Dream Land Infinity RPG
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 Des dieux et des hommes [PV Carvey]

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Diavolo Mayor
Tyler Durden au chomedu
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Diavolo Mayor


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MessageSujet: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeMer 21 Sep - 10:16

Putain c’est haut...Je lève la tête pour zieuter le pic de l’Olympe, et bim le torticolis des familles ! Heureusement je sais m’auto-guérir comme un pro et aïe...merde ! Je me suis fait encore plus mal ! Foutue montagne, je vais te détruire à coups de poings dans le versant moi, tu vas voir ! Bon, par où qu’on y monte sur cette connasse ? J’approche une bande de gars hyper chelous, vêtus des peaux de bêtes, barbus et cuirassés, taillés pour la guerre ou pour former un grand de death metal destroy. Ils s’occupent de grandes bestioles qui ressemblent à des aigles ayant copulé avec des chevaux. La nature, parfois, ça vous dit juste merde et ça vient chier dans les bottes de la logique qui boitait déjà...Ah ouais, des chevaucheurs de griffons, la guide touristique que j’ai sauté la nuit d’avant m’en avait parlé. Les gars sont en osmose avec leurs bestioles et t’emmènent dans les hauteurs insondables des dieux moyennant quelques essences de vie. Tu parles d’un métier à la con. Après j’me dis que tu dois voir de zolis paysazes, mais bon, grosso modo on va pas s’mentir, tu fais le tacos pour les touristes hein. Bref, je vais voir un des gusses, je lui file la thune et en avant Guigamp, on est parti sur le dos de l’horreur à plumes et à sabots.

Premier truc une fois le décollage effectué, bordel ce que c’est inconfortable ! Mais le paysage t’envoie des paillettes de beauté dans la gueule, faut avouer. Ok les gars, y’a pire comme métier, vous auriez pu récurer les chiottes du Royaume des Doutes par exemple. T’imagines l’horreur, tu laves des chiottes pendant des heures, et quand tu as fini, tu te demandes si tu as bien nettoyé les chiottes pendant des heures...ouais, eux ils sont bien ici, y’a pas à dire. La montée est relativement rapide, mais merde c’est vraiment trop beau quoi. J’en chialerais presque si j’avais pas des burnes solidement accrochées. Le trajet, par sa fraîcheur et son côté sauvage, me permet de me focaliser sur la mission qu’on s’est donné avec Carvey, mon pote arnaqueur : trouver la disciple du vieux croulant de Memento. Apparemment elle est dans la mouise et elle a besoin de bras forts pour l’aider à sortir la mémoire du fond des souvenirs des vieux de la vieille de Dreamland. Parce que ouais, faut pas croire, j’ai de la gueule du bagou et j’suis un gros connard, mais je suis un jeunot dans Dreamland. Limite pour certains seigneurs je suis encore un bébé. Ne souriez pas quand je dis ça, c’est vexant. Donc bon, la disciple du papi, aux dernières infos glanées dans les plaines du commun des mortels, elle traîne ses mémoires à Myriade, la terre des divinités inventées par les humains, mais ils y croyaient y’a pas si longtemps tout de même. J’ai bien cherché à capter le truc, pourquoi comment tu crois une invention qui sort de ton derche, mais j’ai toujours pas bien compris le pourquoi du comment ils y croyaient. En même temps, ces humains...avec leur durée de vie pitoyable et leurs petits bras de poulets, tu m’étonnes qu’ils croient à tout ce que leur passe sous le pif. Sinon tu chiales, à leur place. J’vous ai déjà dit à quel point la montée de la montagne était belle ? Non mais faut le répéter, parce que ça envoie grave du pâté de Canin-Ville.


Arrivée sur place, je me rends compte d’une délicieuse vérité : les chouquettes sont dans la place. Alors moi, pas fou hein, j’vais direct au bordel du coin ou ce qui peut s’y rapprocher, et je commande la spéciale deluxe pour touristes. Harpies, sirènes, naïades, dryades, Muses, prêtresses, je donne mes bourses – les trois – à la gente féminine locale. Après m’être vidé gracieusement les bijoux de la couronne Mayor, je glande comme il faut à Olympie, je zieute les créatures, je regarde les étalages sur les marchés, je bouffe local et je dragouille une marchande qui me semble être une sorte de Gorgone. On finit dans sa piaule et croyez-le, croyez-le pas, elle a changé le petit Popol Mayor en pierre juste en le regardant. Elle lui a rendu sa forme originale une fois totalement épuisée, mais j’ai carrément eu l’impression de me faire violer les gars. C’était cool.

Bon, le tourisme sexuel c’est bien gentil mais ça fait pas avancer mon affaire. Carvey m’a dit qu’il faisait un détour par le Royaume des Richesses pour une affaire diplomatique de la plus haute importante (vous avez saisi le jeu de mots?) mais j’pense qu’il y a une femme ou un objet magique ou une lapine là-dessous. Je sens ces trucs là. Du coup j’me dis que je vais l’attendre, et forcément je commence à enquêter pour trouver la gamine. Une nana chelou qui gère la mémoire et qui cherche des disciples, ça doit forcément remuer du popotin à un moment donné. Forcément. Ou alors c’est le genre discret, le pet qui s’entend pas, qui sent pas, bref qu’est totalement inutile. Je vais la noter celle-là, on la gardera pour ma biographie envoyée à Relouland quand je serai Seigneur. Au fur et à mesure de mes pérégrinations, je discute avec des faunes, qui s’appellent doublement faunes du coup, qui me disent qu’il y a des combats de minotaures dans une arène officielle d’Olympie. Moi évidemment j’y cours, je m’inscris, et me voilà propulsé dans une petite arène bourrée de monde, dans un style très greco-mes couilles, entouré de taureaux bipèdes, de cerbères schizophrènes ou déchirés à j’sais pas quoi, et des centaures hyper huilés. L’ambiance bien homosexuelle comme on aime.
J’vais pas vous mentir, les potes, mais j’ai fait un carnage. Okay, je suis sorti avec la gueule en sang et le corps tailladé, un coup de corne dans le bide, mais les autres étaient par terre. Morts je crois. Ou alors bien blessés, mais on s’en branle j’ai gagné. Les créatures dans l’arène gueulaient mon nom « Liavono ! Liavono ! » alors j’ai commencé à gueuler Diavolooooooo ! Et là silence de mort. Un mec entre, hyper baraqué, trois mètres de haut, torse nu et épilé, une hache de guerre à deux mains qui faisait ma taille. Un casque en fer de hoplite et de la testostérone par pack de douze. Un mec gueule dans les tribunes ouais, c’est lui le champion, tu dois le battre pour avoir la couronne et devenir le champion, ouais, prouve de quoi t’es capable. Putain le gars il bouffe du pop-corn et se fait dessus quand il gagne, et c’est moi qui dois prouver de quoi je suis capable. J’ai juste halluciné. J’ai dit au géant et faisant un doigt au commentateur de mes deux : 


- Écoute, vu mon état, j’vais abrèger le combat. Tu déclares forfait maintenant ou je te headshot.
- Gné.


Le mec je vous jure, le mec me répond ça. Du coup je souris, je sens le médaillon vibrer, je saute, prend le géant par les cheveux et je le couche au sol, genre baaaaam ! Le mec bouffe de la poussière, il se relève mais je retombe d’un fucking salto trop stylé, les deux pieds sur la nuque. Brisée en deux, merci mon cul. L’arène est clouée, je remets mon manteau sur l’épaule et je sors dans les coulisses. Là tu as une dizaine d’impresarios qui veulent me faire signer des contrats de merde. Ils me harcèlent, du coup j’en prends un par la gorge, je le colle contre un mur et je le relâche quand je sens que son cou est réduit à l’état de farine animale. Les autres s’écartent et me laissent passer, blancs de chez blancs. Y’en a un qui a fait sous lui, si j’en juge à l’odeur. Tarlouzes.


Après ça, je passe quelques jours à me taper tout ce qui bouge, à boire tout ce qu’il y a à boire, et je me tape des gueuletons complètement immondes, en songeant qu’au Royaume de la Misère, des enfants crèvent la dalle quelque chose de violent. Justement je m’en branle mais alors vous pouvez pas savoir. J’organise des bagarres, des bagarres de bouffe, et j’arrête de faire le con quand on passe aux bagarres d’alcools. Les tonneaux et les bouteilles en verre ça déconne de trop, c’est moi qui vous l’dit les potes. Au bout d’un moment, j’vois une procession en l’honneur de la première Gardienne des Mythes. J’ai pas l’air comme ça, mais j’ai grave bossé le sujet, croyez pas. Je suis le bousin, ça amène sur les élévateurs qui vont à la Nervure des Rois, et sur place, je dois avouer que je suis juste scotché. Les connards qui ont construit le quartier sont des enfoirés de génies, putain ! C’est sublime, c’est classe, c’est beau, c’est élégant, c’est puissant, c’est prestige. Je veux la même à la maison. Je suis toujours la procession, et au bout, dans la plus grande des pyramides, je vois l’ancienne Gardienne, dénommé Neferyn. Et là, j’vous le dis parce qu’on est entre mecs, mais alors en la voyant j’ai la bonne gaule des familles, celle qui te transforme en bâton de sourcier et qui te dit à ton cerveau absorbé « je la veux ». Oui messieurs, je la voulais, vous pouvez pas savoir. Pis voilà, j’veux dire les potes je suis Diavoloche, un éternel romantique quelque part. Vous êtes en présence de quelqu’un qui s’extasie devant des yeux mouillés d’une fille, et pareil pour sa schneck. Le tout, c’était d’arriver à l’approcher. Je suis Diavoloche, je vous rappelle, donc je suis allé pousser les prêtresses de merde, pour aller directement saluer sa Seigneurie. J’vous avais pas dit que j’avais bossé le sujet comme un malade ? Ouais, du coup, je savais que l’ancienne Gardienne avait les boules contre la nouvelle, pour une connerie ethnique de j’sais pas quoi. Mais les boules comme aç les gars ! La meuf n’arrive pas à avaler, c’est moi qui vous l’dit. Du coup je vais la voir, et bon, j’vous dis tout, elle ne peut pas résister à mon charme. C’est le côté beau gosse des Mayor.


- Dégagez, vous m’importunez.
- Écoute, beauté fatale et étrangère, je suis Diavolo Mayor, fils de Prime Mayor, Seigneur de la Guerre. C’est moi le Seigneur, le paternel est mort au combat. RIP Padre.
- Et c’est censé m’intéresser ? Je suis en pleine cérémonie, et elle porte mon nom…
- M’en branle. Je viens vous voir pour vous dire qu’on est pareil.
- Ça, ça m’étonnerait.
- Descends d’un ton la milf, sinon ta gueule va finir sur les rochers d’Olympie. J’te dis qu’on est pareil, je cherche le pouvoir et ça passera par la guerre. Tu veux la couronne, tout le monde le sait, et moi j’veux aussi la couronne de chez moi.
- Et donc..,vous pensez à une alliance ? J’ai déjà des contacts, merci au revoir.
- Peut-être, peut-être, mais ce que je te propose, moi, c’est d’aller directement là où ça paie. Je te propose pas seulement le pouvoir, mais la puissance.
- Toi ? La puissance ? Tu n’es qu’un gamin.
- Ouais, mais un gamin qui va au Royaume Obscur pour devenir Duc. Pour reprendre Armacity et Fightland. Pour foutre le chaos. Pour faire du bruit. Je te le dirai qu’une fois : tu me suis et tu me suces. Tu me fuis et tu me fuiras pour le restant de tes jours. Par peur. Je précise parce que t’as peut-être pas capté la subtilité de ma….de mon beat.
- Le Royaume Obscur, dis-tu ? Voilà qui est plus intéressant...attends que la cérémonie se termine, et rejoins-moi dans mes appartements. Ma servante ici présente t’introduira.
- C’est toujours un plaisir que d’être introduit.




Autant dire qu’après un échange pareil, tu baises. Bah là pas du tout, elle m’a fait introduire après une fornication délirante avec sa servante en clandé, et on a parlé de stratégie politique. Elle ne me suivra pas au Royaume Obscur, pas pour l’instant, pas maintenant. Il faudrait des changements de grande envergure, et des garanties solides pour qu’elle me suive. Ça pourrait toujours se faire, ayez confiance en Diavolouuuu les gars...Blague à part, elle a vu mes plans, j’ai vu les siens, et je pense qu’on pourrait faire ami-ami. Okay, elle est grave bonne et super bien conservée, mais sa vraie beauté, c’est son esprit politique. C’est hyper rare que je dise ça, mais j’ai eu le sentiment d’avoir appris à ses côtés. Elle est monstrueusement intelligente, calculatrice, raisonnée. Frigide mais lucide, indifférente, rationnelle. J’aimerais bien la décongeler un de ces quatre soirs, ça viendra si je deviens ce pour quoi je suis né : le Seigneur Cauchemar de la Guerre, toutes catégories confondues.


Je passe du temps dans son palais, elle m’a mis en tant qu’invité d’honneur. Je suis abonné au cul de sa première servante, ça calme Popol Mayor quand je suis avec Neferyn. On parle beaucoup, tout le temps en fait. Elle me parle de ses visions politiques du monde, de Dreamland, et j’apprends, j’apprends. Je pourrais rester toute ma vie à l’écouter parler, socialement, ethnologiquement (c’est quoi ce mot sérieux?), philosophiquement, religieusement...le dernier c’est pour ma gueule, je viens de rencontrer une putain de déesse, et je crois en elle. La vache, serait-ce ce qu’on appelle l’amour ?  Non, putain c’est pire. De l’estime.
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Carvey
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeVen 30 Sep - 16:34

Alors les gars ! Je vais être cash ! N'écoutez pas ce que dit Diavolo, c'est que des conneries ! Non j'étais pas parti faire la bête à deux dos avec Athia, non c'est pas maintenant, je me réservais ce plaisir pour plus tard ! Si je m'étais séparé de lui là, c'est simplement par ce que cet enfoiré là, il est bien sympa mais il est complètement invivable ! Non mais j'vous jure, lui et la civilité ça fait 12 ! A croire que ses parents lui ont rien appris. Ah mais oui c'est ça ! Ses parents lui ont rien appris  en fait ! Non par ce que je vous explique. On était tranquilles, peinards, moi t'étais posé sur Bob et lui sur son démon du royaume obscur qu'il a pris la joyeuse idée d’appeler Ducmont... Non mais c'est quoi ce nom ?! Quoi Bob ?! Mais Bob c'est très joli comme nom ! Vous auriez voulu que je l'appelle Jeannot ?  Bref ! On était tranquilles. J'ai un peu moins honte d'être posé sur Bob quand je sais que Diavolo pour sa part est pas là à marcher comme un couillon. Le drame survient quand je donne à bouffer à Bob au moment d'une pause. Diavolo commence à vouloir me taxer  la bouffe de Bob. J'suis sympa, je lui fais une déclaration de dette comme quoi il me doit un truc et je lui donne. Non mais vous y croyez ça ?! J'suis pas radin quoi ! Je lui file un peu de provisions pour Ducmont... Le mec, il me prend tout et il se casse comme un enculé ! C'est du joli  la philosophie des Mayor. Den mode « je demande pas je prends ! » Et évidemment, Ducmont, il coure vite l'enculé, j'suis pas arrivé à le courser avec Bob qui est moins rapide. Et c’est comme ça que je me suis retrouvé au milieu de nulle part avec Bob qui crevait la dalle sans rien pour le nourrir. Évidemment, j'ai dû faire un détour par Jardiland pour acheter des provisions pour Bob. J'arrive donc avec quelques jours de retard au pied de la montagne imposante au sommet de laquelle trônait le royaume de Myriade.

D'après l'ancien, sa disciple avait besoin de coup de mains et d'après une vision reçue sous l'influence du tabac du shaman que je lui avais fais respirer, il avait eu la sensation qu'elle se trouverait ici. Bon, je devais donc trouver et Diavolo et l'apprentie du vieux. Quelque chose me dit que trouver Diavolo serait pas compliqué. Je suis au pied de la montagne qui monte en a-pic. Une pente presque totalement verticale. Faudrait être un grand malade pour tenter de l'escalader vu la hauteur. Moi je décide plutôt d'utiliser les commodités mises en place par les locaux. Un voyage en griffon. Je rassure Bob et je paye un supplément pour faire transporter Bob avec moi en haut. Je le rassurais pas ce que bon, les griffons, je pense qu'au nature ça peut bouffer du lapin et puis aussi par ce qu'il aime pas trop l'altitude. C’est pas naturel pour un lapin de voler m'voyez ! J'observe la vue magnifique alors qu'on traverse des couches de nuages. Je regarde en l'air et je vois qu'on ets encore loin des premiers cieux du royaume céleste. Décidément, le royaume céleste dominait réellement Dreamland et était pour le moins inaccessible sans le pass VIP de la celestiafest ou sans passer par le survival. Je me dis que je vraiment pas avoir le choix et que je vais devoir y aller. Je constate que Bob qui est dans une grosse cage portée par un griffon a préféré essayer de s'endormir. Il est à moitié en PSL le pauvre. La vue est magnifique. On vol dans une mer de nuages. Myriade est là, ou plutôt Olympie. Le soleil est masqué par la montagne ce qui donne l'impression que la ville est entouré de halo de lumière qui lui donne des airs plus majestueux encore. On arrive en ville. (Je me reteins de faire une référence comédie musicale là putain!) C'est cosmopolite, ça grouille dans tous les sens, des créatures de toutes tailles et de toutes formes. On en croise beaucoup dans Dreamland des créatures originaires d'ici mais la plupart sont plutôt agressives. Sont engagées pour garder des lieux. Certains ont un peu dégénérés pour devenir plus des monstres que des créatures.

Bref, me voilà sur place. Où chercher en premier ? Bon, on va se concentrer sur la disciple par ce que diavolo, il doit pas être difficile à trouver. Et pour preuve, je passe avec Bob qui est encore dans le cirage à côté d'une arène et j'entends hurler « diavolo ! Diavolo ! » Je me palm-face. Ce mec et la discrétion ça fait vraiment 12 ! Bon après, c'est un seigneur de la guerre. On chasse le naturel il revient au galop. Je trace ma route. Pendant que monsieur s'amuse, moi j'ai du travail. Je sais pas pourquoi mais j'ai la sensation que c'est moi qui vais tout faire dans cette histoire. Bon, si j'étais une disciple de la mémoire, où je me planquerais ? Dans un lieu de mémoire. Il doit bien avoir une sorte de bibliothèque ici. Ou, il y a des chances qu'il y ai des bouquins. Et un bouquin, c'est un objet de mémoire. Bon, autant vous dire que j'ai joué le détective privé à espionner toutes les rates de bibliothèques pendant plusieurs jours sans succès, pendant que cet enfoiré de Diavolo là, il s'envoyait toutes les putes du royaume ! Et dieu sait qu'il y en a ! Du coup j'en ai ras le fion là. Je décide de prendre mon stocke, mon lapon et ma paire de couilles, je me pointe devant le palais de la reine Sybille, reine actuelle de Myriade. Par ce que moi aussi je m'y connais hein ! Mossieur Diavolo ! Et moi j'ai même pas besoin de potasser le truc par ce que moi je suis curieux et je me tiens au courant ! Hein sale enfoiré d'égocentrique ! Et naturellement, dans un premier temps, je me fais jeter comme un malpropre. J'essaie de passer tranquillement la porte mais je me fais arrêter par une masse d'un cyclope qui mesurait plusieurs mètres de haut qui me barre la route. Soit dit en passant... Enfin un peu de dialogue histoire de digérer un peu tous ces gros blocs de texte hein !

- Halte-là !
- Ah mais je suis attendu à l'intérieur !
- Qui vous attends ?!
- Mais enfin ! La reine Sybille ! Je suis Carvey, modeste marchand de mon état et j'ai été mandé par la divine reine Sybille qui se montrerait intéressé par certains des objets que j'ai à proposer.


Pourvu que cet abrutis monoculaire et non mono-testiculaire jusqu'à preuve du contraire, ne décide pas de vérifier si je ne mens pas. J'ai l'air convaincu de ce que je dis. La base de tout bon bluff. Il semble réfléchir, regarde son collègue qui hausse les épaules, je le regarde aussi air de dire que j'ai pas que ça à faire et je marmonne « hmmm j'espère que la reine aime attendre. » et le soucis c'est qu'ils savent bien que non. Elle aime aller directement dans le vif des choses et attendre n'est pas son fort. Sous le coup de pression que je leur mets, ils finissent par me laisser passer. Je rentre, suivi par Bob. Je monte les marches de ce qui ressemble plus à un temple qu'à un palais. Tout est fait de marbre et d'or et diverses créatures de haut rang marchent en ces murs. Qu'est ce que je fais là ? Eh bien, dans ma quête, autant essayer de m'allier avec la patronne des lieux. J'observe, j'essaie de trouver une personne qui pourra m'aider à rencontrer la reine. Je finis par remarquer une sorte de mouvement de foule. Je suis le pas et débarque dans ce qui ressemble étrangement à une sorte de coure dans laquelle se déroule ce qui ressemble à une séance de doléance. Oui, je sais, je devrais apprendre à diversifier mes formulations de phrases. Par ce que là ça sent le renfermé et la consanguinité.

- Mais puisque je vous dis que je suis à deux doigts de le trouver ! J'ai juste besoin de votre autorisation pour pénétrer les lieux ! Avec ça, je pourrais sauver mon royaume.
- Je me répète Disciple de Memento, il est hors de question que je t'autorise à pénétrer le cœur de la montagne. Personne ne sait ce que cela pourrait apporter à notre royaume. Je ne sacrifierai pas le bien de mon royaume pour le tien !
- Mais...
- Il n'y a pas de mais ! Ma décision est prise ! Doléance suivante !


La voilà donc la disciple du vieux ! Elle a l'air carrément plus énergique que lui. Elle quitte la salle furibarde. Je peux la suivre... Ou sinon je peux rester. Que faire. Il sera plus facile de revenir ici mais en un sens, j'aimerais battre le fer tant qu'il est chaud. Si Seulement Diavolo était là, on pourrait se séparer. N'empêche, la chance de cocu ! Arriver pile au moment de la doléance où elle cause. Non franchement ! Une chance de malade ! Tellement de chance qu'on dirait une paresse scénaristique. Je regarde une dernière fois Sybille, dont je ferais bien mon 4 heure si j'en ai la possibilité puis je me retourne et décide de suivre la disciple. Je finis par la saisir par le bras dans les allées du palais.

