Le village contre attaque ! [pv Kala Kourou]

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Le jeune étudiant s'endormi dans la chambre d'ami en compagnie de Raf. Il se trouvait toujours chez Shaun et forcément vous qu'il pensait a la journée de demain qu'ils allaient passer dans le parc naturel de Wooroonooran, il se retrouva dans un endroit de Dreamland très forestier. Plus connu sous le nom de Champiland, pour les connaisseurs de Dreamland, Aaron lui lui donna un autre nom lorsqu'il vit tous ses champignons géants d'ailleurs certains servait de maison aux diverses créatures dreamlandiennes de la zone. Vous allez me dire qu'il aurait pu penser aux célèbres Schtroumpfs mais non ! C'est belge donc il ne risquait pas de connaître. Bref avec un regard ébahi, Aaron regarda tout autour de lui.

- What the... !? On est au village Mushroom ou quoi ? Ou sont les Toad ? Et Mario !

Oui, vous avez bien entendu ce que ce boulet d'Aaron vient de dire... Il continua alors son exploration en restant à l'affût pour espérer tomber sur le célèbre plombier. Il mit ses lunettes de soleil sur son front. L'australien fouilla dans tous les recoins de la zone et se mit même à rentrer dans les maisons sans même demander l'autorisation aux gens. Le blondinet savait qu'il était dans Dreamland mais il était tellement dans son truc qu'il commença à faire des bêtises. Le voyageur se croyait un peu dans un jeu vidéo et il jeta des pots par terre dans la maison mais quel fut sa déception lorsqu'il remarqua qu'il y avait aucun rubis... Et surtout quelle colère cela a provoqué chez les habitants. Il finit par arriver dans une maison champignon plus imposante que les autres ou se trouvait une créature tout aussi imposante. C'était une sorte de nain croise avec un gobelin, mais fait assez remarquable pour être mentionner. Il avait une moustache. Aaron le regarda d'un air perplexe. La créature de même puis elle se présenta.

- It's me Mario ! Bonjour jeune voyageur que me veux-tu ?
- euh... Vous n’êtes pas Mario... Enfin je veux dire que le vrai Mario... Et bah... Euh... Comment dire... Il ne ressemble pas à ça !
- What did you expect ? Jeune voyageur !
- Non c'est impossible vous n’êtes pas Mario le plombier ! C'est faux !
- euh je n’ai jamais dit que j'étais plombier... Je suis juste le gardien du village moi !

Aaron n'avait pas compris qu'il était tombe sur un autre Mario qui n'avait rien mais alors vraiment rien a voir avec la mascotte de Nintendo... En dehors du prénom bien sûr ! L'étudiant en biologie paru déçu lorsqu'il comprit la situation. Cependant il n'eu pas trop le temps de s'apitoyer sur son erreur car soudain la porte s'ouvrit dans un grand éclat et la moitié du village entrèrent dans la pièce centrale. Ils se mirent à tous crier en cœur :

- Mario ! Mario ! Un voyageur a saccage toutes les maisons ! Il a cassé plein de pots !

C'est après avoir fini leur plainte que les villageois se rendirent compte que le voyageur fauteur de trouble était juste en face d'eux ! Ils firent un regard noir a Aaron et commençaient à l'encercler. Le jeune homme reculait doucement tout en s'excusant qu’il n’avait pas compris qu’il n’était pas dans une zone sur les jeux vidéo. Ses excuses étaient vaines et même Mario se rapprochait dangereusement de lui. Ils sautèrent tous au même moment sur l'australien qui se décala d'un coup sur le cote gauche et profita de la panique cause pour sortir du bâtiment. Il se mit à courir comme un dératé vers la sortie du village avec les villageois, et Mario en tête de course, à ses trousses. En tout cas, il ne passait pas inaperçu ce soir la a Champiland. J'ai envie de dire, ça lui apprendra à faire le con au petit Aaron !

Invité

« Euh... Je... Je suis désolé. Je ne sais pas ce qui m'a pris, hier. J'en suis terriblement désolé. Je... Tu m'en veux pas ? »

