All-in for the scam [Warren & Sphinx]

Invité

Warren était couché sur son lit, la tête sous ses bras. Sa jambe droite était croisé sur sa jambe sur sa jambe gauche. Son regard portait sur le plafond gris de sa chambre alors qu'un grand sourire marquait son visage. Un autre universitaire était à genoux devant son lit débitant pourquoi il n'avait pas encore payé la somme, avec intérêt, qu'il avait emprunté au dandy. Le blond s'en foutait complètement, il n'y avait pas de raisons valables pour lui; on paye ou on le paye de son corps. Même si tu avais absolument besoin d'acheter des médicaments ou si tu avais désiré de donner quelques dollars au sans-abris en chemin, le centime près devait être remboursé. Il y avait des alternatives à être tabassé si l'on ne le remboursait pas, mais ça touchait soit l'humiliation en publique, et par humiliation je ne parle pas juste de rire un peu de la gueule de la personne, ou ça touchait à ''aider'' le caïd en remplissant des transactions illégales. Pour ce dernier, tout ceci était un ''rush'' de pouvoir immense. Le simple fait de pouvoir exercé un contrôle comme ça sur les gens lui donnait des sensations plus fortes que tout. Il en était presque rendu avec un besoin d'être comblé par ce rush. Warren porta son regard vers sa victime avant de l''interrompre dans ses supplications :

- How are you going to pay me?

- L... like I said, mister, I... I will be able to pay you in one week.

- Right now, how are you going to pay me?

- Uhhhh... ar... mayb...

Alors que le pauvre ayant emprunté de l'argent à Warren cherchait ses mots et une idée pour le remboursement, le blond fut attiré par un petit son. C'était comme deux objets qui se cognaient entre-eux. Sa tête se déplaça vers l'un de ses subordonné qui avait une coupe de cheveux des plus ridicules, on aurait dit à celle du roi du rock'n'roll, Elvis Presley, qui avait quelque chose dans ses mains. Chester regarda les deux petits objets avec lesquelles jouaient son homme de main avant d'avoir une idée. Le type devant lui serrait peut-être chanceux au final.

- Look, we are going to play at something. We will throw these two dices, the one who is the farther away from seven wins. If you win, I will let you pay me next week. If I win, you will still pay me in a week, but you will have to pay me twice the original amount you owe me.

- But... I cannot pay you the double, I don't have enought money.

- Well, we can take another arrangement if you want?

- Okay, let's roll the dice.

Warren prit les dés que lui offrait son homme de main avant de les lancés au sol. Le premier s'arrêta sur un trois alors que le deuxième désigna un deux. Le résultat n'était pas si mal, mais il aurait pus être mieux. L'homme qui lui devait de l'argent pris les dés tout en tremblant, ce lancer valait gros pour lui. Sa main tremblotante lâcha mollement les dés qui roulèrent sur le tapis. Son résultat était un net dix. Il se leva fou de joie du sol en poussa un cri de victoire. L'étudiant garantit à Warren qu'il aura l'argent la semaine prochaine avant de partir rapidement de la chambre. Le caïd de l'école s'en foutait un peu d'avoir perdu, il aurait son argent de toute façon. Il était plutôt heureux d'avoir trouvé une façon de se remplir d'argent. Une université aurait bien besoin d'un casino, non?

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Lorsque Warren arriva à Dreamland, il était dans une ville des plus ''réveillées'', si l'on ignore le mauvais jeu de mot. Il avait pénétré la ville des jeux de hasards, Kazinopolis. Son activité importante venait sûrement du fait qu'elle attirait de nombreux types de personnes. Ça pouvait autant être un homme qui avait jouer aux cartes avec sa famille avant de s'endormir ou encore une femme s'étant endormie devant sa machine favorite au casino. Ou encore, ça pouvait être un jeune blond réfléchissant à l'installation d'un réseau clandestin de jeux de hasard dans une des écoles les plus importantes de toute l'Angleterre.