- Aïeuh ! Mais qui êtes vous ?
- Carvey, marchand et aventurier. C'est ton maître qui m'envoie. Moi et un bourrin qui passe plus de temps à se battre et à baiser qu'à essayer de t'aider.
- Le... Le maître ? Il a envoyé des personnes m'aider ?
- Bah oui. C'est si surprenant que ça ?
- Il sait pourtant que c'est MA mission de ramener d'autres disciples ! Vous n'avez rien à voir là dedans !
- Maintenant que je suis là, je compte pas repartir comme ça ! Et puis, je peux t'aider à entrer dans le cœur de la montagne.
- Comment ?! L'accès y est interdit.
- Oh mais raison de plus d'y aller. Et puis, j'ai plus d'un tour dans mon sac. J'ai l'habitude de pénétrer des lieux dit impossibles.
- Et comment tu comptes t'y prendre ? C’est gardé ! Et pas pour dire mais tu n'as pas le physique d'un guerrier.
- Mais j'ai bien d'autres atouts et l'un deux c'est le prince des bourrins. Suis-moi et prends en de la graine.


Je me dirige vers la salle de doléances où la reine continue à officier, suivi par la disciple. Je compte lui donner un bon cours de léchage de fion assorti à un cour magistral de marchandage et une leçon de bluff et d'entourloupe. Elle m'en dira des nouvelles.
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Diavolo Mayor
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeSam 1 Oct - 15:32

J’crois que j’ai jamais été aussi heureux de toute mon existence. Si, y’a bien un moment, un seul moment que je vois plus heureux que celui-là, c’est le matin, quand ma tortue-réveil me regardait sans oser sonner, parce qu’elle me voyait sourire et qu’elle était jalouse. Jalouse à en crever de me voir aussi bienheureux, puant, suant, couvert de rouges à lèvres, de fluides divers et variés, d’odeurs diverses, mon verre de lait reposant toute la nuit pour m’accueillir à mon réveil matinal. Et surtout, jalouse à en crever quand je regardais Kate dormir à moitié sur mon torse, une moitié de sa nuit de voyageuse. Elle dormait comme un animal blessé qui aurait trouvé un refuge. On avait parlé jusque tard de sa vie triste, des mecs qui passent dans son cul pour mieux repartir même pas essuyés de son pauvre amour de fille paumée. Elle dormait comme un soupir qui aurait trouvé une oreille, comme des lèvres reposant sur mes lèvres, qui pourraient enfin s’ouvrir et donner de la voix, de l’amour, sans craindre une morsure animale. Ma tortue-réveil était jalouse de ça, mais je crois qu’elle était jalouse de ne pas connaître un bonheur aussi visible, dans les cheveux blancs de Kate qui ronflait sur mon torse, et qui riait dans son sommeil, quelque part dans un autre Dreamland qui rassemblerait nos deux êtres de deux mondes différents. Bah tu vois MC Bokken, là je suis tout aussi heureux, et pourtant, j’ai pas couché avec la dame. Neferyn me renverse de jour en jour et m’apprend la vie, celle que j’attendais depuis toujours. Elle a tout de suite vu que derrière ma folie se cachait des choses horribles, et encore derrière, encore plus effrayées, des choses tellement belles que ça me fait chialer d’avance que d’avoir à les sortir. Mon attachement à mes potes du Club, mes sentiments renversés hyper bizarrement pour Kate. Mon attachement pour mes frères. Elle a tout vu et elle m’en a parlé. Hier j’me suis effondré sur ses genoux, comme une merde. Elle le sait que je vais devenir fou, mais elle va me suivre, elle va m’aider, elle va m’encadrer, et plus on parle, plus elle devient essentielle, à un point que j’ai l’impression qu’elle, sa voix, son odeur, ses mots, ses yeux ont remplacé mon sang, mes veines, mon air, mon cerveau. Je sais que je ne l’aime pas, mais elle est comme ces gens que tu croises une à deux fois par vie : salutaire à vie. C’est au-delà de ce que j’ai connu, ce sera jamais ma meuf, c’est pas ma psy, pas ma mère, pas un remplacement de manque affectif, c’est juste une femme qui est arrivée dans ma vie au moment où elle partait en vrille, et comme la sienne est déjà en vrille, elle m’entoure de toute l’affection dont elle dispose pour que je sois heureux, que je sois sauvé, que je sois...ce qu’elle voudrait être et ce que je lis dans son regard qu’elle pose sur moi quand on joue aux échecs. Je veux être ce qu’elle voudrait que je sois dans ses yeux, dans sa tête, et je sais que ça correspond à ce que je suis déjà, avec juste des merdes en moins. Ma folie inexplicable, ce collier qui me bouscule les sens et les pensées, et plus que tout, la raison pour laquelle je me suis effondré sur elle : le pardon. Pouvoir pardonner à mes frères. Tu te dis, là, MC Bokky, que je suis en train de faire mon connard de sentimental, mais je crois qu’elle sait, à sa manière, toucher un point fondamental de mon être, comme personne, et que je l’attendais depuis des années sans trop savoir ce que j’attendais. Qu’on me dise que c’était et que c’est encore de ma faute, que je suis une merde, et qu’il faudra me pardonner avant de pardonner les autres. De là, elle me l’a dit, elle me suivra, jusqu’au royaume obscur, pour que j’accède enfin au duc qui possède ce collier, que je m’en débarrasse, et que je m’élève vers ce pour quoi je suis né, ce pour quoi Buki me prépare maladroitement: régner avec grandeur et bienveillance. Et tu sais quoi ? Pour la première fois, MC Bokky, j’ai rien su quoi répondre, rien, aucune insulte, aucune méchanceté, aucune menace. Juste la peur de ne pas être à la hauteur, la peur que connaissent bien mes frangins, Buki voulait me l’enlever, Sento voulait me l’intensifier pour mieux la détruire. Je les comprends maintenant, grâce à elle, cette Gardienne de Diavolo, le mythe Diavolo. Mais je sais que mes frangins ne perdent rien pour attendre, le pardon n’est pas dans mon programme.



Je pense à ça en l’ayant laissée en train de dormir dans son lit royal. Depuis quelques nuits, nous dormons chastement ensemble, moi à poil forcément, j’suis pas un puritain, et elle habillée très légèrement, d’une classe folle. Elle ne veut rien de moi, surtout pas mon chibre, mais elle ne veut pas dormir toute seule. Les déesses sont des solitaires, et la solitude te donne envie de te faire sauter du haut de l’Olympie. Y’a des royaumes comme ça, où t’as vite fait de confondre le haut et le bas, où les rats sont des anges et où les dieux se noient. J’en ai écrit une chanson, une vraie, à la lyre, pour elle et elle seule, et personne, pas même toi MC Bokken, pourra l’entendre. Je te l’ai dit, avec elle, j’apprends le goût de l’intime, du secret, et je me vêts d’élégance – de la sienne, évidemment. Elle est belle putain, si tu savais comme elle est belle. J’parle pas de la beauté des putes de la capitale, mais de celle que je vois dans ses yeux, dans son allure quand elle va officier les cérémonies, de son regard d’impératrice, de sa voix quand on parle au fond des draps, à s’en déchirer la nuit étoilée tout près de la divinité. Elle est belle et plus je la côtoie, plus je veux m’inspirer de sa beauté pour devenir meilleur.
Tu vois, MC Bokken, j’ai beau ne pas être dans mon état normal, et le savoir, et le vouloir, le changement d’états c’est un truc que le monde a réservé pour moi. J’ai parfois l’impression d’être une putain d’éponge possédée par tout ceux que je rencontre. D’être qu’un vase vide qu’on remplit avec l’eau des autres. Et je cherche à boire mon eau, pas celle du Prince de la Guerre, pas celle du fou, du possédé, du guerrier, du soldat, du chef de Club, de bastonneur. Neferyn, elle, me fait boire mon eau avec la sienne et celle de nos bains, je ne sais par quel miracle. Elle sait pour la mission du vieux de Memento, et elle m’a encouragé à franchement me bouger pour aider la disciple. Comme quoi ce serait bien pour moi d’aider les autres, comme un premier pas vers un mieux. Et je suis son ordre comme un putain de canard, mais aussi parce que je sens, de plus en plus, qu’une partie de moi trouve que c’est bien, que c’est cool, et qu’il y a plusieurs façons de faire la guerre. Je mûris comme un fruit pourri au soleil, et plus ses rayons me touchent, plus la pourriture s’enlève et le fruit se gorge d’un jus nouveau, un jus apaisé, un jus qui pleuvra sur mon bonheur de régner. Elle le sait, et elle me le fait sentir. Elle m’apaise. Je crois que ce qui me manquait, fondamentalement, dans les arènes, au bord de la mort, c’est quelqu’un comme elle. Une amie. Une âme. Une complice. Kate avait bien essayé, mais j’ai eu peur qu’elle ait peur. De moi. De moi putain...J’suis qu’une merde, Kate, MC Bokky te le confirmera…



J’arrête un peu de cogiter autant, et j’entre dans le palais de Sybille. Marbre et or, le coin envoie du lourd sur la déco, et y’a pas une merde de chien qui traîne en clandé. Les créatures se sentent hyper importantes et ça se branle sur des situations hiérarchiques de merde, très clairement. Bande de cons, vous n’avez rien compris à Myriade. Y’a que les dieux, vous vous êtes les sous-merdes de croyants, et les sujets les plus beaux de toutes leurs créations pourries. Le reste, c’est de la bureaucratie pour que le truc ne se barre pas en couilles total. Je finis par débouler dans une cour où la Gardienne actuelle tient salon en recueillant les plaintes de sa populace. Tu parles d’une place de merde, écouter des gens se plaindre à longueur de journée, ça doit être tellement relou que je me demande comment elle fait pour tenir. La réponse me vient pourtant, évidente et cruelle : le pouvoir, ducon. Le pouvoir fait tenir les gens devant toutes les situations, même les pires, même les tragiques, même les plus horribles et les plus vicieuses. Le pouvoir est la grande saloperie des hommes qui se prennent pour des dieux.
Je m’approche et j’entends la voix de Carvey. Mon pote marchand ! Enfin j’sais pas si on peut dire qu’on est ami. En entendant sa voix, je me suis rappelé que j’me suis conduit comme un merdeux de classe internationale avec lui et son lapin. Il m’a coursé sur Bobby, ce brave Bobby, alors que Ducmont traçait en mode rien à foutre j’suis une formule un pute. Je baisse la tête en l’écoutant. Le pardon. Le pardon viendra des autres, et autant j’attends comme un gamin les excuses de mes frangins, mais Carvey doit attendre le mien aussi, non ? Ça m’emmerde parce que c’est un radin de première qui veut pas partager sa bouffe avec mon Ducmont, mais bordel, j’avoue que j’y suis allé un peu fort, non ? J’sais pas, j’essaie d’imaginer ce que dirait Neferyn, mais tout seul, j’ai encore bien du mal à savoir comment réagir. J’crois que c’est ça, mon principal souci. J’sais pas comment réagir, du coup je botte en touche, je fais le con, le mec fou, le taré, pour surprendre et pour pas aborder les choses essentielles. Comme Carvey et Bobby, avec qui j’ai passé de supers moments. Oui, t’es un connard Diavolo, et tu peux te rattraper...J’vois Carvey discuter en partant avec la disciple, excité, amusé, le Carvioche que j’connais quoi, et revenir pour re-négocier maison. La reine demande la doléance suivante, et du coup je me jette en avant, je bouscule le mec qui veut passer, je prends sa place en lui broyant l’épaule jusqu’à la déboîter. Mais gentiment, rassurez-vous, j’ai changé putain faites pas chier !!!




- Ma Reine de j’sais pas quoi. Je parle au nom de Diavolo Mayor, présentement moi-même. Enfin t’as capté ou alors t’es un peu conne…
- Pardon, vous m’insultez ?
- Laisse-moi causer, la Gardienne, okay ? J’accompagne la disciple du Gardien des Mémoires de Memento dans son entreprise, et ton refus est franchement relou. Le coeur de la montagne, pour toi ça va rien faire, et pour elle ça va changer la face de Dreamland. Y’a le Roi des Marchands et le Seigneur légitime de la Guerre avec elle pour assurer non seulement sa sécurité, mais aussi celle de ton Royaume. J’adore ton coin, t’as géré comme c’est pas possible, et je donnerai ma vie pour défendre la tienne et celle de tes sujets. Vois ça comme un pacte si t’as les neurones qui se touchent.
- Mais qu’est-ce que…
- Laisse-moi finir ! Tu vas ouvrir ta montagne, parce que non seulement ton royaume va rien avoir comme couilles, mais tu vas sauver tout Dreamland. Vu que tu as de l’oxygène dans le bulbe et que ça t’empêche de faire les bonnes connexions, je vais t’expliquer. Nous on bosse pour les mémoires éternelles de Dreamland. Pour faire simple, dans dix mille ans, quand les gens entendront encore parler de toi, c’est parce que tu auras autorisé cette demoiselle à aller dans ton mont de Vénus...non, non j’ai pas dit ça, j’ai dit ta montagne sacrée ! Voilà, si, dans l’éternité du monde des rêves, tes héritiers, des historiens, des voyageurs prendront connaissance de qui tu étais parce que cette nana, là, elle a eu ton autorisation. Alors là, tu as deux choix : soit tu refuses encore, et tu t’enterres toi-même dans le silence, soit tu acceptes, et tu lances la première partie de ta légende. Moi à ta place, j’hésiterai pas une seule seconde...et toi ?
- Très bien, mais j’ai pris ma décision, Diavolo Mayor !
- Enchanté ouais, et toutes les salutations d’usage machin chose…
- Pour que je revienne sur ma décision, il me faudra des garanties ! Des garanties, des bénéfices et de la sécurité pour Myriade ! Penses-tu pouvoir être en mesure de me les donner maintenant ?
- La sécurité, ouais. Je viens de votre arène de guignols, j’ai fait un carnage. J’crois que c’était vos meilleurs guerriers, non ? Donc vous inquiétez pas, je suis là pour filer des torgnoles. Maintenant, vous avez écouté la disciple, mais vous n’avez pas entendu ce qu’elle disait...c’est pourquoi mon pote marchand Carvey va vous rappeler ce que vous avez à y gagner, ô Gardienne…






Et là j’écarte le bras, direction Carvioche. A toi de jouer mon pote, j’crois en toi !
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeMer 12 Oct - 13:16

Là le Diavolo, il a niqué mon groove ! J'ai le droit de demander à un garde de le balancer de la montagne ? Non ? Dommage. Bah ouais, lisez mon intervention précédentes et vous verrez que j'étais remonté comme un coucou du royaume du temps. J'avais envie de faire de la bonne négociation mêlé à un peu de diplomatie. ça aurait été magnifique, dans le monde entier on aurait applaudi mon action comme un discours contre l’interventionnisme des royaumes de l'alliance élémentaire à une réunion de rois des rêves à Dreamland. ça aurait été flamboyant, magistral ! j'aurais pué la classe à des kilomètres. le discours d'un roi à côté ce serait l'histoire d'un bègue qui dit un simple discours qu'il a même pas écrit lui même. Quoi ? C'est ça l'histoire ? Bordel mais c'est naze en fait sur le papier ! Bref, tout allait être beau dans le plus magnifique des mondes s'il n'était pas apparu de nulle part et s'était pas mis à balancer des trucs absolument monstrueux ! Ouais, je veux parler de Diavolo Mayor ! Autant son frère, c'est un pro de la diplomatie autant lui, il a plus pris de l'autre frangin. Le tact et lui ça fait 42 ! Ah oui ! vous remarquerez que diavolo ne fait qu'un avec pas grand chose si ce n'est lui même, le chaos, les emmerdes, la baston et autres trucs desquels je suis pas fanat. Des fois je me demande ce que je fous avec lui. J'suis un peu sur le cul quand il commence sa discussion avec Sybille. La disciple me regarde puis pointe du doigts diavolo qui balance ses insanités teintées de menace et de beaucoup d'orgueil.

- Euh... me dites pas que c'est lui le bourrin en question.
- Malheureusement oui c'est lui. Mais généralement j'essaie de prendre la parole plutôt que lui dans ce genre de situation car comme tu peux le voir un a une verve...
- D'enfoiré ?
- pas tout à fait.
- D'abrutis ?
- Non il a trop de vocabulaire pour ça ?
- de tyran ?
- Notamment mais pas que.
- Martiale ?
- Essentiellement. Pour simplifier, je dirais que c'est Diavolo.

- [...]Y’a le Roi des Marchands et le Seigneur légitime de la Guerre avec elle pour assurer non seulement sa sécurité, mais aussi celle de ton Royaume. [...]
- Mais qu'est ce qu'il dit ce con là j'suis pas un roi moi ! Oh putain si le bosse apprend que j'essaie d'usurper son titre... bah... il risque de s'en foutre en fait. Par contre, elle, elle va pas kiffer si elle en entend parler.

De quoi je parle ? Vous verrez bien si vous continuez à suivre mes palpitantes aventures. Disponibles tous les mercredi chez votre marchand de journaux pour 2, 90 euros seulement (le premier numéro, sachant que les autres vaudront plus mais chut, faut pas le dire.) Tout ça pour dire que Diavolo il balance des trucs, des trucs et ensuite limite il me balance le bébé dans la tronche avec l'eau du bain. le tout en pleine face et en omettant de me dire que le bébé est un titan. Maisle pire mesdames et messieurs c'est que vous ne me croirez jamais mais... ses conneries... ça marche ! Il arrive à se faire entendre. Je crois que c'est ce qu'on appelle de la négociation musclée. Je suis sur le cul quand je découvre de Sybille semble accepter plutôt bien tout ce que Diavolo lui envoie dans la gueule. Peut être que c'est le fait d'être le prince de la guerre qui fait qu'on accepte mieux ses propos. ah la jeunesse dorée je te hais ! Putains de privilégiés. ça me donne envie de rendre mon tablier ! Encore une chance que je ne sois pas cuisinier sinon mes aventures fantastiques s'arrêteraient ici vous vous rendez compte ?!

Tout aurait été beau dans le meilleur des mondes s'il m'avait laissé en dehors de ses histoires au final. S'il avait assumé à lui seul l'entière responsabilité de ses propos. Mais nan ! Comme je dis, il me balance le bébé et dit à tout le monde que je vais exposer plus amplement le reste de nos intentions. Sur le coup, j'ai envie de dire à Diavolo que je le hais. Il a bien teasé toute la salle en leur promettant mondes et merveilles avant de dire que ce serait à moi de leur parler de comment atteindre tout ça. Bref, c'est pas un cadeau. Limite il me pousse au milieu de la salle du trône où tout le monde me regarde. ça turbine dans ma tête. faut que je trouve quelque chose de convainquant à dire.

- Hmmmm... je vois une myriade de personnes différentes dans cette salle.

Silence dans la salle en question. J'en entends certains pouffer de rire dans un coin.

- ça c'est ce qu'on appelle un capatio benevolentiae. c'est un procédé théâtral qui vise à attirer votre attention pour être certain que vous êtes concentrés sur mes propos. En général ça marche mieux.
- Qu'est ce que ça peut me faire ?
- Je pensais que ça vous intéresserait. d'après un voyageur, c'est les rêveurs grâce à qui ce royaume existent qui ont inventé ce procédé.
- Tu me fais perdre mon temps marchand. Viens en au fait comme ton ami.
- Toute argumentation bien construite prend du temps. Et vous savez qui l'a théorisé dans le monde réel?
- ...
- Encore une fois les rêveurs qui ont donné naissance à ce royaume. Et pourquoi je dis ça, ce qui semble ne pas vous intéresser ? C'est pour vous montrer que vous avez oublié ! je côtoie souvent les voyageurs et je constate une chose qu'ils ont selon leur dire dans leur monde... Ils ont un meilleur sens de la conservation des mémoires, de ce qui a été fait, dit, enseigné qu'ici même à Dreamland.
- Et ?
- Eh bien... Ces mémoires que les rêveurs conservent à quoi servent elles ? à ne pas répéter les mêmes erreurs !
- Et quelles erreurs faudrait il que nous ne répétions pas ?
- Aucune idée ! Pour le savoir, il faudrait s'en souvenir. Et c'est pour ça que la disciple de memento a besoin d'aller au coeur de la montagne pour retrouver ce souvenir enfoui de ce royaume.
- Si je comprends bien, vous essayez de faire miroiter une menace imaginaire qui peut être n'existe pas ou peut exister dans un futur très lointain pour me pousser à mettre mon royaume en proie à une véritable menace ?
- Ouais dit comme ça, c'est pas super vendeur.
- Je demande des garanties mais tu ne m'offre que des incertitudes, des probabilités...
- Bon bah c'est dommage. Si c'est que des possibilités et que ça vous intéresse pas. Faudra pas vous en vouloir si un jour, une énorme emmerde vous tombe sur le coin du nez et que certaines personnes décident d'en profiter.


Je commence à m'en aller en évoquant subtilement la lord de ce royaume, Nepheryn que je savais en opposition avec la reine de Myriade. Ce que je faisais, ça ressemblait à un abandon mais les plus fins observateurs remarqueront que je n'affiche pas la moindre déception mais plutôt de la certitude. la certitude que ce n'est pas moi le perdant de ce refus de la part de Sybille mais que le perdant c'est bien elle. Et elle est pas conne, elle remarque que je joue encore. Je n'avais fais que quelques pas et je ne m'étais éloigné que de quelques mètres du cercle où le peuple prend la parole qu'elle me stop en me sommant de revenir. Comme vous l'aurez deviné, ce n'était rien de plus qu'un bon gros bluff. L'objectif était de faire croire que j'avais un dernier atout dans ma manche, un truc tellement énorme qu'elle ne peut pas le sous-estimer et qu'elle veut savoir cet atout. Le trucs, c'est que j'ai rien dans ma manche.

