disparut de Dreamland aux yeux du grand public. Il ne put se dissimuler au regard des médias qui, s'ils ne parlèrent quasiment pas de sa disparition, continuait à suivre ses actions de près. Hélas, il n'accomplit rien de bien étonnant, noyant sa peine dans des royaumes tels que Délirium City, Alcohall ou encore Sboobland.
L'image qu'il avait créé, le « Sphinx », n'avait plus aucune raison d'exister. Ce n'était qu'une imposture, une tentative d'un gamin immature de dix-huit ans de s'inventer une identité à travers laquelle il pouvait s'adonner aux pires actes, sans craindre de représailles dans le monde réel.
La perte de son masque (et un bref passage à Relouland, afin de rappeler à son souvenir certaines vieilles connaissances de l'époque où le Sphinx avait des contacts un peu partout) fit que plus personne n'était en mesure de reconnaître le Sphinx sous sa véritable (et nouvelle) apparence.
Cela l'arrangeait, puisqu'il ne voulait croiser personne qui puisse lui rappeler sa vie d'avant et, indirectement, l'Accident. Hormis peut-être Joël, et deux-trois autres élus dont Mike, dont il a un bon souvenir.
L'ancien masqué avait également compris autre chose : il ne pouvait pas se reposer éternellement sur ses pouvoirs. Et puis, au travers de ses lectures orientales, il était tombé amoureux des sabres et de leur maniement, aussi semblait-il logique qu'il oriente son pouvoir de manière à pouvoir, un jour, maîtriser les deux. .
J'aime - 1. La réflexion. 2. L’égoïsme rationnel. 3. Les sabres. 4. L'art sous toutes ses formes. 5. Ma nouvelle apparence. | Je n'aime pas - 1. L'altruisme désintéressé. 2. La tyrannie. 3. L'anarchisme. 4. Le communisme. 5. Les utopies. |
- Phobie : Henri a la phobie des papillons de nuit. Depuis qu’il est petit, il a peur de ces lépidoptères, et redoute surtout les Acherontia atropos, c’est-à-dire les Sphinx tête de mort.
- Pouvoir : Je vous conseille d'aller voir sa FT.
- Objet magique : Plus aucun artefact, mais le masque à gaz qu'on voit sur l'avatar devrait être trouvé dans l'un de ses prochains Rps.
• Le personnage sur ton avatar : Samurai Pet de... Samurai-PET. • Code du règlement : Sésame, ouvre-toi. Plus sérieusement, regarde la prez de Kaiser si besoin de t'assurer que le nouveau règlement est lu depuis longtemps.
Derrière l'écran...
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• Prénom ou pseudo: Sphinx, Kaiser ou K. • Âge: 18 ans. • Comment as-tu connu le forum ? Je suis là depuis bientôt deux ans. • Connais-tu Dreamland ? … • Depuis quand fais-tu du rp ? Cela va faire quatre ans, il me semble. • Des critiques sur le forum ? Je ne fais pas de mystères sur ce que je pense. Tout a déjà été dit lors des divers débats. • Une remarque ? Je voudrais que l'ancienne présentation soit conservée, avec toutefois la mention [OLD]. Ceci afin que tout le monde puisse voir la présentation de l'ancien Sphinx, et éviter les nouveaux arrivants pouvant s'imaginer que je commence un personnage au rang 103 de la ligue M.
Dernière édition par Sphinx le Mer 4 Mar - 22:54, édité 2 fois | |
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