Le dandy remarqua que son habillement était des plus adaptés à cette endroit. Il avait revêtit un pantalon et des souliers noirs propres pour le bas, alors qu'il portait une chemise blanche et un gilet sans manches noirs pour le haut accompagné d'une cravate verte. Il avait la gueule du croupier parfait, même il ne voulait pas faire le petit croupier. Warren voulait arnaquer les gens de leur possession, quelle meilleure façon de le faire, légalement en plus, que de les gagnés au jeu? En plus, c'est facile de manipuler ce qui se passe pendant la partie à l'aide de ses pouvoirs. On ne peut qualifier ça de tricherie, ce n'est qu'user de certains talents dans le but de gagner, rien que ça.

La tête dans ses bras, affalé sur son bureau, Henri pensait à ses problèmes d'argent. Habituellement, il parvenait toujours à éviter -plutôt habilement, il faut l'admettre- à repenser à ce genre de problèmes. Sauf que là, vu qu'on venait de lui couper l'électricité à cause d'un certain nombre de factures impayées... Difficile de se changer l'idée.

Bref, l'étudiant parisien était dans la merde. Et il comptait bien en sortir. Mais de quelle manière ? Il n'était pas désespéré au point de tenter sa chance au loto, ou dans un jeu de hasard quelconque qui ne lui rapporterait rien. Non, il devait frapper fort. Il ne pouvait pas se contenter de faire ce qu'il faisait avant, à savoir emprunter de l'argent à ses connaissances, sans jamais leur rendre.

Et les arnaques qu'il avait faites ne lui avaient apportées que des problème. Il était temps qu'Henri se trouve un job d'étudiant.

J'vous vois venir, vous imaginez qu'il comptait travailler à McDo, ou une autre connerie du genre. Bien tenté, mais c'est mal connaître le personnage. Henri en avait marre de vivre dans cet appart' merdique, et avait décidé de frapper fort. Il comptait travailler dans l'illégalité et faire de l'achat-revente. De drogue, évidemment.

Pourtant, que faisait le ticket de loto, posé devant le jeune homme ? Et que consultait-il fiévreusement sur son portable ? Avant de se lancer dans l'illégalité, le jeune homme avait décidé de se donner une dernière chance. Et avait rompu avec ses principes, décidant de jouer aux jeux de hasard, mais une seule fois.

Sauf qu'il n'avait aucun bon numéro. La tension était retombé, alors que l'espoir passager qui l'avait animé s'évaporait. Il ne serait pas le grand gagnant, ce soir. Il lui faudrait amasser des liasses différemment.

Peu à peu, notre homme s'endormit sur sa table, perdu dans ses pensées. Il espérait se réveiller à Kazinopolis, et ce fait consistait la seconde raison pour laquelle il avait décidé de tenter sa chance au loto.

La plupart de ses détracteurs se trouvaient à Kazinopolis, et le jeune homme voulait en finir avec ses dettes dans les deux mondes.

- Hé ! T'aurais pas du fric sur toi ? J'ai un super bon plan et...
- Pas le temps !

Le Sphinx n'accorda aucune attention au rêveur qui l'avait ainsi interpellé. Il n'aimait pas beaucoup les crétins ivre de richesse qui pullulaient dans les rues de Kazinopolis. D'autant plus que ces mêmes crétins permettaient à ses détracteurs de réunir des fonds, et donc, indirectement, d'envoyer des mercenaires à la poursuite du Sphinx. Enfin, le jeune homme avait autre chose à penser : il cherchait un casino bien précis.

C'est pourquoi, ignorant les sphinx volant, les statues de la Liberté qui jonglaient avec des mini-têtes d'Einstein et les autres conneries ambulantes, le Voyageur marchait rapidement, fendant la foule de Voyageurs avec une détermination inhabituelle. Sphinx en avait marre de fuir ; cette nuit, il se renseignerait sur ses trop nombreux ennemis. Et un jour, il frapperait et les éliminerait tous, se débarrassant ainsi de la vermine qui pourrissait ses rêves depuis son arrivée à la ligue Baby.