- Marchand ! Ne te défiles pas ! Reviens ici et dis moi clairement ce que tu as en tête.
- Je n'ai rien à dire de plus. Vous ne m'écoutez pas reine Sybille.
- Toi non plus. tu ne réponds pas à ce que je demande. je veux savoir ce que tu sais, ce qui te prouve que ce que vous cherchez est si capital.
- Moi ? J'en ai pas la moindre certitude. En fait, la seule personne qui peut vous répondre, c'est la personne que vous écoutez le moins.


je désigne d'un mouvement de la tête la disciple. Sybille semble agacée par ma prise de parole qui au final la prend encore plus pour une imbécile que celle de Diavolo. Elle ne sait pas ce qui la retient de nous envoyer tous les trois dans l'arène. Peut être le fait que Diavolo a déjà démembré tout ce qu'il y a à démembrer là-bas.

- Parles et viens en au fait !

Ordonne la reine de Myriade à la disciple qui s'approche de moi et lance juste une phrase qui fait l'effet d'une bombe dans l'assemblée.

- Je viens chercher la mémoire de la première chimère.

Là, dans la foule, ça parle, ça parle. Sybille elle même semble surprise de l'annonce. Ce qu'i faut savoir c'est qu'il y a des légendes à Myriade qui parlent d'une première chimère qui serait la mère de toutes les autres. Un peu l'ancêtre commun de tous les habitants de Myriade. certains y croyaient, d'autres non. Pour Neferyn, son existence est une aberration et impossible car ça signifierait que toutes les chimères, même les nordiques viennent d'une même créature ce qui est inconcevable pour elle. En fait, cette mémoire si elle existe prouverait qu'il y a bien eu une première chimère et cette mémoire pourrait mettre fin une bonne fois pour toute au mouvement de revendication de Neferyn. Moi même je m'attendais pas à ça et je regarde la disciple avec de gros yeux ronds au moment où elle nous balance ça dans la face. Et dire qu'il aurait suffit que Sybille la laisse causer pour qu'elle dise ça plus tôt ! En tous cas, tout ça me donne la furieuse impression que toutce que j'ai dis n'a servi à rien du coup si ce n'est attirer encore plus l'attention de Sybille.
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeSam 15 Oct - 8:34

Le pote Carviche commence à parler, et il lance sur une vanne. Oui bon, je souris juste pour dire qu’on se capte et tout, mais c’était bien pourrave comme blague. Pas grave, continue ma poule, ça va bien se passer. Au pire j’en tue quelques uns. Ça va bien se passer.

Il continue en se montrant un orateur plutôt expérimenté, ce que je n’imaginais pas trop. Il sait obtenir de l’attention, d’une manière différente de la mienne. Je prends des notes, j’apprends, je commente, je souligne les mots importants et je retiens les méthodes pour les prochaines fois où j’aurais à convaincre uniquement par les mots un Seigneur. Il est malin, le copain, il sait très bien attirer l’attention, mesurer son discours pour en venir ensuite à l’essentiel, non pas ce que veut son interlocuteur, mais ce qu’il veut savoir. En somme, si vous faites un schéma, vous voyez d’un côté l’objet de la discussion, et la discussion sur l’objet de la discussion. Carviche prend le second pour amener le premier, tout en restant sur le second. Il endort totalement la Reine pour mieux rebondir au moment opportun sur l’objet de la discussion, alors que la personne est encore en train de se dépatouiller dans l’autre partie...non c’est fort. Simple et efficace.

Bon, après, il menace et il montre aussi les dangers diplomaties qui guettent Sybille. Évidemment, je comprends qu’il parle de ma pote à moi que c’est la mienne, de Neferyn. La rivalité entre les deux n’est un secret pour personne. J’trouve ça fou qu’une Reine prenne davantage en compte sa rivalité et sa position par rapport à sa rivale, plutôt que les souvenirs et la façon de concevoir le passé, donc le présent, donc SON putain de futur. Elle est comme bon nombre de dirigeants en fait : incapable de concevoir le temps-long, ce qu’on appelle le temps qui s’étire sur une période assez importante. Là, je suis sur la discussion de la discussion, vous l’aurez remarqué. Le temps long pour un politique, donc ici, dans notre monde des rêves, un Seigneur, c’est essentiel, mais tous passent à côté du truc, j’sais pas pourquoi. Le temps long est donc la vision d’une politique, d’une gestion du royaume, de la diplomatie, des êtres, sur une looooongue période, sur plusieurs siècles, voire sur quelques millénaires...généralement les Seigneurs s’arrêtent sur la semaine suivante, gèrent les conflits, les rivalités, les soucis de premier ordre, ce qui va advenir immédiatement, ce qui donne une vision trop à court terme pour être réellement efficace sur le long terme. Dis comme ça, ça a l’air chiant, mais c’est tout le débat et toute la négociation qui sont en train de se dérouler devant vos yeux ébahis. Et si moi, Diavolo Seigneur de la Guerre et Expert du combat,  je suis conscient du temps long grâce aux leçons de Buki, Sybille est totalement dans l’immédiat, ce qui la rend certes bonne à baiser, mais imbécile et incapable d’une vision d’ensemble de son royaume. Ce n’est pas le cas de Neferyn, qui, par sa fonction, a le temps de projeter des visions sur le long terme.
Désolé pour ces termes techniques, nous revenons à plus d’immédiateté immédiatement.

Le pote Carvey fait mine de s’en aller alors que la disciple et moi on reste sur place. La Reine réagit, ce qui montre qu’elle est quand même un peu conne quoi. Désolé mais je la trouve un peu débile, à ne pas voir les évidences sous ses yeux. Quand t’es Gardienne des Mythes, tu essaies de te mettre le Royaume de la Mémoire dans la poche...c’est juste une évidence voire de la survie…Carvey tente le bon vieux bluff des familles, mais le connaissant, c’est peut-être juste un bluff de merde, ou alors il a vraiment quelque chose dans sa manche, personne peut réellement savoir avec lui, pas même son lapin. La Reine en tout cas mord à l’hameçon comme une jeune perche, et lui demande de développer. C’est maintenant que ça se joue !

Carvey passe la parole à la disciple du vieux de Memento, qui annonce ce qu’elle cherche. La rumeur court dans la cour de la Reine de Myriade. Effet garanti, et la disciple semble défier du regard ceux qui la scrutent avec un intérêt notable. La première chimère, voilà qui promettait une aventure digne de ce nom ! Même moi j’ai un mouvement de surprise en entendant ça, faut dire que ça me concerne au premier lieu parce que faudra pas compter sur Carvoche pour se fighter si jamais ça tourne au grabuge quelque chose de sévère ! Mais si j’en juge par les discussions et les messes basses qui font suite à cette révélation, la chimère serait la primogène, la première de toutes les créatures de Myriade, la créature originelle, et elle deviendrait un argument politique de poids pour Sybille, contre sa rivale. Moi ça m’intéresse aussi grandement cette histoire...si Neferyn est battue par cette légende, elle n’aurait plus son royaume, et ses chances de conquérir de nouveau le pouvoir seront à plat. Alors, en ce moment, je lui proposerai de me suivre. Je sais qu’elle ne veut pas quitter Myriade, mais si je participe à cette légende, elle ne pourra pas me dire non. Elle va m’engueuler si elle sait que j’ai participé à la trouvaille de la mémoire, mais je pourrais toujours lui dire que Memento est plus important que son désir de pouvoir. Ce qui est vrai.

En tout cas la Reine a l’air de comprendre un peu mieux l’intérêt que pourrait représenter cette recherche, dans sa classique vision à court terme. Bons termes avec Memento, une mémoire qui légitimerait son pouvoir, et l’histoire de son Royaume révélée avec son accord. Je ne vois pas comment ni pourquoi elle refuserait.


- Très bien, en sachant cela, je vous donne l’autorisation spéciale d’entrer dans le coeur de la Montagne. Cela étant, j’y pose une condition : tout ce qui se passera dans la montagne sera placé sous le sceau du secret, et vous devrez venir immédiatement me faire un rapport, sans parler de ce que vous aurez vu. Je choisirai en conséquence la divulgation ou le secret. Est-ce clair ?


Ben tiens, comme ça si ça ne te plaît pas, il ne se sera rien passé. La disciple accepte le marché, et nous sommes invités à nous préparer pour entrer quelques heures plus tard dans cette fameuse montagne qui fait peur aux autorités locales. Je retrouve Carvioche, Bobby, je leur fais un peu la gueule et je vais voir la disciple pour me présenter comme il se doit.



- Salut gamine. Diavolo Mayor, ton garde du corps et ton protecteur pour entrer dans la Montagne. J’suis partant pour tout ce que tu veux, mais le vieux nous a dit que tu recrutais aussi des disciples, ça en est où cette histoire ?
- Pour l’heure, j’ai deux candidats. Ils vont venir avec nous pour leur premier test.
- On peut les bizuter ?
- Non.
- On peut les..
- Non.
- Ouah, pas drôle !


On se prépare, on se prépare, mais moi je suis déjà prêt. On va là où crèche la disciple, une sorte de vieux temple, avec ses deux disciples qui lisent des bouquins pour apprendre à créer les Vitalis, les tubes contenant les souvenirs. Je sais pas trop ce qu'on doit préparer, mais on prépare. Je me fous dans un coin, je médite, les yeux fermés, pour me focaliser sur la mission. Mais c'est Neferyn qui apparaît devant moi, dans ma tête, et qui ne veut pas s'en aller. Fais chier...
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeDim 16 Oct - 10:33

N'empêche que dans le genre équipe qui tue, faut avouer qu'on tue ! Quand je vois les réactions dans l'auditoire, je me dis que l'annonce de la disciple a fait son petit effet. Je pense saisir tout l'enjeux de la situation bien que je ne sois pas expert de la politique interne de ce royaume et que je ne suis pas dans le plumard de l'une des deux furies qui se crêpe le chignon pour savoir qui qu'a raison et qui qui mérite de gouverner ce royaume. Notons que cette connasse de Sybille, je pense qu'on peut gentiment la qualifier de connasse au point où on en est. Bonne mais connasse. Avait réussit à faire imposer que la mémoire passe par sa divine censure. ça m'étonne qu'elle ne risque pas le soulèvement populaire en imposant cela par ce que bon, ça veut quand même dire quelle prend son peuple pour des jambons. J'en connais un autre qui prend son peuple pour des jambons mais je ne donnerai pas son nom. Il saura se reconnaître.

Du coup nous on se casse, n'ayant plus rien à foutre ici et ayant déjà foutu notre petite zizanie. La disciple fait ami-ami avec Diavolo. Enfin ami-ami, façon de parler. D'ailleurs, elle aurait pas un vrais blase cette disciple par ce que bon, "la disciple" c'est un peu comme si moi je m’appelais "le marchand". C'est un peu générique et sincèrement ça flatte pas l'ego. Je crois que je vais l’appeler Josette par commodité. Du coup Josette nous dit qu'elle commence à recruter deux collègues qui nous accompagnerons dans l'aventure. Nous partîmes vers le repère de Josette et ses deux acolytes. Une sorte de temple/bibliothèque. C'est chouette à voir tout ça. ça a de la gueule. Ce qu'on peut pas enlever aux habitants de ce royaume ou du moins aux rêveurs qui l'imaginent, c'est qu'ils ont plutôt du goût en terme d'architecture. Je me trouve aux côtés de Bob et remarque que Diavolo me regarde mauvaise. Hey enculey ! Pourquoi tu boude alors que c'st toi qui m'fait des crasses ? Vas y Bob ! attaque morsure ! Bob fonce sur Diavolo et essaie de lui ronger les tibias en vain. Il se fit vite chasser à coup de pompe dans le fion. Le monde peut être cruel quand on est un lapin blanc géant. Bref, on est dans l'antre des nerd de la mémoire et on découvre les deux acolytes qui sont assez random il faut dire. J'en profite pour poser quelques questions à Josette.

- Dis moi Jo... euh... Dis moi, pourquoi Sybille veut pas qu'on pénètre le cœur de la montagne ?
- Eh bien beaucoup pensent que toute la cohésion de la montagne repose dessus et qu'il est fragile. Que si on le perturbe, la montagne pourrait s'effondrer.
- Ah ouais, je comprends maintenant pourquoi elle voulait pas de base.
- Oui. C'est pourquoi il faudra être délicat une fois là-bas. Je ne veux surtout pas trahir la confiance qu'on a placé en moi.


Dit elle en assassinant du regard un Diavolo apparemment dans les vapes. Je la comprends. En terme de délicatesse, j'appellerais pas Diavolo. Remarque, je m'appellerais pas moi même. Je suis pas non plus la personnification de la délicatesse. J'essaie d'être délicat mais souvent ça part en cacahuète. Je continue un peu mon interrogatoire par ce que bon, j'aimerais savoir ce qui m'attend.

- Et du coup, ça ressemble à quoi ce cœur de la montagne ?
- Rien ne le dit. En fait, c'est Neferyn qui avait fait interdire d'y aller il y a de cela des millénaires. Personne ne s'y est aventuré depuis. Et malgré les divergeances qui les opposent, Sybille et Neferyn étaient d'accord sur le fait que le coeur de la montagne est trop sensible pour laisser quiconque y accéder.
- Je vois. mais à part t'aider à négocier ton entrée là-bas, je vois pas trop en quoi ça peut t'aider qu'on soit là.
- Eh bien, pour y aller, on va devoir traverser plusieurs parties de Myriade et aller dans des endroits carrément sauvages du royaume.
- Et tu aurais besoin d'une escorte.
- Exactement.
- Dis moi, c'est toujours aussi prise de tête ton travail ?
- Là c'est plutôt facile encore.
- J'adore ton taf !


Je lui balance ça avec un grand sourire. Bah oui ! C'est quoi le fun dans un travail plein de certitudes et du coup d'ennuie ?! La réponse est dans la question. Moi j'aime ce que je fais par ce que je sais jamais ce que je fais. Je dois sans cesse improviser, deviner, rechercher. C'est plus passionnant que de savoir exactement où tu vas.

Après une courte et rapide préparation et un peu de repos pas forcément mérité, on se mit en route, Diavolo, Josette, les deux rigolos, bob et moi. On partait tout naturellement d'Olympie. On traversa la ville sans encombres. Faut dire que c'est pas forcément dangereux comme ville. Le risque principal ça doit être de se faire écraser par un cyclope qui regarde pas où il va ou qui a eu le malheur de faire un clin d’œil à une dame cyclope qu'il trouve sexy et qu'il drague. En arrivant à la sortie de la ville, on longe la mer pour nous diriger vers la forêt qui se situe un peu en contrebas dans la montagne. Là apparemment, c'est la zone la plus sauvage du royaume. Notre petit tour autour du lac. Ouais désolé mais vu les dimensions, c'est plus un gros lac qu'une mer ce truc. se passe sans encombre. Josette fait réviser les enfants pendant que moi, je fume tranquillement la pipe affalé sur la selle de Bob et que Diavolo... bah il fait ses trucs de Diavolo. Je me délecte du paysage de bord de cette mer. Il fait beau, ça sent bon le sable chaud. il manquerait plus que l'eau soit bien sucrée et chaude et ça donnerait envie de faire trempette. Si j'aimais nager. Par ce que j'aime pas trop ça franchement. En plus si on oublie sa serviette, c'est un coup à choper froid. Par contre, j'adore les randonnées, surtout quand c'est pas moi qui marche en fait. Déjà on se fatigue moins et on profite plus du paysage. Je suis un esthète des paysages moi. J'adore regarder les magnifiques étendues vides ou surpeuplées de Dreamland. Je suis un romantique aussi je crois. Bref, j'aime rester à rien faire pendant que Bob marche pour moi. Bah quoi, j'ai une monture, c'est pour la monturer. Et arrêtez bande de relou de Vegan là à me dire que c'est de l'asservissement ! ça lui faisait très plaisir à Bobby que je le monte. Pas de sous-entendu là dedans hein. Non je dis ça par ce que je vois vos regards lubriques et amusés se poser sur moi là.

ON Arrive finalement dans la forêt et en effet elle est dangereuse. Comment je le sais ? Peut être par ce qu'à peine on a fait deux pas dedans qu'on est accueilli par un hydre et un beau spécimen en plus vu qu'elle doit faire au bas mot 10 mètres au garrot la petite. Et que bon, les hydres, c’est comme les girafes, mesurer au garrot c'est con par ce que ça a plus de hauteur dans le cou que dans les pattes. Je regarde ça sans me dégonfler et je pointe vers la droite.

- On la contourne par la droite ?! Diav' je te laisse t'en occuper ? merci !

Je commence à me diriger avec les trois clampins vers la droite alors que je laisse Diavolo seul face à la bête. Je le laisse se débrouille. C’est un grand garçon. On dirait pas mais il a deux fois mon âge ! Comment ça je suis un connard à le laisser se battre seul ? bah quoi ! faudrait pas que les zigomars là ils se fassent attaquer par une autre chimère sauvage pendant que nous on fight. Et puis il a l'air tout pas en forme Diavolo là, comme s'il était atteint d'une maladie. Une maladie du genre qui court ! La maladie d'amour ! Un bon petit combat, ça va le remettre droit dans ses bottes moi j'vous le dis !
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeJeu 20 Oct - 8:49

Direction la couchette de la Disciple. J’aime bien ce nom « la Disciple », c’est comme si la meuf n’existait que par sa fonction. Comme si mon unique patronyche c’était Seigneur de la Guerre. Trop classe quoi. Je la suis, cte Disciple, qui semble assez déterminée et franchement pas fifolle niveau intelligence physique. C’est pas un mal, j’sens que j’aurais eu du mal à gérer une histoire de cul avec l’héritière de Memento. Imagine que ce soir là, le grand soir pour Popol Mayor, t’as une panne ou t’es pas dans une forme olympique, et là bim elle te fait une mémoire là-dessus, consultable par toutes les gonzes de Dreamlanche, et tu passes pour un impuissant pendant des siècles. Là tu vois les historiennes du cul bosser sur mon chibre et dire pendant des siècles « voilà Diavolo, Seigneur de la Guerre, Impuissant des Champs de Foutraille, on l’appelait Napoléon le Petit, l’Empereur des coups foireux et des sorties de demi-molles ! » Rien que d’y penser, j’ai des nausées, des vertiges de femme enceinte, et j’ai envie de taper des trucs...tiens ça tombe bien, y’a Carvioche et son lapin de merde, je les mate en mode vénère, j’ai bien envie de me les faire en civet et de les bouffer dans la foulée, ces deux connards. C’est gratuit, c’est pour vos miches les gars. Ouais, fermez vos gueules ouais. Le lapin remarque que je le mate super mal et fonce sur moi pour me bouffer les roupettes. Là j’hallucine, le truc m’a pris pour une carotte ou quoi ? Sérieux Carveyme, retiens ta merde érectile bordel ou je prends son oreille et je m’en sers comme batte de baise-balle. Je fous des coups de pieds dans le cul de Jeannot qui retourne voir son maître. Connard de bouffeur de carottes de copuleur de merde. Voilà t’y pas qu’on arrive enfin en face des deux disciples de la Disciple. J’arrive vers les deux gusses et tandis que le marchand discute avec la Disciple, je tente la discussion avec boulet numéro 1 et 2.


- Salut les filles, comment qu’elles s’appellent ?
- Euh, pardon ?
- C’est quoi ton nom, troufion ?
- Je m’appelle Grandlieu, ancien maître ordonnateur de…
- Ouais j’m’en branle. Et toi le gringo ?
- M...m...m...moi ? Vous ne me reconnaissez pas ?
- Pourquoi j’devrais ? On s’est enculé un soir dans une ruelle sombre et étroite que j’ai appelé ta maman ?
- Mais...mais non ! J’étais venu un soir dans votre Fight Club d’Armacity ! Je suis Boris, Boris Plisson, de la boulangerie Plisson & Fils de Fightland. J’ai largué mon père et mes études pour venir me battre à vos côtés !
- Ah possib’. Et kesse tu fous là du coup ?
- Vous m’avez envoyé à l’hôpital pendant deux mois. Mon père a voulu porter plainte et Buki l’a fait enfermer. J’ai dû le remplacer à la boulangerie, puis j’en ai eu marre et je me suis enfui. J’ai suivi quelques études assez étranges, de la rune du Royaume des Doutes, la particularité des champignons de Champi-Land, l’expression théâtrale et corporelle avec les dinosaures de Safarianisme...et j’ai rencontré la Disciple qui m’a montré la véritable voie.
- Et je t’ai mis quoi dans la gueule pour que tu deviennes aussi raté ?
- Nez cassé, vertèbres déplacées,  étranglement et…
- Rotules pétées, ouais, mon combo de l’époque, ça y est je te remets. Au fait j’ai baisé ta meuf, tu l’avais ramenée un soir.
- C’était ma sœur. Elle vient d’accoucher d’ailleurs...mais on ne savait pas de qui...WAIT !
- Félicitations, c’était une sacrée salope ta frangine…
- Attendez…
- Non tu fermes ta gueule maintenant coco, et tu laisses parler la cheffe.



Je reste un moment interdit, en repensant à la sœur de l’autre gusse. Boarf, c’est sûrement pas important. J’vois la Disciple qui me mate, inquiète ou vénère, et j’me dis qu’elle se dit que j’me dis que c’est une mission de merde, ou délicate, et que j’vais pas aimer ça. C’est même pas vrai , je peux être le symbole de la discrétion quand il faut. Tout dépend s’il faut se battre ou péter des culs.
En fait, je fais genre et tout mais je me concentre pour focaliser la mission. Le coeur de la montagne, péril pour le royaume, mémoire de la première chimère. J’sais pas pourquoi, mais ça pue d’ici cette histoire. J’sais pas pourquoi, mais j’adore quand ça pue comme ça, ça veut dire que Papa Diavoliche va pouvoir sortir les poing-poings et taper dans tout ce qui bouge. Les autres partent se préparer, moi je m’assois et je commence à méditer en mode guerrier sage et serein. Je vois le disciple Boris me regarder en pleurant, j’sais pas pourquoi. Au pire je vais le buter s’il continue. On finit par se mettre en route et on traverse normalement Olympie, que je connais bien surtout par ses bars, ses arènes de combat, ses bordels et ses restaus. T’es un vrai touriste où tu ne l’es pas. Dans les rues où y’a masse monde, je mets des petits coups de pieds dans le cul de Bobby, en mode gratuité totale et discrète. Je me marre quand il se retourne hyper énervé sans voir qui a fait ça. La Disciple parle à ses disciples, je suis mine de rien la discussion en me grattant les couilles et en frappant deux trois mecs qui sifflent la Disciple sur son passage. Ouais, on touche qu’avec les yeux les gars ! Puis j’aime bien frapper gratuitement, demandez à Bobby.

Finalement, la journée allait être bonne, on tombe sur un hydre. La belle bête quoi. Au premier coup d’œil, j’me dis que bon, j’ai déjà Ducmont qui se balade dans la montagne, que je dois reprendre au retour, mais une deuxième bestiole serait pas de refus. Pour que Ducmont monte sur l’hydre, et moi j’monte sur Ducmont. On finirait par faire une pyramide quoi. Non, c’est pas possible ? Bon, j’ai déjà l’idée, mais ce sera peut-être pas la créature idéale à monter. Les quatre compagnons me laissent face à la bestiole, et j’active immédiatement la forme berserk, pasque à un moment, faut arrêter de déconner.


J’ai décidé de faire un petit jeu avec l’hydre. Y’a sept têtes, ça veut dire sept manières de la décapiter. Sans mourir, hein. Je m’élance comme une balle, et je fous un kick d’anthologie dans la première tête, que j’explose avec le choc. Les autres têtes gueulent comme c’est pas possible, et j’entends la forêt qui se met à fuir dans son froc. Fuir dans son froc, ça veut dire deux choses : courir très vite dans la direction opposée au bruit, et lâcher des petites séries de pets en courant. Me remerciez pas, j’suis là pour vous apprendre la vie. Deux têtes me cherchent en mode pas contentes, je me déplace hyper vite comme un beau gosse et avec mes bras j’arrive non sans mal et sans entailles du bout des crocs à les enrouler l’une avec l’autre. Je me bidonne quand elles tombent toutes les deux au sol, et je me laisse tombe, les deux pieds sur la gueule. ET BIM. Il en reste quatre. Y’en a une, évidemment, que je homerun avec MC Bokken. Il en reste trois, et les plus coriaces, les plus vives, les plus méchantes. Je fais une série d’esquive, et sur l’une d’elle, après quelques minutes, j’ai placé assez de plaies pour faire un dropkick de fou furieux, qui traverse son cou. Il en reste deux. Elles se placent hyper intelligemment, à un point que je suis surpris, et je me prends une rafale de double tête qui m’envoie contre un arbre. AH OUAAAAIS ! On ne déconne plus là, j’ai l’impression d’avoir mangé la plus grosse patate de Sento dans la gueule. Je gueule un coup le cri de guerre de mon père, pour me donner du courage et les effrayer, et mon aura prend la forme d’un animal. Je ne vois pas lequel c’est, mais les deux têtes s’encouragent elles aussi mutuellement. Putain, elles ont cinq têtes décapitées autour d’elles, mais elles continuent de se battre comme des tarées. Limite je commence à les respecter. Justement, comme je commence à les respecter, je décuple ma vitesse, et j’arrive entre les deux. Double coups de poings, double coups de pieds, leurs cours s’étirent et la base se déchirent un peu. Je fonce alors qu’elles sont déstabilisées par la douleur du déchirement de la base de leur cou commun, et j’enfonce des portes ouvertes dans cette base. J’enfonce mes poings dans la chair, tandis qu’elles essayent de me virer en bougeant comme des démentes, mais le mal est fait.


Elles retombent toutes les deux, les yeux en train de pleurer de douleur. Elles agonisent. J’arrive près d’elles, je caresse leurs visages. Je comprends dans leurs regards qu’elles demandent à ne pas souffrir. J’accorde à leur dernière volonté, c’étaient des braves. Je reprends la route, un peu esquinté, un peu saignant, mais que du superficiel. Une brave guerrière a voulu se tenter un Seigneur de la Guerre, et elle est retournée au panthéon. Maintenant, la suite. Vite.
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeDim 30 Oct - 1:41

Vite ? Mais tu me fais chier ! genre toi tu t'enchaine des machins en deux-deux mais moi je suis pas un bourrin au sang bleu au sein de l'empire de la bastonnade gratuite. Moi je fais avec les moyens du bord de fils de marchand de tapis du royaume de la lumière né d'une mère inconnue. Et puis pendant que toi tu te bastonne sans avoir à te soucier de ce qui t'entoure, moi je dois protéger un trio de faiblards encore plus faiblards que la faiblesse incarnée. Moi je suis qu'une pauvre victime de toute façon. appelez moi "victime-sempai" s'il vous plait.

Hahaha ! c'est quoi cette merde ? Imaginez ma surprise quand je me rends compte que dans ma recherche de quoi vous balancer à la tronche pour que ce que je vous raconte soit amusant et divertissant, je me rends compte que je vous dis ce genre de truc. Des fois je me fais pitié. Mais nous nous égarons les enfants. Donc, pendant que l'autre bourrin-sama tabasse Hydre-chan, moi, je suis au beau milieu d'une forêt juste infestée de saloperies avec trois boulets à protéger. Dont un qui mérite encore plus que moi le titre de victime-sempai vu la conversation qu'il a eu avec bourrin-san. J'avoue que m'éloigner, c'était pas forcément une bonne idée par ce que je sais pas combien de temps il va être occupé par ce que là, on se retrouve légèrement nez à nez avec ce qu'on appelle généralement un putain de monstre qui va nous bouffer la face, de son nom scientifique : Manticore. Du genre qui te ravage la face en mode hardcore.

Je me fige en voyant la bête qui nous barre la route. Elle a pas l'air super contente de nous voir pénétrer dans son territoire. Comment je le sais ? Serais-je expert en éthologie ? Je me débrouille pas mal en effet dans cette discipline mais c'est aussi que fu sa façon furieuse ou outrée, j'ai du mal à déterminer j'avoue, de secouer da queue de scorpion et de montrer les crocs en signe de menace tout en déployant ses ailes afin de se faire la plus imposante possible, ça ne trompait pas, la bête elle veut pas trop nous voir dans le coin. Les trois là, ils se planquent derrière moi. J'aurais bien envie de leur signaler que moi et bob on est pas des boucliers vivants mais bon, c'est un peu notre mission de l'être sur le coup. Je tire un peu sur les rênes de ma monture afin de le faire reculer tout doucement. Il s'exécute sans faire d'histoire par ce qu'il a bien peu de la grosse bête qui semble quand même quelques échelons au dessus de lui dans la chaine alimentaire. Et quelques échelons au dessus de nous aussi. Mais ça c'est qu'un détail. Enfin pas tellement. La bête s'avance au même rythme que nous reculons. Ses ailes se baissent peu à peu pour se rétracter dans son dos. J'ai bien peu que la bestiole commence à passer en mode chasse et non défense du territoire. ça sent pas bon. J'évite les gestes brusques par ce que voilà, je sais pas trop quelle réaction ça causerait. Je cherche en même temps un truc à faire.

Je lève lentement ma main et désigne d'un doigt un caillou de taille moyenne qui se soulève sous l'effet de mon anneau de télékinésie et que j'envoie percuter un arbre, provoquant un bruit. J'espérais distraire la bête sur le qui-vive mais justement, elle est tellement concentrée sur nous la bestiole, les pupilles dilatées comme un chat en pleine chasse. j'ai pas beaucoup d'options ne fait. Je pense pas que les tabacs que j'ai en ma possession soient en option et l'épée des esprits est pas très efficace contre les monstres en général. C'est plus une arme anti-voyageurs, surtout les élémentaires en fait vu qu'elle tranche avant tout les choses intangibles dont la magie et certains éléments non palpables comme le vent ou le feu. Mais je m'égare à nouveau. Il ne me restait qu'à jouer avec ma bague. La bestiole s'approche toujours aussi lentement et se plie un peu sur ses jambes, signe qu'elle ne va pas tarder à bondir. Elle attaque. Au moment où ses crocs griffes allaient frapper Bob, une grosse branche arrive dans la tronche de la bestiole/je saute du dos de Bob, pipe au bec et atterrit entre les deux animaux. La manticore réplique et tente de me piquer de son dard de scorpion. J'évite de justesse mais n'évite pas la griffure sur mon bras qui se met à saigner et me fait tomber à la renverse. La bestiole s'apprête à me sauter au cou quand je lui souffle de la fumée en plein à la tronche. Elle recule d'un coup, interrompant son assaut pour se mettre à se gratter le museau. Elle se retourne, visiblement plus en colère que jamais vers moi avant de se mettre à avoir un comportement erratique et désordonné, battre des pattes dans le vide et fouette l'air de sa queue. L'effet du tabac du shaman que je lui au soufflé au museau est d'être un puissant hallucinogène. heureusement, je crapote très bien sinon, en ce moment, je me battrais avec une armée de chèvres multicolores. Du genre de celles ci => poney

- Putain ça fait mal !
- Je vais t'aider avec ton bras.
- Nan reculez, elle est prise dans des hallucinations mais elle peut encore nous attaquer, prise dans son délire.


Heureusement que ce tabac marche sur toutes les créatures. Par contre, c'est comme toutes les drogues, personne ne réagis pareil. Et elle, elle l'a violent apparemment. Je me recule doucement alors que mon bras saigna abondement. Je change le tabac de ma pipe et puis me met à souffle de la fumée sur mon bras. Sa picote sur l'instant mais le saignement se calme et ça fait moins mal. J'arrache ma manche qui était déjà bien défoncée pour tenter de faire un bandage de fortune tout en observant la manticore histoire d'être certain qu'elle n'interprèterait pas nos mouvements comme une hallucination agressive. Et là... c'est étrange, je sent une odeur assez forte. Pas celle de mon tabac. Non. ça ressemble plus à l'odeur du napalm au petit matin.

Et là, sans un bruit, une lance vient se ficher dans la nuque de la manticore. On entend alors des bruits de galops alors que la bête tombe raide agité de quelques spasmes et râles d'agonie. Plus loin dans les bois on voit arriver une chevauchée de valkyries qui arrive jusqu'à nous. L'une d’elle descend de sa majestueuse monture et achève la manticore avant de récupérer sa lance. La disciple alias Josette s'apprête à les remercier. Seulement à peine elle ouvre la bouche que toutes les Valkyries se retournent vers nous puis se mettent à fixer Bob avec un œil intéressé. Fières chasseuses, elle n'ont jamais vu un gibier pareil et elles ne résistent pas à l'envie de le chasser. Leurs bras se lèvent et s'apprêtent à lancer leurs javelots sur Bob. Elles s'exécutent et je le protège grâce à mon charme de protection en faisant apparaitre un large bouclier d'énergie. Là, je saute alors sur le dos de Bob alors qu'elles s'apprêtent à sortir une autre lance.

- Montez !

Je cris à mes 3 boulets de compagnie de monter aux aussi. On est donc 4 en plus de mon stocke sur le dos de ce pauvre Bob qui en chie mais qui taille la route aussi vite qu'il peut courant pour sa vie. Nous voilà alors poursuivi par une chevauchée de valkyries qu'aimeraient bien pouvoir toutes se tailler un string dans la peau de mon lapin. Je les comprends un peu remarques. C'est très doux ! Et c'est là qu'on croise sur notre route Diavolo qui revient tranquillement de son massacre de la mi-journée en sifflotant, les mains dans les poches. Il nous vois poursuivie par cette horde de psychopathes chasseuses. A tous les coups, en bonnes chasseuses, y a plus d'alcool dans leur sang que dans un tonnelet de bière.
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Diavolo Mayor
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeMar 15 Nov - 18:03

Je marche, je marche à travers les plaines. Je me mets au pas de course pour rattraper la tribu, puis ça me fait faire du sport. De la fight, de la course, rien de tel pour se forger un corps de dieu grec. Ce petit footing me fait penser à mes frangins, quand on allait courir pour tester nos endurances, nos résistances. Des putains de trekkings qui duraient, duraient, sur plusieurs jours, sans boire ni manger sauf si ça venait des environs. Le premier arrivé avait le droit de commander les autres pendant une semaine. La barbe, j’étais toujours bien paumé, avec Sento qui me tendait des embuscades, et Buki qui allait à une vitesse pas croyable. Drôle de gamin, je l’ai toujours dit.


J’entends des rumeurs et des bruits de galops dans la direction qu’ils ont prise. Ni une ni deux ni trois je trace en mode ninja fou gymnaste ofzedead à travers les pentes, les arbres, les roches, et je sens mes poumons en train de crier de joie – ou d’exploser, je ne sais pas bien. Finalement à force de tracer et de gueuler à MC Bokky que je dépasse tous les guépards de Dreamland à la course, je tombe sur Bobby Lapinou qui porte le poto Carviou, la Disciple et Rik et Rok. Suivis ou poursuivis par des greluches montées sur canassons, et gueulant comme dans un meeting des féministes de Dreamland. Putain d’amazones, toujours à faire chier le bon mâle viril et droit dans sa phallocratie. Quoi ? Vous vous étonnez que je puisse connaître des mots compliqués ? J’vous emmerde, pour commencer, et ensuite faut pas croire, j’ai étudié comme un malade aux Royaumes de la Guerre. Puis avec Neferynn, on a parlé de ça, et mine de rien ça m’a fait vachement réfléchir. C’est bon arrêtez de vous marrer, ça devient vexant. Surtout toi MC Bobiche. Bon, tandis que les nanas fans d’équitation veulent jouer à touche-pipi version Xena la Fessière, je reprends ma course, je contourne le chemin qu’ils ont pris, et j’arrive en drop kick depuis une hauteur pour choper la cheffe du groupe de walkyries kyries kyries ! Bim bam boum, au sol, le cheval se cabre et se met à s’envoler en déployant ses ailes, et je me retrouve sur la fille, qui hurle et qui empeste la bonne bière de bonhomme.


La nana se met à grogner, tandis que ses copines m’encerclent en levant leurs lances. Parfait, j’espère que Carvey et le cortège ont eu le temps de se tailler la teub en pointe pour avancer face au vent. La cheffe, au sol, rage comme si elle avait ses règles, et toutes celles de ses copines réunies dans son bide. Ah les femmes, déjà pas gâtées par la nature, faut qu’elles en rajoutent en se prenant pour des mecs. Comme si c’était pas déjà relou de jouer au mâle viril. Est-ce que je me maquille et j’mets des ficelles entre mon cul moi ? Non, je fais avec le corps qu’on m’a donné bordel. J’vais faire comprendre à la cheffe qui c’est qui commande un peu, non mais. Elle saute sur moi, avec une lance et une épée, sauf que j’avance d’un bond sur elle, et je la plaque contre moi, les bras écartés dans l’incapacité de porter un coup. Elle me mord au cou, et je la serre contre moi, en direct live zougi zougi avec sa poitrine opulente. Encore un peu et tout ce bordel va sauter du balcon, moi j’dis. La nana pousse un hurlement, mais je cours vers un tronc d’arbre. Et bim, je la plaque sévèrement contre le végétal, elle ouvre la bouche pour exprimer un cri de douleur qui devient un cri d’extase, elle lève la tête et me mord une nouvelle fois le cou, cette fois jusqu’au sang. Je me recule et lui met une baffe des familles, ce qui la fait tomber au sol comme un sac de...trucs vaguement féminins. Je me tourne vers les autres, tandis qu’un pied vient cueillir les bijoux de Popol Mayor, ma fierté, mon héritier, mon seul et véritable trésor. Je tombe en me tenant l’entrejambe et la cheffe me saute dessus en mode Andromaque loving night tu sais, la nana complètement en manque quoi ! Les autres descendent et me sautent dessus, avec les armes, et m’assomment comme une merde. Je résiste aux coups et j’en prends par la taille, mais ça déplaît à la cheffe qui gueule aux autres que je suis réservé à elle. Dis donc ma jolie, tu te prendrais pas pour une Reine de la Guerre par hasard ?



- Tu es sur le territoire de Katrineck la Démente, 14e cheffe d’escouade des Walkyries.
- M’en branle.
- Ton insolence n’a d’ égale que ton habileté au combat, qui es-tu ?
- Celui qui va te prendre en levrette par tes couettes de bavaroise.
- J’ai beau être bourrée, tes paroles me dépassent...qui es-tu ?
- Ferme ta gueule et bats-toi.


Elle revient vers moi. Mon entrecuisse crie de douleur mais au moins, la fille sait lancer un duel. Elle a opté pour le double poignard, pas dégueu. Évidemment moi j’suis aux poings, on ne change pas une équipe qui gagne hein. Je lance la forme Berserk, et là je sens que les donzelles frémissent un peu. Okay, on arrête de jouer dans la cour de la misogynie, et j’reconnais que ce sont de vraies guerrières. Elles ont senti immédiatement mon changement de forme, pour la forme de combat. Elles s’y connaissent, ce ne sont pas des pisseuses. Je prends une posture plus calme, devant l’air interrogatif de Katrineck la Démonte. Démente. Déformation professionnelle pardon.




- Dis-moi, ça te dirait pas de devenir une cheffe réellement importante ?
- Je m’en fiche, de la politique du Royaume.
- Justement, j’suis venu accompagner des baltringues pour taper du monstre. Tu nous accompagnes, et tu auras ta part de récompense.
- Et une fertilisation maison ?
- C’est-à-dire, t’as des problèmes avec ton potager ?
- Ouais, on cherche un reproducteur qui n’a pas les couilles molles. T’as l’air de faire l’affaire.
- Je prends ça comme un compliment, mais attends de voir mon pote Carvey. C’est lui qui commande dans le couple, c’est un vrai mâle. Même des fois je mouille ma petite culotte quand il me donne des ordres. Vaut mieux lui que moi, j’te le dis.
- Il accepterait le marché ?
- Ouais, puis ça doit faire un bail qu’il n’a pas touché une femme. Une vraie s’entend, pas un porte-monnaie qui s’ouvre quand ça paie.
- Alors okay. C’est par où ?
- La grande montagne de Myriade.
- Houuuuuuu !
- Calmez-vous les filles, je sais, les hormones, mais du calme.
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeDim 20 Nov - 15:18

Diav' couvre notre fuite. C'est bien sympa tout ça en fait ! je dois avouer que ça ne m'aurait pas étonné qu'il nous laisse dans notre merde comme un bon enfoiré, ça lui ressemblerait bien... Quoique nan, ça me ressemble plus à moi. Ouais, je suis pas vraiment pour l’interventionnisme. Du coup, je le laisse gérer avec les femen à tresses blondes et aux penses pleines de bières tout aussi blonde qu'elles et moi et les trois autres, nous retrouvons notre route. la disciple dont le doux sobriquet que je lui avais trouvé m'échappait sur le coup me bandait le bras entaillé par l'assaut de la manticore un peu plus tôt. Pendant ce temps, je continuais de mettre de la distance entre eux et nous. je me dis que Diav' nous retrouvera encore une fois. c'est un grand garçon. la priorité sur le coupe est de nous éloigner et de sortir de cette forêt, trop dangereux sans Diavolo. Disons que je suis pas vraiment un chasseur de monstre moi. c'est légèrement au dessus de mon niveau tout ça. le soucis, c'est qu'à 4 sur le dos de Bob, on est un peu trop et après un bon sprint, il se met à courir beaucoup moins vite puis même à s'arrêter, épuisé. Je saute de son dos, mes trois complices m'imitent. je viens flatter le flan de mon ami rongeur pour le remercier de l'effort qu'il avait fourni pour nous. Je regarde autour de nous.

- Il y a l'un d'entre vous qui pourrait me dire où on est et par où on doit aller ?
- C'est difficile à dire. on s'est trop enfoncé dans la forêt. on n'arrive même plus à voir où est la montagne.
- Votre ami va se débrouiller ?
- Je pense. Il a pas eu l'air d'avoir souffert de son combat précédent, je lui fais confiance pour se sortir de cette situation. 
- hmmm, j'ai un peu étudié la botanique.
- et ?
- généralement les mousses poussent dans une direction donnée. pour se protéger des vents.
- je vois. et la montagne doit faire coupe-vent.
- voilà. Donc la montagne est du côté des arbres où il y a plus de mousse.
- Pas con !
- Allez mettons nous en route.


On décide alors de nous remettre en route, à pied cette fois par ce que bon, il s'est assez cassé le cul comme ça le Bob. On va le laisser se reposer un p'tit peu. Je marchais devant, mon sabre des esprits à la main, je disais parfois aux autres de s'arrêter pour me permettre de jeter un œil. Mon objectif était si possible d'éviter les rencontres par ce que bon, j'ai pas forcément la grosse envie de me fighter encore contre je ne sais quelle bestiole pas possible. On contourne le combat entre deux monstres imposants, on évite la piste laissé par une autre, bref en crapahute un petit moment jusqu'à ce qu'on soit rattrapés par les Valkyries  avec elles se trouvait un diavolo qui semblait avoir fait ami-ami avec elles. leur cheffe me pointa du doigts.

- C'est lui le reproducteur ?
- le quoi ?
-Il paie pas de mine. Tu es sûr que tu m'as pas menti ?
- Qu'est ce que t'es allé leur raconter ? Oh et puis j'm'en fous ! Je sens que ça va me tomber sur le coin du nez à un moment ou à un autre de toute façon.
- Ton ami m'a dit que vous alliez jusqu'à la montagne.
- C'est ça.
- Nous vous accompagnons. Si vous respectez vos engagements.