Sphinx était à la recherche du Giant Casino. C'était un établissement réputé, aux dimensions titanesques, dans lequel il devait rejoindre un informateur, qui répondait au nom de Tony. Tony était un jeune homme blond, toujours habillé classe, que Sphinx n'avait jamais rencontré de sa vie, mais dont on lui avait parlé. Le Sphinx avait donc fait transmettre un message à ce dénommé Tony, par le biais de l'un des hommes de main de ce dernier : il lui donnait rendez-vous cette nuit, devant le Giant Casino.

Le Voyageur masqué n'avait pas eu de réponse, mais se doutait que l'informateur allait venir. S'il l'avait choisi, ce n'était pas pour rien : l'homme avait fait partie de la Famiglia Addormentata, la famille avec laquelle le Sphinx s'était compromis à de nombreuses reprises, notamment aux Hunters Games. Et, comme on ne quittait pas cette famille aisément, Tony avait toujours peur, un jour, que ses proches retrouvent son cadavre dans un caniveau. Aussi n'avait-il aucun scrupule à aider un Voyageur comme Sphinx, qui commençait à se faire une petite renommée et qui avait une dent contre cette organisation. Bien entendu, moyennant finance.

Au bout d'une bonne heure de marche, notre homme se retrouva à quelques mètres des lumières entraînantes du Giant Casino. Il se mit alors à détailler les passants, à la recherche de son homme et ne tarda pas à le trouver : blond, coiffé avec classe, plutôt grand mais légèrement plus petit que le Sphinx, chemise blanche, gilet noir sans manches accompagné d'une cravate verte.

Tony n'était qu'à quelques mètres du Sphinx et faisait mine de se diriger vers le casino, afin de ne pas éveiller les soupçons. Notre homme s'en approcha à grandes enjambées et, posant sa main sur son épaule afin de le tourner vers lui, il se pencha en avant afin de lui parler tout bas.

- J'espère que vous ne m'avez pas attendu trop longtemps, Tony. Quelles informations pouvez-vous me donner concernant la Famiglia Addormentata ?

[HDJ: Mon perso te prend pour Tony, un informateur qui mouille dans pas mal d'affaires louches. À toi de voir si tu joues le jeu, ou si tu tentes d'expliquer qu'il y a méprise ^^]

Invité

Tony? Il croit que je me nomme Tony? Soit ce type au masque à gaz doit se tromper de personne, soit il n'a plus toute sa tête. En plus, qu'est-ce que la Famiglia Addormentata? Je sens bien que je risque de perdre mon temps avec ce laideron, seulement un laideron porterait un masque en publique, si je ne dis pas tout de suite que je ne suis pas la personne qu'il recherche. Mais... d'un autre côté, ce n'est pas comme si j'avais quelque chose à faire de mon temps : ça pourrait me divertir un peu.

- Ahhhh, ce n'est pas important monsieur, nous avons toute la nuit devant nous n'est-ce pas? Mais avant de parler d'affaire, j'aimerais bien partager un verre avec vous. Je ne veux pas vous faire perdre votre temps, mais discuter autour d'un petit verre m'a toujours facilité la tâche pour partager mes informations. Suivez-moi s'il vous plaît.

Warren, alias Tony, se dirigea vers le Giant Casino d'un pas qui semblait confiant : il ne devait pas montrer à cette énergumène une quelconque action pouvant mettre à l'eau sa fausse identité. Ça sera plutôt difficile considérant le fait que le blond devait refiler des informations à propos d'une certaine famille dont il n'a entendu le nom sortir que de la bouche de l'homme au masque à gaz. Mais bon, la comédie se transmettait du côté maternel de sa famille depuis des générations, il arriverait bien à improviser un quelque chose de potable. Il s'assit à une table avant de commander deux whisky.