Je regarde Diav' qui m'observe d'un sourire diabolique, c'est le cas de le dire. Je sais pas du tout ce que cet enfoiré est allé promettre à ces grosses tarées de la chasse mais ça m'inspire rien de bon. Je sens qu'une fois que tout ça est finit, je me casse vite fait bien fait. Je connais même pas les conditions de cet accord mais j'accepte par ce que je me dise que c'est la meilleure option pour nous pour aller jusqu'au cœur de la montagne. En effet, il doit pas y avoir des tonnes de bestioles ici qui peuvent mettre en difficulté toute une bande de valkyries. C'est ainsi qu'on se retrouve suivi et escortés par une brochettes de chasseuses en armure qui de temps en temps font des pauses pour se descendre un p'tit godet de binouzes avant de remonter sur leurs canassons en marchant pas droit. A se demander comment elles font pour être aussi performantes. Je suis passablement collé par une belle brochettes de cette bande de bavaroises là. Elles me lâchent pas et me font plein de propositions un peu déplacées et du rentre dedans pas du tout fin. Je fais une grimace à Diav' quand je finis par comprendre qu'il m'a pris pour un sex toy pour gonzesses en manque et a promis ma bite en échange de l'aide des cavalières. Je sais pas pourquoi mais cette situation me rappelle un truc... je sais pas trop quoi. Ah mais oui ! je sais pourquoi je me souviens pas ! par ce que c'est pas encore arrivé. Merci les RP passés qui se passent après la continuité actuelle !

le voyage est pas du tout agréable pour moi. je sais ce que ça fait maintenant de se faire harceler sexuellement. c'est vraiment pas top ! Tu te sens devenir un objet, un bout de viande. Tu te sens vachement rabaissé, comme si on se mettait à complètement ignorer ta nature d'être pensant qui a des affectes pour te reléguer au rang de simple objet. Mais bon, je supporte, j'ignore cette bande de reloues et je me dis qu'on va vite se débarrasser d'elles. Et puis au moins, notre voyage au travers de la forêt se passe dans le plus grand des calmes à présent. sans la moindre encombre. Va cheffe des cavalière finit par m'approcher et me faire du rentre dedans pas du tout fin.

-alors à ce qui parrait t'es une vrais bête avec les femmes ?
- Je me qualifierais plus de gentleman mais personne s'est jamais plain de mes capacités pour le moment. 
- J'espère juste que tu tiens pas trop du lapin.


Elle me colle une grosse calotte sur le cul avant d’éperonner sa monture et de s'en aller en se marrant d'un rire bien gras, sous les rires et félicitations de ses collègues. c'est ça que ça donnerait un monde où les femmes sont plus bof que les hommes ?! ça fait vraiment peur ! on finit sans encombre par sortit de la forêt. on se retrouve alors face à un arbre immense au point qu'on pourrait croire qu'il porte le premier ciel du royaume céleste. Nous voilà au pied d’Yggdrasil, la région "nordique" du royaume. alors que nous commençons à nous approcher, nos accompagnatrices n'avancent plus. leur cheffe finit par prendre la parole.

- On ne peut plus avancer.
- pourquoi ?
- Nous avons été bannies.
- Pourquoi ça ?
- trouble à l'ordre publique en état d'ébriété.
- quelle surprise !
- Nous vous laissons ici. Faites juste attention au sphinx... et si vous revenez en vie, n'oubliez pas notre marché. de toute façon vous serez obligé de repasser par la forêt pour quitte le royaume.


Je regarde Diavolo un peu énervé puis avec les autres, je commence à avancer vers la ville au pied de l'arbre monde.
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeMer 14 Déc - 15:49

Hé ouuuaaaaaaaaaye Carvouille ! C’est marrant, t’aimes pas quand t’es du mauvais côté du deal, quand c’est toi le pigeon et pas celui qui ramasse les pépettes comme un connard ! C’est marrant hein, de se faire enfler par un enfoiré qui te met pas au parfum ? Non, tu ne trouves pas ? Moi je me marre en voyant sa gueule sentir à dix pets de brachiosaures la merde qui commence à émaner de cte mission ! Mais faudra que je la joue plus fine que lui, pasque c’est le genre à te dire qu’il va pisser vite fait, pis tu le revois deux semaines plus tard en train de payer pour vendre tes caleçons à des culs-de-jatte. Puis entre nous, j’vois pas trop ce qui le gêne, à part ne pas être au courant qu’il va devenir l’inséminateur de ces dames. Ce mec me regarde super méchamment, alors que je lui trouve des plans culs gratis, sans frais de ports, sans taxe de passage. Enfin ça c’est vite dit, y’a une ou deux blondasses qui m’ont l’air d’avoir la rime facile, si vous voyez c’que j’veux dire. Ouais d’ailleurs, si vous voyez ce que j’veux dire, je vous emmerde, arrêtez d’être aussi clairvoyants bordel, vous tuez le suspens. Surtout toi, là, qui me zieute avec une gueule de baboulin. Ouais, toi, parfaitement ! Tu veux qu’on s’la donne ou quoi ? C’est ça va griffer le cul de ta maman, compte là-dessus et bois de l’eau ! Quoi ? Du remplissage ? Seulement le samedi soir, beaucoup de lait froid et beaucoup de putes au rabais.


En chemin avec les gonzes, je me dis que j’aurais plus eu vite fait d’aller dans un congrès de putains de féministes. Elles voulaient l’égalité homme-femme ces connasses, résultat elles ont pris tout ce qu’on a de meilleur, la bibine, la baston, le cul et les concours de pets. J’en ferai bien un harem, mais inversé. Toutes ces femmes pour un seul homme, bibiche. Quoi ? Quelle différence avec un harem ? Bah j’sais pas, elles sont reines, ce serait à elles de me convoquer pour la tringlette et tout...mais dis comme ça, c’est vrai que ça pourrait devenir aussi mes esclaves. Dans le même temps, j’commence à capter que Carmachin a capté à peu près le deal entre moi et les nanas, pasque certaines ont la chatte en feu mais un truc violent. C’est Firania dans leurs culottes, ça me fait pas mal marrer. De vrais mecs, avec des seins et des discussions sur les tampons. Non c’est pas misogyne, arrêtez de voir le mal partout bordel, c’est juste qu’à force de se prendre pour des mecs, on va finir en levrette, et pas du bon côté, si vous voyez ce que...non j’vais pas finir cte phrase. Faites gaffe, dernière fois que je préviens.


En tout cas la cheffe partage le copinage avec Carmouille. Vous savez ce qu’on dit par chez nous ? Les copains partagent le pain, et les copines partagent...voilà voilà. Bref, à force de les entendre piailler je commence à avoir une migraine digne des soirs de sur-puissance contrariée, et je me passe les nerfs sur l’un des deux élèves de la Disciple, le fils de boulanger j’sais pas quoi, et je commence à lui balancer des cailloux que je trouve sur la route, et ce con cherche à droite à gauche en flippant et en tenant une sorte de bâton merdeux. On se marre comme on peut hein.


On finit par arriver devant un arbre du genre mastoc, qui pourrait accueillir un palais si c’était pas juste un végétal de base qui prend racine. Faudrait que je la note celle-là. Il paraît que l’arbre est mythologique et réputé, mais enfin pour un putain de tronc, je trouve qu’on en fait beaucoup. La cheffe des walkyries raconte sa life, et chose étrange, les nanas ont été bannies du coin pour consommation excessive de boissons. Étonnant ça, leur conso me paraissait assez normale pour des nanas en pleine force de l’âge...encore des patelins de pisse-froids ou de bigotes qu’aiment pas déconner un peu en soirée, ça ! Ça promet. J’suis tellement énervé que je fous un taquet au boulanger-élève qui va devenir cette nuit ma victime officiellement déclarée. J’en avais plein avant, mais au black. Surtout dans le noir, si vous voyez ce...ouais non rien. Bref, vla-t’y pas qu’on marche vers la ville après avoir fait un check-nichons aux filles qui pleurent le départ de Carvioche qu’un truc me bondit dessus, depuis une putain de haute branche. Avec une coupe de Beatles, avec qui j’ai fait un concert underground mémorable avec un mec de chez eux qui se prenait pour le Christ j’sais pas quoi mes couilles sur ta croix, avec cte coupe de merde, un sourire de couillon et un pif inexistant, un truc hyper lourd, en pierreries massives genre granit me tombe sur le râble comme un connard. Bon moi sympa, j’lui fous un coup et tout, mais le truc encaisse impassible. Il bloque le passage et j’vois la Disciple qui commence à pisser dans son froc.


- Putain mais espèce de troufion, tu peux pas faire attention quand tu marches ?
- J’ai failli y aller du pied gauche, ça aurait porté chance ! Ohohohoho !
- Mais tu m’insultes en plus...j’vais te dresser façon architecture classique mec !
- Je suis invulnérable ! Ohohohohoho. Pour passer, vous devez répondre à une énigme, qui vous donnera la légitimité pour atteindre l’Arbre Sacré, Tod.
- Tod ?
- Tod, l’Arbre Sacré.
- Bah mon vieux, niveau prénom vous êtes des connards de chômeurs. Quoi Carvey, kesse j’ai dit encore ? Bon la pierre tombale, ton énigme et vite…
- On me voit sans m’atteindre, on me touche des yeux, jamais autrement ! Ohohohohoho !
- Ton cerveau ?
- Non.
- Ta femme ?
- Non, et je suis asexué.
- Putain...de la poutine ?
- De la quoi ?
- Laisse. Euh...Ouais non je sèche. Si t’as pas décarrer dans cinq secondes, tu vas aller te plaindre au syndicat des invincibles. Ils me connaissent là-bas.
- Ohohohoho ! Mais il suffit de répondre à l’énigme !
- Je...vais...secouer...ta…gueule...comme...un...porte….monnaie.
- Mauvaise réponse.



Là c’est trop, je saute sur le gars et je commence à le tabasser avec mes poings. Sa peau est dure comme de la roche. Wait ! C’est de la roche en fait ! Merdeuh, ce mec est fait en roches !!! Bon, c’est pas ça qui va m’empêcher de lui casser les rotules et les vertèbres. J’vais le transformer en route pavée, moi, parole de Diavolo ! J’ai les mains en sang, mais c’est pas grave. Je m’essuie sur la gueule de Plisson-Grosse-Miche le boulange, et je repars fracasser de la pieiraille ! Ça fait du bien putaing ! Déjà il arrête de rire, et il commence à s’effriter.


- QUESTION CONNARD ! COMMENT ON APPELLE TON CUL ?
- Ohohaïeouilleohoouille...je ne sais pas ! JE NE SAAAAAIS PAS !
- A SEC AVEC DU GRAVIER ! RIGOLE !
- Oui ! Ohohohoho ! Mais vous n’irez jamais dans l’Arbre Tod ! Il faut répondre !
- Tais-toi pendant que j’te ponce !
- Maman, j’aurais tellement voulu être un papillon, et pas un sphinx !



Oui, je sais. Mais il fallait que je la fasse.
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeSam 24 Déc - 11:58

Le Diavolo a l'air un peu trop satisfait de ses conneries et ça m'énerve un peu. Je suis pas pressé de me débarrasser des beaufs en jupons là et j'ai pas hâte de les retrouver au retour. D'ici là, je trouverai bien un moyen de les esquiver et si en plus je peux faire passer diavolo pour le coupable du non respect d'un accord qu'ils auraient eu, juste pour lui latter les couilles, j'en serais bien content. C'est de bonne guerre. J'ai la sensation qu'il m'en voudrait pas de penser ça de toute façon. Du coup, c'est délesté d'une belle brochette de blondasses alcooliques qu'on entre en ville. On a pas le temps d'avancer beaucoup que Diavolo se fait prendre pour un paillasson par un Sphinx. Non je parle pas de l'autre con avec son masque d'attardé mais de la bestiole mythique là. Celle qui se pause des questions complètement cons en plus d'être monomaniaque à vouloir absolument qu'on y réponde. Le tout en faisant bien l'effort de poser son gros cul au milieu du passage pour que personne ne puisse passer tant qu'on a pas répondu à sa devinette à la con. Je suis pas forcément avis de voir cette bestiole apparaître mais apparemment, Diavolo encore moins et il a surtout pas kiffé de se faire prendre pour un pouf... ou une pouffe. Je sais pas trop. Il tente de cogner l'animal qui lui rend les coups tout en encaissant pas mal les frappes pourtant puissantes de Diav'. Attends, monsieur est un prince et il supporte pas que son auguste royale personne se fasse piétiner comme une carpette. Et non comme un carvey ! Un carvey ça se piétine pas, ça se bichonne d'abord !

Et moi pendant ce temps là ? Je suis posé sur le dos de bob à tirer doucement sur ma pipe... c'est pas une expression pour dire que je masturbe même si dans les fait, en gros je me branle les couilles pendant que diav' se fritte avec la bestiole. La disciple me demande pourquoi je l'aide pas.

- Bah j'sais pas... Il a l'air de bien s'amuser non ?
- mais pas du tout non !
- bah moi en tous cas ouais.
- mais... Il se fait tanner la tronche.
- ça lui remet les idées en place. Puis vous savez d'où il vient, si on saigne pas son litre de sang quotidien, on est pas bien.


Pourquoi je l'aide pas ? Bah déjà, c'est un coup à me blesser inutilement. Et puis en plus, ce serait fatigant. Et enfin, pas l'envie. Le regarder se fritter comme un couillon est vachement plus distrayant en fait. La disciple s'inquiète. J'ai décidément complètement oublié son sobriquet que je lui avais trouvé. Preuve que ça devait pas lui aller si bien que ça. Juste du coup, je me pose la question de comment s’appelleront les deux autres s'ils finissent leur apprentissage. « Disciple 2 » et « Disciple 3 » ? ça ferait un peu con quand même.

Et là vous vous dites que si je donne pas la réponse à l'énigme, c'est que j'ai simplement pas va réponse... Et bah vous avez en partie raison ! Par ce qu'en vrais, j'aime pas ça ves énigmes, ves puzzles et autres conneries du genre ! J'sais pas, ça passe pas chez moi ces trucs là. C'est fait exprès pour te nique le cerveau ces machins ! Pas pour rien que ça s'appelle aussi des « casse-tête ». En fait, dans ma caboche, ça moulinait pour essayer de trouver la réponse. Moi je pense qu'un jour, ça me tuera ces énigmes. J'ai faillit pourrir plus de fois à cause d'une énigme à va con dans des ruines ou un donjon qu'à cause d'une tierce personne qui en voudrait à ma vie. Mais bon, comme je suis pas le premier des abrutis non plus, je finis par avoir une réponse qui me vient en tête au bout d'un moment. Attends j'vais vous stupéfier avec mon stylo Titi vous allez voir !

Je me redresse sur mon noble destrier des garennes, m’étire un peu en prenant bien mon temps avant de descendre et de m'approcher de la baston... Et non du bastion comme j'allais l’écrire. Quoique Diavolo soit un bastion à lui tout seul quand il s'y met. Je m'avance lentement en finit par m'interposer entre diav' et le sphinx. Je les regarde tous les deux d'un air blasé avant de souffler une bouffée de fumée sur la tronche du monstre caillasse.

- Dégage de là tu me cache l'horizon.
- d'accord !


Et là il se casse ni vu ni connu. Je me tourne vers Diavolo en lui soufflant ma fumée à la face.

- Je t'apprendrai un jour !

Le tout avant de le regarder avec un sourire un peu carnassier signe que je me foutais vraiment de sa poire. J'avance alors, sans problème, la banane sur le visage, bien content que je suis d'avoir pu humilier un p'tit coup Diavolo. On traverse alors une ville de viking qui n'est pas sans rappeler certains quartiers de fightland. Des barbares huilés qui font du catch ici et là en se marrant et troussant des donzelles et buvant des bières, le tout avec quelques géants par-ci par-là et autres bestioles mythologiques nordiques. Et en effet, c'est une bonne ville de débauche à première vue. Perso je me sens pas de faire du tourisme ici et on a mieux à foutre. J'avoue que comme mon collègue plus tôt, je me demande pourquoi les Valkyries se sont faites bannir de la ville par ce que bon, des mecs qui cassent de trucs en étant bourrés, y en a plus d'un là. Je pense que c'est une discrimination du fait de leur genre. On devait pas supporter qu'en tant que nana elles leurs foutent des trempes et leur foutent la misère à tout bon jeu d'alcool. Bref au terme d'une petite marche dans cette ville pittoresque, nous arrivons au pied de l'arbre monde qui domine toute la ville. Autour de lui, tout est beaucoup plus calme.

- L'entrée du cœur de la montagne doit se trouver près ici, dans l'arbre.
- Sérieux ?! Où ?!
- Personne ne le sait. Les personnes qui ont scellé l'entrée du cœur de la montagne ont été tués pour qu'elles ne le divulguent jamais.
- ça devrait s’appeler le royaume de l’omerta ici ma parole !

Nous voilà bien avancés. On est comme des cons au pied de cet arbre à la noix... non c'est pas un noyer mais bref vous me comprenez ! J'observe l'arbre un petit moment. Puis je me dis que peut être que mon tabac de la vérité pourra nous révéler quelque chose. Je prends ma pipe et commence à tirer un maximum de fumée dessus avant d'en souffler un peu partout sur les racines, je répète l'actions plusieurs fois quand soudain...

Je laisse à mon collègue l'immense joie de décrire ce qui se passe. #suspens
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeVen 17 Fév - 14:34

Woooooooh ! Les gars j’sais pas ce qui s’est réellement passé, j’ai dû sucer la bite de Chronos, mais je suis tombé dans une faille temporelle encore plus grosse que vos mamans ! La vache, c’est comme si dans mon crâne y’avait eu un black out total, à l’instar des coupures de courant dans la tête des Metechochottes ! Woooh et j’vous dis pas le boucan, que de réveiller tout ça ! Heureusement, j’ai autant de muscles que de neurones, et parfois plus que de confiture que de tartines, si vous voyez c’que j’veux dire ! Non ? Bah allez vous faire foutre alors, bande de sales merdouilles ! Laissez les gens bosser et reprendre du service, bordel. Quoi je jure ? Quoi je jure ? Tu prends ma main dans ta gueule, tu tournes à droite, et tu cries géronimo. Ouais, merci mon iench. Bref, on en reprend à l’instant t où je me suis paumé dans les limbes des mathématiques plutôt que de la force brute. C’est pas possible d’être habité doublement, on en perd ses repères. Allez, on reboot le dual boot, et on se taille la queue en horloge pour entuber Chronos.



Trêve de blablas, moi je tamponne du mythologique. Vous marquerez ça sur ma pierre tombale, avec marqué « j’encule des mouches hashtag vos sœurs aiment le goût de la merde ». C’est tout moi, c’est signé, c’est à la fois classe et sensible, tout le monde comprend sauf Caervey, mais lui si y’a pas d’argent ça rentre jamais dans sa caboche. Je chie sur le poto mais faut savoir que je le kiffe un truc violent, avec lui c’est à la vie à la mort, et je sens bien qu’à un moment j’vais devoir le buter pour arrêter de ressentir de l’amitié pour lui. Je dois régner sans sentiments pour faire régner le projet Chaos les gars, arrêtez de faire la gueule comme ça bordel. Carvey c’est un super pote, mais bon, à un moment, je sais que nos chemins s’éloigneront, c’est comme ça. J’suis qu’un mauvais présage, et lui au fond c’est un mec bien, et cool, et réglo, et sympa, et délire et...ouais j’arrête.



Alors que je suis en train de me fritter face au lion de pierres de merde de mes couilles, Carvey donne la bonne réponse à l’énigme. C’est pas tant que je l’avais aussi, c’est plutôt qu’il pourrit mon groove, un truc de fou. Bon, je m’approche de lui en crachant du sang, je le toise de haut et je lâche comme ça, tandis que MC Bokky est en train de flipper sa mère. Je me mange une bouffée de tabac de la part du poto marchand, manière de me chier à la gueule. J’esquisse un sourire sadique en coin – ce mec me file des envies de meurtre, mais je le respecte trop juste pour continuer à y penser. J’me dis qu’on ne mènera pas cette aventure à son terme si on se chie sur les arpions en continu. Et quand je dis on, je parle aussi de son lapin.



- Désolé, mon pote. J’sais que tu me supportes et que tu réponds du tac au tac parce que tu as des burnes, contrairement à la moitié du monde connu. Désolé pour ce que je vous ai fait, à toi et ton lapin. Maintenant tu vois la Disciple ? J’ai envie de finir ce qu’elle nous a demandé parce que je me la taperai bien. Faut qu’on arrête de se fritter comme un vieux couple qui baise plus, et faut qu’on fasse équipe de nouveau comme au début, sans quoi tout ce qu’on aura fait depuis Memento, ce sera de la flotte pour les tarlouzes de Perte.
- Hé, je vous entends, Seigneur Mayor.
- Ferme bien ta gueule la gonzelle, et commence à écarter tes souvenirs, j’vais y rentrer comme dans un bordel en manque de sperme.
- Quoi quoi quoi ? Vous êtes…
- Diavolo Mayor, infréquentable et pourtant en kif sur le monde. Maintenant on se bouge le cul, mamzelle, et on fait avancer votre mission. J’sens que le vieux va bientôt clamser et…
- Comment osez-vous parler de mon maître comme…
- Mais ferme-la putain, tu sais que dalle ! On l’a vu le padre de la montagne, il est malade comme un chien, il fait dans son froc après avoir bouffé du cassoulet corsé, et il comprend même plus ce qui se passe sur son paillasson. Faut que tu te magnes gamine, et on est là pour ça.
- Parlez-mieux à la Disciple, que vous soyez Seigneur ou larbin !
- C’est Boris Plisson l’ancien boulange qui me cause comme à une merde ? T’as décidé de retirer tes miches du four et t’essaie de me brûler avec ?
- Heu...non m’sieur Diav !
- Okay, alors marche droit et la ramène pas.
- Vous êtes un tyran !
- C’est le début de ta parade nuptiale, cocotte. Montre moi ton cul, ça ira plus vite !
- Odieux personnage !




La Disciple se casse en mode vingt-huitième jour et ragnagnas hardos. Ah les femmes, toutes des hystériques. Celle-là n’a jamais connu l’amour charnel et le plaisir d’une catin habituée aux secousses voluptueuses, m’est avis. J’vais lui en donner pour son argent, mais pas encore, mais pas encore...pourquoi ? Parce que j’ai beau être le dernier des connards – oui j’en ai conscience, arrêtez de hausser les sourcils, en plus vous êtes moches – j’ai capté que ça puait pour le vieux de Memento. C’est urgent, cette histoire de disciples, et la mémoire aiderait vachement à avancer la demande du vieux. Franchement, je sais que je pourrais m’en tamponner la figue avec un piège à ours, mais j’sais pas pourquoi, cette histoire de mémoire, de souvenirs, de préservation de vies de Dreamland, ça me concerne, ça me touche, et je dirais même sans pincettes que ça m’émeut. Bien sûr j’peux pas le dire. Pour Carvey et pour le reste du monde, j’suis un connard sans pensées qui tape tout ce qui bouge, ou qui bouge tout ce qui tape. Mais j’pense être plus subtil, plus malin que ça. Je sais reconnaître un truc qui vaut le coup quand j’en vois un. J’ai pas été formé à diriger un Royaume millénaire pour peigner des culs, hein. Non, je sais quand je dois me remuer pour sauver des gens, je sais quand je dois taper des tarés, et quand je dois juste faire profil bas. Ici, on entre dans la troisième option.