- Bon, encore une fois, ce n'est pas pour perdre votre temps, mais je veux m'assurer que vous êtes la bonne personne. Si jamais je serais entrain de causer avec un membre de la famiglia... vous savez ce qui m'arriverait. Alors, dit le blond en poussant un crayon et une serviette de papier à l'homme, j'aimerais bien que vous m'écriviez votre nom, pour en être certain.

Warren pensait que c'était une bonne idée pour une personne qui n'était pas du tout préparée. En faisant croire qu'il était méfiant de son interlocuteur, celui-ci ne devrait pas le suspecter d'être un usurpateur. Peu importe le nom qu'allait écrire l'homme au masque sur la serviette, il jouerait le jeu comme quoi il était celui qu'il attendait. Le seul problème qui pourrait arriver serait qu'il marque un faux nom, mais, les informations qu'il voulait semblait des plus importantes. Douter de son informateur maintenant serait idiot... ou intelligent. Peu importe, espérons juste que le bon nom arriverait. L'homme griffonna des lettres sur la serviette avant de la redonner à «Tony». Warren regarda la serviette avant de la déchirer.

- Ça me semble clair, alors passons aux informations que je vous dois. J'aimerais mieux que vous demandiez directement ce que vous voulez savoir, comme ça on pourrait reprendre le temps que je vous ai fait perdre. J'attends avec attention vos questions.

Tout allait bien, Warren tenait bien son rôle et croyait qu'il était convaincant. Il n'y avait qu'une seule chose qui pourrait mal à tourner comme dit plus haut, s'il avait écrit un faux nom. Mais bon, les dés sont lancés, voyons voir comment tout se déroulera.

[HDJ: J'ai pas dit qu'est-ce qui était marqué sur la serviette pour te laisser un peu de libre pensé. Tu peux demander des informations à mon personnage si tu le veux, il te dira plein de merde par contre.]

Quoi ? Ce n'était pas important ? Le Sphinx n'en croyait pas ses oreilles. Le dénommé Tony voulait partager un verre avec lui avant de partager ses informations. Hésitant, le Voyageur au masque à gaz fut trop étonné pour répondre et suivit l'informateur avec empressement. Plus vite notre homme aurait ses informations, plus vite il pourrait accomplir ce qu'il avait à faire.

Pendant ce temps, un informateur blond cherchait dans la foule un morpheur au visage dissimulé derrière un masque à gaz. Il ne tarda pas à le voir rentrer dans le Giant Casino, sur les pas d'un jeune homme aux cheveux blonds qui lui ressemblait plutôt beaucoup. Le vrai Tony -car c'était lui- hésitait toutefois à les suivre : si ce jeune homme était un espion et faisait partie de la Famiglia Addormentat, Tony n'avait pas envie de s'y frotter même aux côtés du Sphinx.

Mais revenons-en à Sphinx et Warren. Ils étaient à présent attablés devant deux whiskys. L'homme au masque à gaz contemplait le sien fixement, se demandant certainement s'il y avait un moyen de le boire sans enlever son masque. Semblant avoir trouvé la réponse, il se désintéressa de la bouteille et riva les deux globes obscures qui lui servaient de regard dans celui de son compagnon de table.

Ce dernier voulait s'assurer qu'il n'était pas en train de causer avec un membre de la Famiglia et avait donc besoin qu'il écrive son nom sur une serviette en papier, afin qu'il en soit certain. Hochant de la tête, le Sphinx prit la serviette et y écrivit « Sphinx ». Il la tendit ensuite au blondinet, qui la regarda puis la déchira.

Il semblait satisfait, et déclara qu'il était temps de passer aux informations qu'il devait au Sphinx. Toutefois, il voulait que l'homme masqué lui demande directement ce qu'il voulait savoir, afin de reprendre le temps qu'il lui avait fait perdre. L'homme masqué décida d'exaucer ses souhaits.