Bref, on se retrouve devant un village viking, et Carvey savoure ce qu’il croit être une victoire sur moi. Ouais, ce qui me gonfle, c’est qu’il pense que je suis du genre réellement méchant, ou réellement contre lui. Je cherche juste à m’amuser, je suis un cinglé quoi ! Un fou fait maison, et le mec me respecte même pas ! Dans le village, je vois des connards à cornes, peaux de bêtes, épées de merdeux et boucliers de tafioles qui font tout et n’importe, catch, karaté, batailles rangées avec des armes factices, et ils boivent de la bière dans des crânes avec des gonzesses à couettes blondes. Un vrai fantasme pour tous les groupes de death metal cold hardcore trash heavy metal ouais. J’me sens un peu chez ouam, y’a de la fight partout, par contre ça sent l’après-shampoing et l’huile de massage, pire que chez les gayzoux du Royaume des Tatas. Je vois l’arbre Tod qui domine tout le bled, impressionnant, réellement. J’en ai presque la gaule. Du coup, je rentre dans un établissement à l’enseigne d’une femelle blonde, musclée mais bien proportionnée, et en cinq minutes Popol Mayor ravage des culs. Je sors tranquille en me grattant les couilles, tandis que le groupe contemple encore l’arbre géant en mode « waaaaaaaaaaaaaah ». Gros touristes quoi.



Je vois Carvey qui souffle du tabac sur tout le tronc. Je sais maintenant, à force, qu’il tire quelques pouvoirs de sa pipe, et moi j’en tire quelques autres des pipes reçues pas plus tard qu’il y a trois jets de foutre chaud. La fumée s’infiltre dans le tronc, n’empêche, et manquerait plus que ça fonctionne quoi, ce serait énorme. D’un coup, un petit truc sort du bois. Une créature que j’avais encore jamais vue, à la fois se désagrégeant à vue d’œil, dans une sorte de corps en terre, et en haut de son corps, que des feuilles, des morceaux de bois sortant de ses épaules. Drôle de botruc comme disent les jeunes rêveurs du Royaume Sorcier.



- Oui, c’est ici l’entrée de l’Arbre-monde, le grand Tod.
- Salut, je suis un arbre et en hiver, je me les pèle !
- Ouiiiiii, l’Arbre parle à travers moi ! Je suis Tod tout en étant Frica, le gardien de…
- Ta gueule et ouvre.




La créature déglutit en me voyant et une racine s’écarte alors que les gens pas loin de nous ne voient rien. Étonnant, alors que personne ne semble avoir en vue l’entrée du patelin. Hochant la tête, je rentre dans l’Arbre le premier, dans le noir et dans une sorte de mucus dégueulasse décrépi et moisi depuis des lustres. J’essaie de fermer les yeux pour voir l’immensité du tronc, et je ne sens qu’un profond et immense tunnel qui mène vers...les profondeurs.



- Aïeuh.
- Regarde où tu marches, Disciple. D’ailleurs c’est ton vrai nom, la Disciple ?
- Non. Maintenant que nous sommes dans l’Arbre-monde de Myriade, mon secret sera bien gardé. Je ne le dis qu’à toi, même si je ne sais pas trop pourquoi.
- Tu me kiffes et je te fais mouiller comme une pucelle devant un boys band de Meteors ?
- Absolument pas…
- J’parie que si je mets la main dans la culotte de ta mémoire, c’est la mousson…
- N’importe quoi ! Et je m’appelle Yuna.
- Okay Yuna. T’es entrée à l’intérieur de la montagne, mais c’est maintenant que les choses commencent. On attend le marchand, vous allez marcher derrière nous, toi et les troufions.
- Les troufion?
- Boris Plisson et anonyme-sans-nom.
- Logique…
- HEY CARVEY, je passe devant, tu me suis de près au cas ou ! Capito????



Il fait super soir à l’intérieur de l’arbre, et ça sent comme dans le cul d’un macchabée mort d’une fistule aggravée et laissé pour mort dans un restaurant fermé pour mauvaise hygiène cafard dans les miches de la Patronne. Vous voyez le genre. Je prends le devant de la troupe, et putain ce que ça descend. Après deux heures de descente de folie, je mets le pied dans un truc mou.



- Putain j’ai marché dans la merde !
- Elle s’appelle Brutalisor 4000, la merde ! Je suis un cyclope, connard !
- Un cyclope, le truc avec un œil et une gueule de merde ?
- Ouais, lui-même, et toi t’es mort !
- Je suis sûr qu’on peut s’arranger !
- Ouais, si j’arrive à prendre ton œil.
- Non, je sens que ça va me coûter un bras. Blague dédicace à mon ami Carvey !
- MEUUUUUURS !
- ON PEUT RIRE DE TOUT MAIS PAS AVEC TOUT LE MONDE OKAY ?
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeMer 1 Mar - 22:34

Alors comme ça monsieur le prince de la guerre veut faire la paix avec moi ? Marrant ! Bah ouais ! On a peur de m'tester ! Quoi ? ! quoi ?! Tu veux tester carvey ? L'ami bobby et toute sa clique ! Bopn trêve de références à un groupe aux propriétés stupéfiantes ! Avançons car ce RP a trop duré ! On a une chimère alpha à trouver, une mémoire à restaurer, une monarchie à baiser une une destinée à accomplir. Je regarde donc Diavolo d'un air un peu surpris quand il vient m'aborder pour dire ça avec son phrasé toujours aussi particulier qui fait que même quand il vient faire la paix, t'as l'impression qu'il en profite pour poser une bombe chez toi. Sait on Jamais. Il doit avoir des origines corses. La passion pour le plastique et tout et tout. Même si les chants polyphoniques ça semble pas trop son truc. J'accepte par ce qu'après tout il a pas tors. On est plus productif quand on bosse ensemble que quand on se fritte comme une vieux couple ou comme deux pucelle en chaleur. Il fallait retrouver la flamme qui avait fait briller notre amitié si fort à Mémento ! Hey ! J'vous vois venir avec vos Gif et vos Meme en mode Bromance ! Jamais vous m'entendez ! Jamais je ne ferai ce genre de choses avec Diavolo ! Ni avec aucun bonhomme soit dit en passant. Je pense que c'est utile de le préciser !

- C'est rien ! T'as raison ! On devrait arrêter de se bouffer le nez pour se concentrer.

Ça c'est de la ligne de dialogue utile putain ! En même temps, qu'est ce que tu veux que je dise de pvus ? Moi j'suis pas du genre à aller me foutre va haine avec un victime-sempai juste pour gratter des lignes comme un rat de compétition. Naaaaan moi j'fais des trucs moins discrets pour gratter des lignes. Genre tu vois cette masse ? Tu vois ce mur ? Haaaaaaaaaaaan ! Applepen !!!!

Bon ! Excusez moi mais je dois compléter ma liste de courses. Alors ! Blague sur les féministes, fait, blagues sur les baufs et les chasseurs fait, référence à stupeflip fait et 4° mur défoncé à coups de masse dans saggle avec une touche de Meme stupide. Bon ! Ve starting packe d'un bon RP à la con sans aucun sens ni aucune qualité mais plein de private joke et de taquets gratuit semble rempli ! Je plains vraiment le pauvre bougre qui devra s'occuper de ce machin ! Brave truc ! Si tu lis ces mots ! Sache que le carvey du passé te salue !

Oh mais ! Il est l'heure. L'heure de quoi ? De faire avancer cette putain d'aventure qui n'en finit pas d'être au point mort ! Encore la faute des arabes qui volent le travail à nos portugais ! C'te discrimination contre les poilus moi j'trouve que c'ets pas tolérable ! Ah oui ! Et aussi... si ça avance pas c'est forcément la faute de Julien ! Obligé c'est d'sa faute ! Et celle de Chupah aussi. C'est toujours sa faute de toute façon.

Ma fumée faisait son petit effet. Au moins autant que la drogue que je prends pour faire ce poste. En effet, sortit du tronc de l'arbre-monde. Une petite créature végétale nous appairait alors. Visiblement l'esprit de l'arbre qui s'incarne sous la forme d'un petit avatar. J'espère qu'il est en format 200X400 sinon il contrevient au règlement du forum. Notre botaniste s'apprête à taper la causette mais Diavolo met fin rapidement, et c’est un euphémisme, à la conversation entre la p'tite salade et la victime en second. Et apparemment, quand le prince cause, l'esprit obéit. J’applaudis sa performance qui nous fait gagner un temps pas forcément si précieux que ça mais tout de même. Quelle autorité n'empêche. S'ouvre alors à nous un tunnel, un passage secret dans l'arbre ! Putain me dites pas qu'on va arriver dans une cabane abandonné pour se retrouver attaqué par un loup-garous. Ça ferait un peu plagié si ça devait finir comme ça quand même.Diavolo passe le premier ! Quel téméraire ! Moi je reste toujours sur le dos de Bob au milieu du groupe. L'animal n'est pas le moins du monde terrifié. les terriers ça le connaît. Diav' finit par me recommander de me rapprocher de lui. La disciple me laisse donc la doubler. La cavitée de plus en plus étroite ne me permet plus de chevaucher Bob duquel je descend pour marcher juste devant lui derrière Diavolo. C'est un peu interminable et en plus victime-sama trouve rien de mieux pour passer le temps que de chanter. Heureusement pour lui que diavolo peut pas l'atteindre à cause de bob sinon je pense qu'il serait déjà mort. J'arrive à le faire se la fermer au terme de négociations âprement discutées. J'finis par trouver la solution, l'argument ultime. C'est qu'on s'entend plus penser à l'entende chanter comme une merde du coup j'pouvais pas poser tranquillou pépère mes questions à va disciple.

- Au fait, ma chère vous pouvez peut être répondre à une de mes questions.
- Oui ?
- Qu'est ce qu'on cherche précisément ?
- Vous le savez. La mémoire de va première chimère.
- Oui mais ça ressemble à quoi ? On est censé la trouver dans quoi cette mémoire ? Non apr ce que de ce que j'ai vu à Memento, hors des vitali les mémoirs ne persistent pas. Comment ça se fait ?
- Il arrive parfois que certaines choses retiennent les mémoirs. Ça peut être un pouvoir, un objet, une malédiction ou un phénomène complètement inexpliqué.
- Et selon vous pourquoicette mémoire est restée ici ?
- Certainement par ce que justement cet endroit est resté isolé du reste du monde. La mémoire n'a pu s'en échapper pour rejoindre Memento. Il faut venir la recueillir à la main. Il se peut donc que la mémoire soit encore lié au corps de la première chimère.
- Je vois.
- Pourquoi cette curiosité ?
- Je voulais juste savoir à quoi je pouvais m'attendre.

Mais c'est alors que notre bon vieux Diavolo tombe sur un os. Un os de cyclope... avec de va chaire dessus. De la chaire vivante. Bref, il bute sur un cyclope avec qui il commence vite às 'embrouiller. On va encore perdre du temps dans un affrontement à la con je pense. D'autant qu'on est un peu à l'étroit dans cet espèce de tunnel donc c'était pas à notre avantage. Je m'interpose. A ce qui parait, un cyclope, ça se roule bien dans la farine. Je pense que c'est dû à la taille de leur cerveau qui doit être plus petit que leur unique œil. Je gueule un STOP aux deux bourrins sur le point  de se fritter.

- Tu veux quoi p'tite tête ?!
- Moi je veux juste passer sans encombres.
- Bah c'est mal barré pour toi !
- Tu veux quoi en échange.
- Tu veux négocier ?
- Je suis marchand ! je sais faire que ça.
- Je veux l'oeil de ce type !
- Pas possible.
- et pourquoi ça ?
- Il en a besoin.
- Qu'est ce que ça peut me faire ?! justement raison de plus ! il m'a traité de merde !
- le soucis c'est que son modèle d'yeux est pas adapté au tien ! tu risque de loucher. Je pense que quitte à avoir deux yeux, autant qu'ils soient bien droits.


Il se gratte le menton en signe de réflexion, je fais un léger sourire à Diavolo signe que mon plan en semi-improvisation fonctionnait parfaitement. la partie pas improvisée, c'est juste que je compte l’endormir pour qu'il nous laisse passer. tout le reste c'est de l'impro. Donc du talent ! Ce que je dis semble faire sens pour ce sacré animal monoculaire. Il prend un air pas bien futé, à va mesure de la conenrie de son nom digne d'un habitant de fightland. Oui je stigmatise et alors ! tu va faire quoi ?!

- Et alors tu n'as qu'à me donner un œil qui me fera pas loucher !
- le mien irait bien.le seul soucis c'est que la différence de taille entre mes yeux et tes yeux est trop grande. Tu aurais l'air étrange avec un œil petit et un œil gros.

Il zute avant de sembler réfléchir.

- Tu ne connais pas une créature qui a des yeux à peu près gros comme le tien ?
- Oh si y en a une ! il y a un monstre plus bas !
- Mais c'est parfait ça !
- Mais je veux pas son œil! c'est un copain et il a besoin de ses yeux lui aussi.
- t'en es certain ? On peut aller lui demander.


Sur ces entrefaites, nous nous faisons alors escorter par le cyclope qui nous mène toujours plus profond sous v'arbre. On sent la température monter un peu. Il chante comme un abrutis le cyclope. quand c'est pas la victime c'est l’abrutis ! putain on est pas aidé ! On finit par déboucher sur une espèce d'antichambre et il nous désigne une masse dans la pénombre de ce tunnel ténébreux éclairé par les lueurs de roches phosphorescentes. on pouvait voir un géant s'afférer à creser dans la roche des tunnels? D'un coup je me demande ce que ce cyclope et ce géants foutent sur les lieux mais bon.

- C'est lui.
- Tu permets que j'aille lui parler ?
- D'accord. Je vais te le présenter marchand !
- non je marchande mieux quand je suis seul.

Je me dirige donc vers le géant un peu plus loin laissant diav', la bande de guignoles et le cyclope pendant que je vais taper la discute avec le géant. et comme j'en ai ras le cul d’écrire, on va vous faire tout ça au discours indirect. Je cause donc un moment avec le géant. lui est un peu moins con mais je comprends assez vite qu'il y a des tension entre les deux créatures antiques géantes et j'arrive à appuyer dessus ne faisant croire au géant que c'est le cyclope qui m'envoie pour essayer de l'arnaquer. ça prend un moment, surtout qu'il me croit pas trop au début. Puis j'finis par y aller au bluff et dire que le cyclope doit convoiter son trésor. Je vois de la lumière dans son regard de géant. J'ai mis le doigt où ça fait mal. Il se saisit de sa masse et fonce vers le cyclope. je fais signe à ma compagnie de s'écarter du lieu de la baston Voilà, la voie est libre. débarrassés d'un cyclope et d'un géant qui s’entretient à présent. Bon par contre le soucis maintenant c'est que des tas e voies s'offrent à nous, au moins 5 couloirs, comment savoir lequel est le bon ? J'aurais peut être dû demander au géant avant de l'envoyer se fighter avec le cyclodébile !
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeMer 8 Mar - 18:34

Sérieusement les michels, vous lisez depuis le début du sujet ce mec qui écrit des v à la place des l ? Mais déjà que moi il rend mes couilles nerveuses, vous je ne sais pas comment vous faites...quoi ? Vous êtes amputés de vos virilités et vous compensez en faisant taper vos persos avec de grosses épées, armes, pouvoirs ? Han je vois ! Mais faites comme moi les gars, tapez avec vos poings aussi fort qu’avec vos couilles, et après les matchs de boxe deviennent des...non je ne vais pas finir cette phrase, on me dit qu’un public jeune déjà violé par Chupah est en train d’organiser un procès contre lui. C’est la faute aux rp avec des super puçaxxx les potes, genre Joy Killamanjiro. Tu sens que le gaminche n’a pas la maturité pour faire face au légendaire...ouais, okay, j’arrête de faire du remplissage, mais faut dire avec vos mamans j’ai pris l’habitrude.


Bon, à force de lire les pages d’un mec qu’a plus de clavier j’en perds mon latin des alpages, version divinité c’est moi qui vla, on tape un cyclope qui se sent pas péter des hannetons, quoi que ça veuille dire. J’en ai marre de croiser des gros péteux dans ce monde. J’veux dire, quand t’es comme moi, beau, vif, intelligent, bien bâti, héritier légitime d’un des plus grand royaume de ce monde, fondateur des clubs de free fight, baby-sitter de Carvey et copain platonique de Neferyn la Divine Prêtresse de mon Popol, j’veux dire t’as plus rien à prouver, tu colles tes miches aux chevilles et tu chies dans la bouche de la plèbe. C’est acquis, c’est acté, c’est legit. On est tous d’accord là-dessus, et si tu l’es pas, tu t’assois bien profond sur mon majeur dressé. Ce qui s’appelle se faire ronger l’ongle, bande d’illetrimses. Bref, voilà, moi je me la raconte, mais en même temps je suis moi, je peux le faire. Mais quand tu croises Bobo le clodo, ou Jojo l’asticot, les piliers de comptoir du « café des sports », les mecs qui ont demandé des marques de bière en mariage, qui ont fait autant de paris que d’enfants congelés, qui connaissent autant le langage articulé que la définition du mot concupiscent à la fermeture de leurs vies enseigne de ringardos, bah tu te dis... « pourquoi ? ». Pourquoi tu as une fierté alors que t’es un cyclope. T’as qu’un œil,  j’en ai deux, bim ton handicap c’est pas une force faut pas croire. On te le fait croire, que c’est un truc qui se dépasse, qui te transcende, mais en vrai t’es juste un raté dont on évite le caisson sauteur à coup de flingue. C’est tout. Alors mange ta merde et tiens-toi tranquille, laisse-moi toucher les étoiles, et peut-être qu’un jour tu serreras ma main. J’ai tout appris chez Macron, qui que ce soit dans le monde réel.


Tout ça, au final, pour que Carviche négocie le truc avec l’handicapé de mes deux...j’vous jure, y’a des pieux qui se perdent, et des aveugles qui manquent de tomber dans les escaliers. C’est un geste de sympathie, faut pas croire, moi quand je crois un cyclope, je parle de sa dignité quoi. Pas possible d’avoir une tronche pareille. Mec, la nature t’a dit non, pourquoi tu insistes ? Non c’est non, t’as beau te cacher et faire le mec méchant, ça passe toujours pas. Tu traverses mes quartiers, tu raques une blinde et tu retournes dans la case départ hashtag l’utérus de ta conne de mère. Merci de rien je suis ton psy, ça te fait quarante balle, deux cent si tu penses que tu traverses ta phase anale.

Le marchand négocie avec l’autre timbré, pendant ce temps là je reluque pépouze la dénommée Yuna. Je sens bien que depuis que je connais son prénom, ce n’est plus pareil entre nous, je la sens plus proche, comme une confidente, on se dit tout bas ce qu’on n’ose pas dire tout court, et si jamais les autres venaient à disparaître, me la ferait bien en mode œufs sur le plat, avec des lardons, une noisette de beurre bien glissant et fondu et bim bam boum le tout dans la gueule. Mais vous me connaissez, je suis un timide, il me faut du temps. Les vingt premières minutes, c’est pour voir si Popol est en forme.


A force de mater, le cyclope pour je ne sais quelles raisons inintéressantes et logiques nous escortent encore plus bas. Car oui, on descend, ça descend donc on descend, du coup on descend. Rik et Rok le boulanger sont en train de se faire dessus tandis que je tiens la Disciple entre mes quatre yeux, quoi que ça veuille dire. Je sens que cette aventure en dilettante avec le poto Carvioche sent le danger à plein nez, ainsi que la bonnasse, le temps qui s’étire et le débordement de travail. Si je savais qui il était vraiment, peut-être que les choses seraient différentes. Mais je n’ai pas ce privilège, allez savoir pourquoi. Du coup, le temps qu’on descende, je fais un rappel de rideau.




- Hé, vous savez comment on se déplace dans le Royaume de Carvey ?
- Dis toujours.
- Avec des Rokhan en bois.
- Ah...ah...ah…
- Merci. Et vous savez comment on s’y bat ?
- Avec des Rokhan-épées ?
- Merde tu la connaissais ?
- On va dire que oui.
- Rigole alors.
- Franchement.
- Ouais.
- Non.
- MAIS RIGOLE PUTAIN YUNA !
- Tu vas te calmer tout de suite, espèce de cinglé ! Tu crois que j’vois pas ton manège ? Et que tu me mates ???!! Tu es grossier, vulgaire, pervers, immonde, narcissique et…
- Et il t’en manque un !
- Psychopathe !!!
- Voilàààààààààààààààààà !
- Ne m’approche plus, et arrête de martyriser les disciples ! C’est la dernière fois que je le dis !
- Tu me douloures le cœur.


Heureusement dans tout ça, le cyclope chantait et Carvey n’a peut-être pas entendu le prénom de la Disciple. Je sens qu’elle et moi on se rapproche comme c’est pas permis. Je sais ce que vous allez dire, là comme ça, c’est pas flagrant, mais vous n’y connaissez rien aux femmes aussi ! Bande de branleurs ! Laissez faire le professionnel. J’arrive sur elle en mode grognon, y’a le disciple Plisson qui se fait littéralement dessus. La Disciple, Yuna, me foudroie du regard tandis que je lui souris. Je vois en elle le jugement moral, je me vois comme un diable, et je lui agrippe les fesses des mains, ce qui me vaut une mandale bien sentie, de tous les diables.


- Celle-là, garde-la bien en mémoire !
- T’es marrante, la Disciple…


Tout ça Carvouille ne l’a toujours pas capté, il est parlé à un truc j’sais pas quoi. J’ai pas trop suivi son affaire depuis le cyclope, il a plus de diplomatie que moi. Mais d’un coup, je pousse la Disciple qui n’a pas vu qu’un géant fonçait sur nous, avec le cyclope qui nous protège ! BORDEL CARVEY ! T’ES OÙ POTO ? Je gueule comme un putois, et je sens l’endroit qui vibre à cause des pas, des cris, et des vibrations. Les Arbres-Mondes, c’est plus comme c’était, j’vous le dis moi ! On achète tout chez les noich’ alors bon, faut pas s’étonner si la camelote nous pète entre les doigts, comme les mannequins anorexiques de deux mètres et quatre mètres de vomi derrière elles tous les jours. Du coup moi je fonce sur le géant, qui fritter le cyclope, et je fritte les deux.


- MONTJOIE! SAINT-DENIS ! QUE TRÉPAS SI JE FAIBLIS POPOOOOOL !


Bon, les deux zoziaux sont pas vraiment à ma taille, mais en sautant comme un pro player et en foutant des tatannes of ze dead, je pense que je peux moi aussi m’amuser un peu. Je fracasse le géant en m’amusant comme un taré, en tendant le bras, l’index vers la Disciple.


- CE COMBAT EST POUR TOI YUNAAAAAAAAAAAA !


Le pire, c’est que je joue avec elle. Je sais que je vais lui briser le coeur à la fin de la mission, mais enfin goûter le sacro saint temple des mémoires, ça fait bien sur le cv. Je m’occupe de hacher menu le géant, mais le cyclope m’envoie d’un coup contre un mur. Quoi ? Le scénariste veut un couloir pour la suite du scénario parce que Carvey a fait genre « on a masse de choix insolubles » ? Okay, je cède à la pression de mes sponsors, et on va dire que je tombe dans le couloir de droite, non attendez, le deuxième ! Le deuxième en partant de la droite. Bien sûr, selon le sens dans lequel on est tourné, droite et gauche ça ne veut plus rien dire, mais bon les gars semblent pouvoir se repérer comme ça, alors j’en sais rien. Moi je milite depuis des années pour la fin de droite et gauche, car pour les points cardinaux. Ces trucs ça change selon de comment vous êtes tournés, mais on est entouré par les débiles. Avec cette parenthèse, je me retrouve à glisser dans un couloir piégé, et je finis en porc épique, en deux mots, dans une salle, devant trois mecs encapuchonnés.



- Vous êtes la vierge du sacrifice ?
- Plutôt le taureau. Pasiphaé est dans le coin ?



J’avais fait la blague l’autre soir à Neferyn, ça avait plutôt bien marché. Là j’sais pas, ça jette comme un froid.
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeLun 17 Avr - 18:01

Bon bon bon... les sponsors ont encore gagnés ! Et qui sont les sponsors ? Des gens riches et quels gens riches vous connaissez vous ? Athia et Maghior ? Oups. C'est mes potos ! Eh ouais les p'tites bytes ! Moi je baise le game avec le pouvoir de la Youtube Money ! Et même que je rendrai jamais l'argent des abonnés ! C'est ça d'être un connard avec un grand K ! Et vous savez quelle lettre se trouve après le K dans l'alphabet ? La lettre V ! Putain de merde je hais ce monde ! Ça c'est d'la faute de axel qui m'a refilé la chtouille du clavier qui confond les l avec les v ! Vous vous demandz comment il me refil ses MST informatiques ? Une sale histoire, un triste spectac' ! Vous préférez ne pas en savoir plus.

Putain ! Ce que je viens de dire n'a aucun sens ! Je me croirais dans la tête de Diavolo ! Remarques ! C'est mieux que dans la tête de Sento... sinon je serais en mode panne de la page blanche. Donc je résume. Diavolo a tenté de protéger la disciple et ses esclaves de l'assaut du géant en s'interposant. Sauf qu'apparemment, lui et les deux créatures démesurément grandes jouent pas dans la même catégorie. Il se fit éjecter tout droit vers l'un des couloirs, jouant au passage le rôle de détecteur de pièges. Sympa poto !  Nan vraiment ! Je  lui emboîte le pas histoire de voir dans quel état il est par ce qu'il s'est quand même pris une grosse mandale dans la tronche et un tas de flèches dans le cul. Apparemment il est en forme. Comme  un mayor qui se prend un pain vous me direz. Mais je me rends vite compte qu'on est dans un décors digne d'une messe satanique. Les mecs semblent remontés comme des coucou suisse à l'idée de peigner sa tronche de mal brossé de diavolo... Eh ouais ! Certes ta crinière est majestueuse mais elle est pas toujours bien peignée. Par contre ça sent bon. Je me demande quel shampoing il utilise.

Bref ! Ça sent très fort le caca si vous voulez mon avis. Je descends du dos de Bob puis je commence à foncer dans le couloir qu'a pris Diavolo puis je le choppe par le col avant de le traîner pour retourner à l’embranchement.

- l'écoutez pas ! Il sait pas franchement ce qu'il dit ! Chouette la déco en tous cas ! À jamais !

Je me carapate en me trimbalant le Diavolo, coursé par cette bande de tarés de sectaires. T'as vu comment je m'en cogne de l'intrigue que t'as essayé de lancer ?! Hein hein ?! Prends toi mon gros j'm'enfoutisme dans ton c** ! Coursés par les cinglés, je fais signe à la disciple et ses deux troufions de tracer vers le premier des autres chemins. On leur emboite le pas Diavolo et moi, je reste derrière lui pour m'assurer qu'il fait pas demi-tour pour leur foncer dans le rable. Comment j'ai fais pour le persuader ? Je sais pas moi même ! Peut être qu'il se rend compte que c'est pas si fun que ça de fritter avec n'importe qui et que peut être qu'il préférerait faire mumuse avec popol qu'avec MC Boken.

- Revenez ici pucelles !
- Mais on est pas puceaux !
- Ah ok au temps pour nous. On a cru.


Puis ils font demi-tour prêts à attendre qu'une pucelle se pointe. D'un coup, je me demande si la disciple est pucelle. Bah ouais, elle appartient au genre d'ordres où on fait vœux de célibat ou pas ? J'sais pas. C'est une question qui se pose quoi. Vous noterez que des fois, y a des situations qui se règlent toutes seuls sans trop forcer. C'était le cas de celle là. Bah ouais ! Dreamland est comme ça, des fois les choses ont assez peu de logique et là, c'est con à dire mais ils veulent une pucelle à sacrifier et aucun de nous deux n'est puceau ni n'est une femme. Donc voilà, ils allaient pas se faire chier avec nous. On entre finalement dans un autre passage. Le sol finit par se dérober sous nos pieds. On tombe dans une espèce de toboggan naturel. Je sais pas trop si je dois trouver ça super fun par ce qu'il faut avouer que la glisse c'est cool mais je me méfie vachement du fait que Diavolo soit juste derrière moi. Et vous savez ce que c'est. Moi je fais jamais confiance à un popol. Surtout si son nom de famille c'est Mayor. Bon, y serait temps d'arrêter de dire des conneries et de s'éclater mais de faire avancer ce putain de poste vous trouvez pas qu'on mouline dans la soupe depuis quelques tours déjà ? Moi si en tous cas. En tous cas, le sol qui ressemble à du bois mou est lubrifié par une sorte de sève. Diav' ! Range ton esprit mal placé stp ! Ce n'est que de la sève ! S'il avait pas l'intention  de faire de remarques déplacées, ça veut dire que c'est moi le gros porc quand même. On fonce à une vitesse assez folle, j'entends l'un des disciple de la disciple en train de s'éclater comme un enfant. Faut dire que les sensations sont au rendez-vous. Par contre bob il kiffe pas trop. Je tiens à signaler qu'il a gerbé sur le dos de l'autre disciple de la disciple.

Au terme d'à peu près une demi-heure de glissade. Bah ouais, c'était long. j'ai meêm finis par m'endormir vers la fin, on arrive dans une sorte de piscine faite de bois etd e l'étrange sève qui nous permettait de glisser aussi facilement. On est dans une sorte de grande pièce, éclairée par la photoluminescence naturelle du bis à certains endroits et de cette étrange sève qui prend des reflets lumineux dorés.

- C'est donc ça le cœur de la montagne! ça a de la gueule !
- Qu'est ce qui te fait dire que c'est le cœur de la montagne ?
- C'est écrit là !

Je pointe du doigt un panneau sur lequel est indiqué "bienvenue au cœur de la montagne." Devant nous se dresse une espèce d'énorme sarcophage de bois. De bois tellement ancien qu'il semble s'être fossilisé. je tapote dessus, ça semble plus dure que du granite ou du marbre. Je ne doute pas in seul instant que la dépouille de la première chimère se trouve là dedans et avec elle, sa mémoire. Enfin, c'est comme ça que je m'imagine la chose personnellement. Mais franchement, je vois pas trop le moyen de de l'ouvrir. Je cherche une sorte de passage secret;, de fissure mais pas moyen. j'ose pas trop demander à diavolo d'essayer de cogner dedans car je me rends compte que cet espèce de sarcophage n'est autre qu'une sorte de racine qui monte vers les hauteur. Je me demande si cette foutu montagne repose pas intégralement sur ce point. Genre demander à Diavolo de cogner dessus, ce serait comme passer un coup de bulldozer dans les murs porteurs de la chapelle Sixtine quoi.
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeSam 6 Mai - 13:45

Bon, dans l’histoire, je trouve que je m’en tire plutôt bien. J’veux dire, de sacrifié à sauvé par Carmouille, traîné par la peau du col de chemise de j’sais pas quoi je me fais tirer en mode rien à foutre du délire des encapuchonnés. Pendant qu’il me poursuive et que je reste traîné sur le sol, je fais l’hélicoptère avec Popol Mayor en leur tirant la langue et en faisant des doigts d’honneur de l’autre main, comme un vrai Seigneur quoi. Je note aussi qu’on a volontairement saboté mon intrigue de fou imprévisible que je ne savais pas où elle irait. J’dis rien comme ça, mais on les retrouvera, ces mecs complètement esquintés du bulbe et du couteau. Au final je me laisse conduire parce que je sens qu’à la prochaine escapade le groupe va pas m’attendre et va continuer la course à la chimère sans moi. Or, je le dis comme j’le pense les mioches, le mec qui sèmera Diavoloche dans le cul d’un arbre n’est pas encore né, ou alors il est bébé et dans ce cas faut lui changer sa couche, lui donner le sein et le foutre au congélateur s’il la ramène de trop. Déjà un connard ce mec ! J’y crois pas, merde !


A peine sortis d’un bordel qu’on reprend un toboggan. C’est plus un arbre impossible à fracturer, c’est un parc pour enfants avec des créatures mythologiques complètement frappées cet endroit. Non sérieusement, qui dirige la narration et l’histoire ici ? Quoi ? On est tous responsables ? Putain d’anarchistes, vous allez fermer vos gueules, et on va exécuter un mec au pif. Genre TOI ! Merde c’était un rocher qui me regardait juste super mal. Bon...tant pis, on se laisse porter par le courant naturel de la loi d’inertie de merde, et je commence à vriller en toupie sur le toboggan, dans l’espoir de collé-serré la petite Yuna, la Disciple de mon KOEUR. J’arrive en mode beyblade sur sa gueule et elle réussit à foutre un de ses disciples entre nous, du genre azy parle à ma main wesh. Connasse.


Finalement je me retrouve à glisser comme un pingouin derrière Carvioche, qui me mate en mode « oui, non, peut-être », hyper chelou ce gars, mais ça vous commencez à le savoir. Je vais lui rappeler que sa semence a été vendue aux Walkyries qui doivent crécher plus haut. Au pire, comme on est potes, je dois dire que je peux bien le remplacer. J’sens comme des lourdeurs de mon entrejambe en ce moment, je croyais qu’il restait encore un vagin artificiel moulé à partir d’Athia et créé par Carvey ze connaisseur, mais en fait non, c’est juste Popol qui prend du poids. Bientôt je vais demander à des putes de le porter comme une traîne de mariée tu sais, avec la musique, les parents, un curé décapité maison, le gros gros fun. Ce que j’aime pas dans l’histoire de ce toboggan, c’est qu’on prend une vitesse de dingue, et je commence à percuter que la réception va faire bobo. Moi j’dis ça, c’est pour le petit boule fragile de Carvey, il est pas prêt à recevoir Popol comme un invité de marque, si vous voyez ce que je vois. La surface devient vraiment chelou, bois mou, de la sève...chez moi on appelle ça un cul, et quand on descend dans un cul, généralement y’a pas trente-six sorties. Certains appellent ça l’anatomie, moi j’appelle ça un lavement personnalisé, voyez ? Bon, le tout dans l’histoire, c’est que je me mange les odeurs du vomi de Bob, les rires des disciples qui se croient à la fête foraine, Carvey qui me mate l’air de rien, et la Disciple qui fait des trucs de Disciple. Du coup je me mets à me pignoler, histoire de tester la sève, et avec du bol le divin liquide ira directement sur la gueule de la Disciple, en pleine descente !


Alors vous allez ou pas me croire ou pas, mais en une demi-heure, j’ai pas fini mon affaire. J’sais pas, le côté enfermé, la vitesse, Carvey et Bob en manga zoophile yaoï ou furry, ce que vous voulez, mais ça m’a bloqué. J’ai trop pensé aux Walkyries, dans le genre castratrices ça se pose. Bref, on est arrivé au panneau « cœur de la montagne », ce qui est sûrement l’endroit où on devait arriver – j’dis ça parce que je ne me souviens plus trop de la mission de base, à force. Je visite un peu l’endroit, et je vois comme Carvioche le sarcophage en bois, la sève qui éclaire et tout. C’est chiadé, y’a pas à tortiller du fion, ils savent mettent les formes dans le coin. Maintenant, y’a une question que je me pose, et que j’aurais dû me poser depuis le début en fait. Je me tourne vers Yuna la Disciple et je me concentre pour avoir l’air d’avoir quelque chose à en foutre.



- Dis-moi poupée, on a trouvé ta chimère, maintenant comment tu comptes choper sa mémoire. J’veux dire, le truc est camé depuis choucroute, alors c’est quoi le tour de magie ?
- Je suis une Disciple de Memento, ne t’en fais pas pour ça. Votre mission touche à sa fin, concentre-toi là-dessus.
- En vrai poupée, je me suis bien marré...j’espère que tu trouveras ce que tu cherches là-dedans.
- C’est pas encore fait, je ne sais pas comment ouvrir ce truc.
- Je m’en occupe, bouge ton popotin avant que je le claque.
- Tsss…



Je m’approche de ce qui semble être une racine qui monte, et qui tient de l’arbre. J’sais pas, mais vu la gueule des autres ça a l’air important comme machin. Je concentre ma force dans mes pieds et je saute donner un dropkick à une partie de la racine en hauteur. Un temps de silence, puis une sorte de tremblement de terre, au loin. Une grande secousse qui semble remuer tout ce qu’il y autour de nous, mais pas nous. Je lève l’index et le majeur en signe de victoire, quand une voix retentit. Elle vient du bois, et pas du sarcophage. Mécanisme de défense ? Bien hystérique en tout cas.



- QUI OSE TROUBLER LE SOMMEIL ÉTERNEL DE LA PREMIÈRE CHIMÈRE ?
- Ta gueule wesh.
- ENVOYEZ LES RACINES ANTI-INTRUSIONS !
- Mais putain...HEY YUNA ! TU T’OCCUPES DE LA MÉMOIRE, ET JE GÈRE LE FIGHT ! GO GO GO !
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeSam 6 Mai - 19:56

Je vais passer sous silence les méfaits de Diavolo qu'a cru pouvoir se servir de mon dos comme serviette à foutre. Nan mais vraiment il a aucun respect ce type. J'sais pas moi ! Un minimum de sympathie. Faire ça à un inconnu ok mais pas à un pote merde ! Bon et puis naturelle, il lui est venu tout seul l'idée de foutre un gros kick dans le machin qui fait des trucs. Je me tape le front avec la paume de ma main quand j'entends l'arbre se mettre à se défendre contre cette ignoble agression. Par ce que son coup a en partie fissuré le sarcophage, juste ce qu'il fallait pour que la disciple puisse commencer son rituel d'extraction de va mémoire de la bête. Pendant ce temps, moi j'vais me toucher la nouille et attendre gentiment que tout ça soit finit. Du moins, c’est ce que j'aurais aimé qu'il se produise mais ma destinée en avait voulu autrement. Parfois c’est lourd à porter d'avoir un destin. A peu près aussi lourd que l'ego de Diavolo en ce moment. Et dieu sait qu'il est balèze son ego. C'est du bon gros ego de compet' ! Du genre pure race en plus avec le poil lustré et la truffe au vent et même qu'on peut gagner des concours d'ego avec un ego comme ça. C'est vous dire à quel point c'est du lourd, bref, à quel pont avoir un destin c'est compliqué. On se demande comment ils font tous ces perso qui roxxent tout sur leur passage sans le moindre effort et tous ces héros de shonen pour porter leur destinée avec tant de facilité. Je ne donnerait pas de nom, ça risquerait de barder pour mon cul si je le faisais. Bref, moi aussi j'étais dans ce joyeux merdier et alors que la disciple commence à sortir d'une sacoche du matériel dont des vitali auxquels diav' et moi avions déjà eu affaire elle semblait brancher les vitavi sune une espèce de seringue. Bref, il fallait la protéger pendant qu'elle prélevait va mémoire de la première chimère. Je regarde Bob juste à côté de moi, je pointe du doigt les racines qui commencent à attaquer en gueulant :

- Bob ! Attaque morsure !

Ça ne semble pas très efficace. Hmmm changement de tactique.

- Bien ! Alors Bob, Attaque grignote !

C'est très efficace ! Ahah ! Je savais que les attaques de type rongeur fonctionneraient bien sur des végétaux ! Bref, bob était en train de coller de bons coups de dents dans les racines et mine de rien, ça faisait du dégât. Je crois que je commence à piger pourquoi les marins du hollandais volant avaient peur de Bob, quand il s'attaque à du bois, ça devient une vrais terreur. Le Attila du bois. Là où il passe, le bois ne repousse pas. Pendant ce temps, les deux bizuts de la disciple l'aidaient en suivant ses instructions du mieux qu'ils pouvaient. Diav' lui se la jouait en mode désherbage à l'arrachée tandis que moi... bah je restais près de la disciple pour la protéger vu que Diavolo semblait plus vouloir torcher de la fougère que de vraiment suivre sa mission qui était de protéger la madame. Et je fais bien par ce que des lianes un peu plus petites arrivent à passer à côté de l'attention de Diavolo qui fait un magnifique travail de jardinage en s'occupant d'arracher à coup de dents d'énormes morceaux de bois au moins aussi gros que des troncs. Sa dentition n'a rien à envier à celle de Bob. Je crois que je verrai plus jamais le sourire carnassier de Diav' de la meêm façon après l'avoir vu arracher ces énormes morceaux e bois à coup de dents. Mais bref, de petites lianes tentent de venir attaquer la disciple. Je sors alors mon épée des esprits, quelque chose me dit que ça va servir à quelque chose. Et en effet, mes coups traversent les lianes sans leur faire le moindre dégâts normale, elles sont matériels et la lame des esprits ne peut atteindre que ce qui est intangible. Mais comme elles sont animées par de la magie, elles cessent de se mouvoir après avoir été tranchées par ma lame. Je peux donc assez efficacement défendre la disciple.

Je finis par me tourner pour regarder où ils en sont dans leur processus. J'arrive pas vraiment à le déterminer. Ils pourraient pas faire comme dans les jeux vidéo et avoir une barre de chargement au dessus de la tête pour signaler leur progression ces cons là ?! Mauvaise idée de perdre ma concentration par ce qu'une liane m’enserre alors va cheville avant de commencer à me projeter de toute sa force contre le sol à plusieurs reprises. Autant vous dire que ça me calme un bon coup. J'arrive à coller un coup de sabre dans la liane in extremis. Elle me lâche alors et je tombe à terre, quelque peu sonné. Je reprends mes esprits pour me rendre compte que la disciple est sur le point de se faire attaquer par une énorme branche mouvante. Elle est trop concentrée pour voir l'agression venir.
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeSam 13 Mai - 9:39

Les copines, maintenant qu’on est entre nous je peux vous le dire, j’crois que Carvey c’est un putain d’escroc. Le mec fait attaquer son lapin comme les gamins que je martyrise certaines nuits dans l’ancien royaume de pokéland. Il a fermé parce que c’était devenu le rendez des pédophiles en mini-short dans les hautes herbes, et je dois avouer que j’avais rejoint le club une ou deux fois, juste pour  rencontrer un gardevoir et m’en servir comme curiosité sexuelle. Bah là pareil, j’ai  l’impression de voir un vieux sortir son pokédébile pour combattre à sa place et en tirer toute la gloire parce que l’animal n’a pas les bons fils connectés aux bons endroits. Et là j’me sens comme Bardot à poil dans les seuls vrais films qui vaillent le coup. Halte au massacre des phoques et des tarlouzes, putain, laissez les animaux tranquilles. Si tout le monde faisait comme moi avec ses Ducmonts, le monde irait mieux, c’est une certitude.


Bon, dans l’histoire je me mets à bouffer de l’herbe comme un végétarien mal nourri. Je taille dans le vif avec les dents, j’arrache des touffes, je casse des lianes en deux. On dirait un jardin qui se rebelle contre un jardinier qui en aurait rien à foutre. Mais ça commence partir en vrille, des fantômes ou des trucs boisés avec des allures boisées déboulent de partout. Ça sent la fermentation et l’humidité, et ils s’ajoutent au bordel végétal sans doute pour défendre la chimère attaquée par la Disciple. Je resserre les rangs et je gueule à Carvey de rester auprès de Yuna, histoire qu’elle ne prenne pas de mauvais coups comme la branche que j’ai défoncée avant qu’elle ne défonce notre escortée-kawai-girl. Tout à coup, je sens une aura émaner du plafond, et je vois un énorme monstre apparaître, les neuf têtes d’abord, le reste du corps ensuite, prendre corps et se placer au dessus du sarcophage. Putain de sa mère la pute, l’hydre que j’ai frittée, avec des têtes reviendues et l’air encore plus badass que tout à l’heure. J’dis ça parce qu’une tripotée de créatures mythopaslogiques se tiennent sur elles ou apparaissent. Je sens également un trait de fumerolles qui lient le sarcophage à toutes ces créatures, et je capte avec mon intelligence supérieure plus forte qu’un chef d’entreprise de cirque que la mémoire de la première chimère est si forte qu’elle amène les fantômes de Myriade. On ne meurt jamais vraiment quand on vit à proximité de la première chimère, et c’était sans doute valable pour tout le royaume. De quoi pas me faire réfléchir, je retourne combattre l’hydre, en gueulant des ordres aux disciples.