- Ce que je veux savoir ? Ton nom, tout simplement. Tu n'es de toute évidence pas Tony. Mais tu ne travailles pas non plus pour la Famiglia, sinon tu serais déjà mort. Qui diable es-tu ?

Mais comment le Sphinx pouvait-il savoir ? Quelqu'un qui ne s'était pas renseigné sur Tony ne pouvait certainement pas le deviner. Tout d'abord, l'informateur supportait très mal l'alcool, et était réputé pour se contenter d'un verre de lait lors de ses déjeuners d'affaires. C'était la raison pour laquelle le Sphinx avait contemplé aussi étrangement la bouteille de whisky. De plus, n'importe quel membre de la Famiglia savait qui était Sphinx. Donc, si le Voyageur masqué avait réellement été un espion de la Famiglia, qu'est-ce qui lui aurait empêché d'écrire « Sphinx » sur la serviette ? Ce soit-disant moyen de vérifier son identité était vraiment suspect.

Enfin, et c'était un détail qui avait son importance, Tony était une créature des rêves. Il avait donc des oreilles pointues, et non arrondies comme celles qu'arborait Warren. Dans la pénombre, le Sphinx n'avait pas remarqué ce détail, mais il en était autrement actuellement, alors qu'ils étaient éclairés par la lumière tamisé du casino. Cependant, la Famiglia n'aurait pas envoyé un Voyageur pour usurper l'identité d'une créature des rêves. Et c'était la raison pour laquelle le Sphinx n'avait pas encore bondi sur son interlocuteur : ce dernier n'en faisait pas partie, et s'était joué du Sphinx pour une mystérieuse raison.

- Bien. Je n'ai malheureusement aucun moyen de vérifier que tu ne m'as pas menti et tu vas donc m'accompagner jusqu'à ce que je trouve le vrai Tony. J'aviserai, ensuite. Bien sûr, tu peux toujours tenter de me fausser compagnie, et mourir en essayant.

Malgré que son masque dissimulait la moindre de ses émotions, il était facile de deviner que le Sphinx ne bluffait pas. Il n'hésiterait pas une seconde à éliminer une menace potentielle, surtout qu'il s'aventurait dans un véritable nid de vipères. Le temps était compté, et Sphinx sortit précipitamment du casino, de nouveau à la recherche de Tony.

Ce fut plus facile que prévu : un attroupement s'était formé, créant un cercle assez large. Au milieu du cercle, un jeune homme blond gisait, ensanglanté, alors que deux hommes -vêtus d'un uniforme noire et orange- lui assénaient des coups de pied. Même à cette distance, le morpheur était capable d'entendre la question que les membres de la Famiglia étaient en train de poser au pauvre informateur : « Où est Sphinx ? ».

Oubliant totalement le jeune homme blond, ce qui donnait l'occasion à ce dernier de fuir ou de faire ce qu'il avait envie, du moment que ce n'était pas trop près du Sphinx, le Voyageur masqué écarta les badauds violemment, sans se soucier d'en envoyer quelques-uns à terre.

- Tiens, j'vous cherchais !

Si quelqu'un avait pu voir à travers son masque, il n'aurait vu qu'un sourire carnassier, aussi lugubre qu'une promesse de mort.

[HDJ: Bref, va y avoir du combat.Tu peux jouer les mecs en noir si tu veux, leur inventer des pouvoirs, bref t'es libre de faire tout ce que tu veux concernant ces deux-là. Leur but est simple : ils sont chargés de trouver Sphinx et de le tuer. Aussi simple que ça. Concernant ton perso, n'hésite pas à me MP si quoi que ce soit ne va pas, premièrement. Deuxièmement, j'ai essayé de faire en sorte qu'il soit assez libre, de fuir comme d'aider les gros bras en restant à distance... ou même d'aider Sphinx afin de gagner sa confiance, qui sait.]

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