- Tirez-vous les doigts du fion, sinon on va tous y passer ! Jim Carvey, essaie de voir si t’as pas un truc pour couper la fumée entre le cercueil et les créatures, c’est lié ! La chimère se défend contre ses agresseurs. Je m’occupe du tas de monstres, mais j’ai besoin que ça bosse derrière ! Yuna, je suis là pour défendre ton petit cul, alors crie mon nom salope !



La Disciple lève les yeux dépités mais concentrés sur moi et commence à dévisser le Vitali pour choper la mémoire qui nous met la tête dans les chiottes divines. Elle pousse un soupir, prend sa respiration et hurle dans la caverne, se joignant aux cris lugubres des créatures tout autour de nous.


- DIAVOLOOOOOOO !
- Putain que c’est bon !



Je bondis sur l’hydre et le combat avec toutes les créatures rentrent dans mon top cinquante des meilleurs combats de ma vie. Y’en a partout, je suis successivement entouré, relâché, tailladé, frappé, happé, dominant et dominé. Je sors mon épée planquée dans MC Bokken en taillant en tournant sur Diavolo-moi-même dans le vif. Je hurle en riant aux éclats tandis que les monstres me charcutent en mode pas contents pas contents ! Mc Bokky dans une main, Fatality ma fidèle épée dans l’autre, je mets toute mon ambidextrie au service du carnage. Vous allez me dire, comment on peut frapper des fantoches avec des armes basiques ? Je crois que c’est dû avant tout à mon talent, et au fait que la chimère a des pouvoirs insoupçonnés. Je remarque que les créatures, en apparaissant au fur et à mesure, prennent corps, chair et forme au sein de l’endroit, et apparaissent de plus en plus dans la réalité, parfois juste pour se faire découper ou fracasser. Je comprends que le temps et le souvenir là-dedans ont des rôles majeurs, mais j’ai pas vraiment le temps d’approfondir le sujet. Je commence à être débordé, et surtout, je ressens en me concentrant sur la centaine de créatures autour de moi une aura beaucoup plus forte que les autres. Non, attendez, je me suis complètement planté. Elle n’est pas plus forte que les autres, elle EST les autres. Toutes les créatures, et surtout l’hydre aux repousses infinies parlent en même temps, d’une même voix qui semble venir du fond des âges.



- VOUS AVEZ DÉRANGÉ LE SOMMEIL DE LA CHIMÈRE DES PREMIERS TEEEEEMPS ! JAMAIS VOUS N’OBTIENDREZ MA MÉMOIRE ! VOUS PÉRIREZ SOUS LES ASSAUTS DES MYTHES RASSEMBLES ! VENEZ A MOI, LES HARPIES DE L’OMBRE !



L’hydre se disloque et une vingtaine de harpies puant le pouvoir obscur apparaissent dans les airs. Je leur fais face, je taille encore quelques créatures pour les faire reculer, et au moment où elles me foncent dessus, reliées elles aussi au sarcophage, je vois Yuna enfoncer le Vitali et le bousin commence à se remplir.



- C’est pas le moment de flancheeeeeee raaaah ! HAMRAMMRRRRRR !


Je pousse un hurlement de fou furieux trop stylé tu vois, et les harpies se stoppent, effrayé par l’animal bestial sauvage qu’elles ont vu. Ouais, c’était mon aura de guerrier trop royal pour vous, les putes. Je fonce sur elles en chargeant avec la forme de Loup. Les autres créatures se jettent sur moi, forment une montagne sur mon corps de mannequin, et je projette tous les corps dans les airs, d’un coup de bokken majestueux et trop classe. Je saute dans les airs en faisant jouer Fatality pour couper les ailes des bestioles, mais le pouvoir obscur me renvoie dans mes cordes. Putain de merde, manquait plus que ces connasses. Je hurle de nouveau, j’ai l’impression que le sang devient ma seconde peau, j’suis au bord de l’évanouissement, et j’adore ce putain de moment.



- Tu penses pouvoir me niquer, connasse de chimère de morte de merde ? JE SUIS DIAVOLO MAYOR, SEIGNEUR DE LA GUERRE  TERREUR DES VIVANTS ! Tu peux ramener autant de créatures enterrées que tu veux, tu seras jamais aussi forte que mon frangin Sento ! J’ai vécu des batailles qui dépassent ta mythologie, et ma légende dépassera toutes celles que tu as pu connaître ! AU NOM DES MAYOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOORS !!!!!! 



Je charge les harpies qui commencent à se demander à qui elles ont affaire. TROP TARD.
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeSam 13 Mai - 19:52

Je me frotte le museau qui pisse le sang. Je rappelle que je me suis mangé à 3-4 reprises le sol de cette caverne boiseuse, qui ressemble plus à de va pierre qu'à du bois faut bien se l'avouer, à plusieurs reprises. Je regarde du coin de l’œil Diavolo qu'est juste complètement déchaîné comme... bah comme un Mayor tiens ! Je me demande vraiment comment des types font pour se fritter autant et aussi fort sans se fatiguer. Pire ! Je me demande comment ils y trouvent du plaisir ces cons-là ! Très sincèrement je pigerai jamais ce pauvre vieux Diav'. Je tangue en direction de la disciple et tranche d'un coup net une branche qui tombe à terre, une branche qui était sur le point de l'attaquer. J'ai les oreilles qui sifflent. Diavolo me gueule de trouver un moyen de me débarrasser d'un truc. Je pige pas trop de quoi il me cause. J'ai pas trop les idées en place à vrais dire. Puis t'as la disciple commence à couiner le nom du prince de la guerre comme une chatte en chaleur, ça semble redonner de la vigueur au mâle alpha qu'est Diavolo. C'est un peu dégueu' mais soit. Au pire c'est pas comme si cette aventure avait le moindre sens. Je regarde le sarcophage de pierre et je crois que je vois de quoi me parlait Diavolo. En effet, faut pas être un génie kantien quantique pour se rendre compte qu'y a de la sauce au foi dans mon pâté d'couille d'ours. En effet, on se rend vite compte que toutes les autres bestioles qui débarquent en plus des fougères radiatives carnivores, sont liées au cœur de la montagne et donc à la première chimère que si j'avais plus d'imagination, j'dirai qu'on la voit mais comme j'ai pas envie de me mouiller je vais dire qu'on la voit pas vraiment. Une sorte de fumée spectrale partait de ce machin mortuaire et allait alimenter d'étranges spectres d'animaux mythiques décédés depuis plus ou moins longtemps. Diavolo était surmené mais tout aussi survolté. Je crois qu'il n'aime rien autant qu'une bataille à un contre 1000. Je devais donc m'occuper de couper le lien. Ça tombe bien, j'ai pile l'arme qu'il me faut pour ce genre de choses.

Je fonce donc vers l'aura qui alimente les spectres mythiques mais me retrouve vite interrompu dans ma tentative de trancher ce lien par de nouvelles lianes qui popent au pif. Et c'est là qu'on put entendre va voix de va première chimère raisonner en chacune des créatures réanimées. Elle a l'air un peu vénèr. En même temps je la comprends. Si elle reste ici c’est mémoire, c'est peut être qu'elle s'y sent bien pépouze nan. Enfin, je savais pas qu'une mémoire ça avait une conscience à vrais dire. Du coup, je la comprends un peu. Je préférerais aussi être dans mon habitant naturel que de finir dans une énorme bibliothèque à mémoires. Mais là n'est pas va question. Nous, on doit faire en sorte à ce qu'elle finisse dans un putain de musée cette mémoire. Donc comme dit l'autre là, on va se sortir les doigts du fondement et aller en profondeur dans le sujet. Hum... cette phrase a un sens contradictoire !

Je dois me tailler une route dans ce merdier. Je secoue la tête pour me remettre les idées en place. Je siffle bob qui arrive à grande vitesse. Je saute sur son dos et me met à charger vers le cœur. Il faut que je fasse vite par ce que Diavolo en chie. Ça se voit par ce qu'il a l'air content et surtout qu'il a sorti un sabre planqué dans son boken qui n'est donc en réalité qu'un sabre dans un fourreau de bois. Comment j'ai pas remarqué ça avant ? Passons ! À dos de Bob, je gagne en célétité de mouvement. Je suis assez bon cavalier, ça fait qu'en combat à dos de lapin, je me démerde pas trop mal. Je taillade plusieurs lianes, fait négocier à Bob un virage bien sec pour esquiver les crocs d'un énorme lion spectral. Je frappe le dit lion qui disparaît alios. Plusieurs bêtes plus petites se mettent à ma poursuite, j'arrive à les semer avec bob en tournant un peu avant de les charger à toute vitesse. C'est épuisant. Ça demande une grande concentration de manœuvrer une monture tout en combattant. On a pas des mouvements aussi fins qu'on le voudrait, faut arriver à gérer ça et aussi comprendre les limites de sa monture. A force de mouliner dans le tas avec mon sabre, ma blessure d'un peu plus tôt dans la nuit s'est un peu rouverte. Ça pisse le sang. Je tire ma pipe de ma poche pour souffler sur va plaire du tabac antiseptique mais je me fais désarçonner par une liane de la taille d'un tronc. Bob me défend alors d'une nouvelle charge de la plante. J'ai une ouverture. Je me relève et je lance mon sabre au niveau du lien qui unis les spectres au cœur de la montagne. Le lien d'énergie se tranche et les spectres disparaissent tous d'un coup. Je tombe à terre, emporté par l'élan de mon geste et va fatigue. Je me retourne pour voir où en est va disciple. J'espère qu'elle a bientôt finit.
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeMar 20 Juin - 19:45

Je suis au bout du bout du bout du bout de ma vie les potes. J’dis ça comme ça, pasque j’ai l’impression que le temps traîne pour cte mémoire de merde, qui n’arrête pas de gueuler un truc de fou. Mais merde, j’suis le seul ici à pouvoir lui défoncer sa gueule ou quoi ? Non, merci Jimmy, merci ma caille, merci de venir sauver la situation de ton pote qui est en train de se faire hacher menu par les bestioles de mierda. Elles finissent par disparaître d’un coup de baguette magique, en lien avec la chimère. Jim Carvoche a réussi son coup et la disciple est sur la fin avec l’extraction. Perfecto putain !



- J’aime qu’un plan se déroule sans accrocs !



Disant cela, je m’écroule littéralement comme une loque couverte de sangs, d’intestins, de bouts de trucs de cervelles de membres qui partent rapidement en fumée. Que d’la gueule ces monstres, j’te jure. Coriaces mais grandes gueules. On dirait moi en fantoche. Je m’avance un peu vers la disciple et Carvey qui reprend ses esprits, mais je tombe directement au sol. Mes genoux ne me portent plus, mes jambes sont trop affaiblies, j’ai mal partout et je ne tiens plus le choc. C’est un peu le défaut avec nous, les Mayors, déjà on est trop beau gosse pour garder une femme, et ensuite on donne tout en combat, et après faut plus rien nous demander, on se casse directos à la buvette ou faire ronpiche. Surtout après une fight contre Sento. J’ai déjà dormi une semaine entière, et lui deux. Il suce en énergie le frérot faut dire. Je me relève difficilement, je tente de m’appuyer sur mes coudes, mais rien n’y fait, je tombe au sol. Les disciples de la Disciple viennent m’aider, mais j’suis un peu trop lourd pour eux. Je tombe et je n’arrive pas à me relever. Je tape des poings contre le sol. Je tape encore et encore de ma faiblesse, affichée en public. Je déteste ça putain, je déteste quand mon corps se bloque et que plus rien ne répond ! C’est pas du Mayor ça ! C’est rien du tout ! C’était la même chose face à Sento...on se mettait sur la tronche jusqu’à ce que je tombe le premier, incapable de bouger. Et le frangin me mettait KO d’un coup de pied dans le pif. Merci au revoir. C’est exactement pareil là, dans cte cave, alors que la Disciple a sa putain de mémoire, et plus que tout je ne supporterai pas le regard de Carvey. La pitié. La compréhension. La connaissance de cette vision, son souvenir, son rappel. Je frappe le sol. La Disciple se rapproche. Elle va déconner. C'est le genre à déconner. Dire les mots qui blessent pour guérir. Elle va déconner. J'vais la tuer, j'en suis sûr.



- Relève-toi putain ! Relève-toi Diavolo ! RELÈVE-toi connard ! PUTAIN DE CONNARD LÈVE TOI …. !! RAAAAAAH ! J’AI PAS BESOIN D’AIDE ! J’AI BESOIN DE PERSONNE ! Relève-toi putain Diavolo...Relève-toi…
- Diavolo, ne forcez pas, on va vous aider !
- J'ai pas besoin d'aide. L'escorte c'est moi et le marchand. Toi tu la boucles.
- Vous ne sortirez pas d'ici tout seul ! Est-ce que vous croyez un seul instant dans les gens qui vous entourent !?
- Les gens qui m'entourent ? Des profiteurs, des flatteurs, des escrocs qui parlent de mon père, de mes frères ! Des vantards, des larbins et des putes ! Je me suis toujours débrouillé tout seul, Disciple ! Et ça continuera ! Je suis Diavolo Mayor !
- Même le Seigneur Obscur est aidé...
- Je lui coupe la tête et je lui chie dans le cou, au Seigneur Obscur !
- Je vous plains. Un jour vous comprendrez qu'on est rien sans les autres. Vous m'avez aidée ici...et vous refusez qu'on vous rende la pareille...Vous avez un problème, mais vous n'êtes pas seul.
- Ta gueule putain...on n'est pas là pour parler de mon passé foireux, connasse. Maintenant que tu as ta mémoire tu la boucles. J'ai pas besoin d'aide. Ou alors tu te transformes en bière. Connasse. Recule ou je t'ouvre en deux et je te transforme en tapis de bain...



Je prends Fatality et je me l’enfonce dans la jambe un bon coup. Je faisais ça quand j’étais gamin, faites pas ces tronches les puçaxxx. Je hurle un bon coup pour évacuer la haine envers ma personne, et je tiens la lame dans ma cuisse, fermement. La rangeant dans MC Bokken, je m’appuie sur mon bon vieux rappeur pour revenir sur mes deux jambes. Flageolantes. Hésitantes. Salopes. Je titube, je vire Yuna qui me prend par l’épaule sans rien dire, le regard pincé. Je la jarte violemment au sol, quitte à la blesser sérieusement.  Je regarde Carvey avec un air de haine et de défi. Ouais, j’aime définitivement pas le fait qu’il puisse voir mes faiblesses. C’est un causeur, c’est un bavard. Je m’appuie de toutes mes forces contre un mur, et le voilà qui bascule. Je plonge à la renverse vers l’inconnu, et ma tête rebondissant sur une pente obscure, je perds connaissance aussi rapidement. Tout ce que j’ai capté avant de tomber, c’est que j’allais vers le bas. Et je sentais des courants d’air. La sortie ? On verra ça si je me réveille.
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MessageSujet: Re: Des dieux et des hommes [PV Carvey]   Des dieux et des hommes [PV Carvey] I_icon_minitimeSam 24 Juin - 18:23

Mon coup ayant porté in extremis venait enfin de mettre fin à ce calvaire interminable qu'est ce RP... Euh cette bataille ! Désolé ! Lapsus révélateur faut croire. Les défenses de la première chimèrent furent brisées et nous lâchèrent la grappe juste assez longtemps pour que la disciple qu'a pas de nom pour moi mais qu'en a un pour Diavolo puisse  finir l'extraction de cette mémoire ce qui avait définitivement privé cette foutue momie dégueulasse de toute conscience et capacité de se défendre. J'étais déjà à terre mais je soufflais un grand coup de soulagement que ce soit finit avant de tenter de me relever en m'appuyant sur mes mains pour le faire avant d'aller chercher mon sabre qui était à terre puis d'aller voir Bob et l'aider à se libérer de racines qui le retenaient toujours bien qu'elles soient inanimées. C'est à ce moment que j'entendis la colère de Diavolo contre lui même exploser. Il se mit à beugler des conneries en repoussant la disciples. Il semblait être blessé dans sa fierté de finir un combat dans un tel état. C'est vrais que je l'avais jamais vu comme ça. Mais bon, faut dire que je le connais pas forcément depuis 15 000 ans non plus. Il était en train de sévèrement monter dans les tours et envoyer chier plutôt violemment la disciple. Je regardais Diavolo avec un fond de pitié. Pas de pitié de me dire qu'il était un faible d'être dans cet état. Disons plutôt de la pitié de le voir se mettre dans cet état d'hystérie pour une conenrie comme ça. Bah ouais. C'est peut être con à dire mais l'image de Diavolo que je me fais, c'est un roque, un truc qu'on peut pas briser. Un peu comme son grand frère avec son air impassible et imperturbable. J'avais l'impression que Diavolo est ce type qui contre tout Dreamland se laissera jamais emporté par ce genre de sentiments. C'est un peu ce qui faisait mon respect pour lui. Ce côté absolutiste dans ce qu'il fait. Et là, c'est comme si je le voyais tomber de ce piédestal et tomber dans les profondeurs de la médiocrité. Il me regarde avec une certaine haine quand il se rend compte que je le regarde. Le tout avant de tomber dans les pommes. La disciple tente de s'occuper de lui mais je la repousse en lui disant que je vais le faire.

- Laisses ! Je m'occupe de lui.

Je me baisse pour observer ses blessures. Je leur fais le même traitement qu'à la mienne. Un peu de tabac qui va venir désinfecter les plaies et arrêter le sang de couler avant de le bander histoire d'être certain que ça se rouvre pas. J'ai même dû recoudre certaines blessures trop profondes. Je lai ensuite posé sur le dos de Bob avant de signaler aux trois que je devais à présent protéger seul vers le chemin de la sortie. Je sais pas trop si j'y arriverai seul franchement. Ça vaudrait peut être le coup d'attendre que Diavolo se réveille et se sente mieux. Hmouais j'pense pas. M'est avis qu'il sera d'une humeur vraiment massacrante au réveil et qu'il voudra surtout pas voir ma gueule ni celle de personne en fait. Le mieux, c'est de vite rentrer en essayant d'éviter tous les dangers.

On commence alors notre chemin de retour avec la disciple qui surveille e près le Vitali rempli de la mémoire de la chimère. Je me demande ce qu'il y a dedans. Je me demande ce qu'a pu voir et vivre une bestiole aussi vieille. Mais elle m'explique que la mémoire est encore instable car contient toute la mémoire d'une créature et qu'une fois de retour à memento, ils devront la partitionner, c'est à dire la couper en plusieurs parties et la séparer dans plusieurs vitali pour qu'elle soit plus stable. Je remarquais en effet que le vitali était beaucoup plus gros que les autres. Mais bon, tout ça, ça importe assez peu. En fait, ce qu'il faut noter, c'est surtout que pour sortir, c'est super simple. Suffit de suivre les panneaux. En effet, des panneaux sortie avaient étés disposés par on ne sait qui ou quoi. On arriva à sortir super facilement de cette foutu montagne en empruntant un chemin escarpé, épuisant que j'avais du mal à suivre à cause de mon état de fatigue mais pas dangereux pour deux sous.  Je crois que le pire, c'est qu'une fois sortis, on se rend compte que la sortie, c'est juste à côté d’Olympie. Si on avait su pour ce chemin, on serait arrivé juste en deux secondes et sans le moindre encombre. Mais bon, c'est ça l'aventure. On est pas là pour faire un pique-nique. Bon après on est pas non plus là pour souffrir ok ?! Le must c'est d'arriver à trouver le juste milieu. Arrivé à Olympie, j'ai une petite conversation avec la disciple après avoir posé Diavolo dans l’hôtel où la disciple et ses propres disciples avaient une suite.

- Merci de nous avoir aidé. Sans vous... rien de tout ça n'aurait été possible.
- Oh c'est rien. C'est Diavolo qui a fait le plus gros.
- Je ne suis pas d'accord. Comment est ce qu'on peut vous récompenser ?
- Oh j'ai pas besoin. Le vieux m'a déjà bien aidé. Puis votre amitié me suffit.
- Vous êtes certain ?
- Oui... ça et puis le fait que je puisse avoir accès aux mémoires quand je veux.
- Évidemment ! Comme tout le monde vous pouvez disposer des mémoires comme vous le voulez.
- Bien. Je vais vous laissez alors. J'aimerais quitter le royaume avant de me faire poursuivre par une horde de valkyries. Et avant que Diavolo se réveille.
- Mais vous...
- Nan ça va le faire vous en faites pas. J'ai le feeling qu'il a pas trop envie de voir ma gueule au levé.


Je me retenais donc de monter au dos de Bob qui tait à peu près aussi crevé que moi par ce voyage. Je commence à m'en aller quand je m'arrête pour dire une dernière chose à la disciple qui s'était elle aussi retournée pour s'en retourner auprès de Diavolo et de ses disciples.

- Ah et... n'oubliez pas de rappeler à la reine que je vous ai aidé à mâter la dissidence dans son royaume hein !
- Je n'y manquerai pas.

Je lui adresse un grand sourire avant de me diriger vers les griffons qui me porteront vers la sortie de ce royaume comme j'y ai été porté pour venir. Je regarde les cieux d'un air songeur. Je pense à la célestiafest à venir. Eh oui je rappelle que cette aventure se passe avant la célestiafest. C'est dire à quel point ça date putain de merde ! Je m'endors avec bob tandis qu'on se fait transporter par un griffon pour regagner la terre vraiment ferme. Non par que cette montagne soit pas de la terre ferme. Mais disons que c'est pas vraiment le plancher des vaches non plus quoi.
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