Je savais que c'était terriblement égoïste et con. Je voulais me suicider la veille, elle avait faillit mourir à cause de moi et je lui demandais si elle m'en voulait pas. Si on pouvait faire pire, fallait me le dire. Que je me tire une balle de Magnum dans le crâne. Pour que je meure sans longue souffrance. Mort simple, rapide et efficace. J'étais sur le palier de son appartement, ses parents étaient sortis et il n'y avait que son chat. J'aimerai bien avoir un chat, tiens. Je souriais bêtement et je me grattais le bras. Je portais un T-Shirt gris « I can't take this life seriously », un jean noir, un bracelet de force et un serre-tête pour ne pas avoir mes cheveux sur ma tête. Je les ferai couper plus tard. Ce brusque changement d'apparence physique donna un réel effet de surprise à tous les gens que je connaissais, moi qui avait de longs cheveux blanc et des vêtements que je portais chaque jour, j'avais une soudaine envie de changer. Même mes profs crurent à une blague et que je m'étais peut-être trompé de classe mais je dis mon nom, montra ma carte d'identité avec mon visage aux yeux bouffis mais qu'on ne voyait pas à cause des mes cheveux qui recouvraient la moitié de ce qui me servait de tête (je l'avais changé récemment). Abasourdis, tous les profs me dirent la même chose : « attendez, sérieusement ? C'est pas une blague ? » Même Floriane, lorsqu'elle m'ouvra la porte de son appartement et me fit : « qui êtes-vous ? On se connaît ? » C'était pour dire. Mais bon, elle eut la même réaction que mes profs. Je voulais rigoler mais je m'étais dis que je m'enfoncerai encore plus dans mon fossé que j'avais commencé à creuser sans le vouloir lorsque je l'avais lâché hier, avant de rentrer chez moi.

Si on en revenait à la situation actuelle, on pouvait dire que j'étais mal à l'aise, très mal à l'aise. Elle me dévisageait et je n'aimais pas trop que l'on traînait sur mon visage. Parce que lorsque quelqu'un le faisait, je me mettais à établir tout un tas de scénarios improbables et chaque seconde qui passait, je choisissais l'un des scénarios et je me persuadais de sa crédibilité. Et donc, en ce moment, je me disais qu'elle voulait que je culpabilise à mort au point que je fonde en larmes, mais le pire, c'était que j'étais à deux doigts d'ouvrir la vanne aux pleurs. J'étais tellement paranoïaque que je me disais qu'elle voulait ensuite me torturer pour qu'elle assouvisse pleinement sa vengeance. Mais elle attrapa le col de mon T-Shirt et me tira dans son appartement jusqu'à son salon. Elle me disait de m'asseoir et elle partit dans la cuisine. Son chat se trouvait là, celui-ci me regardait.

« Tu penses qu'elle m'en veut ? Pourquoi elle m'a emmené à l'intérieur ? Tu peux pas m'aider ? »

Pour toute réponse, il bâilla et retourna dans son sommeil profond. D'accord, connard de chat. J'ai compris le message. Floriane revint avec deux mugs Soul Eater, l'un où il y avait Death The Kid et un autre où il y avait Soul. Je pris D.T.K qu'elle me tendait et je pris deux cubes de sucre. Je bus en trois gorgées et je faisais tout pour ne pas croiser son regard qui trouait mon corps à coups de becs perçants. Oulà, il faisait chaud tout d'un coup. Je ne transpirais pas mais j'avais hyper chaud. Le café. Oui... C'était ça. C'était à cause du café. Mais au fond de moi, je n'en étais pas sûr. Plus les secondes défilaient, plus mon cœur battait de plus en plus vite. Il fallait que je la regarde, pour faire cesser cette comédie. Je voulais partir, elle qui n'arrêtait pas de me regarder, moi qui avais tellement chaud que je pensais que le Vésuve explosait à seulement deux mètres de moi. Et ce putain de chat qui bâillait. Je décidais de rompre le silence en bégayant :

« Euh... Je... Je sais que j'ai fais quelque chose de grave mais s'il-te-plaît, pardonne-moi ! Au moins, dis-moi quelque chose ! »

« Chucky, bouge ! »

Elle s'était levée, avait chassée son chat et avait mit un coussin à la place. Puis elle se rasseyait à sa place, termina son mug et le déposa. Elle sourit et sortit avec une voix que je n'avais jamais entendu, mais qui était dérangeante, enfin pour moi car cela me mettait encore plus mal à l'aise :

« Ne t'inquiète pas, je te pardonne tout. Tu comprendras plus tard. Mais pour l'instant... »

Elle commença à avancer vers moi avec ses mains et les mit sur mes jambes. Elle rapprocha sa bouche vers mon oreille et susurra :

« Pour l'instant, on va laisser nos émotions nous dominer... »

J'avais du mal à suivre mais une petite voix au fond de moi me disait de la prendre dans mes bras et l'embrasser. Mais une autre voix, plus imposante me disait de bouger au plus vite. Sauf que mon esprit refusa de faire quoi que ce soit. Alors je me laissais faire. Complètement. Elle m'allongea sur le canapé et approcha ses lèvres vers les miens. C'était là que je vis son visage. Elle avait les yeux fermés et elle avait mit du gloss, ce qui rendait son visage encore plus... Sexy. Elle avait déposée ses lunettes et je pus remarqué qu'elle avait mit du khôl. C'était une martiniquaise et elle avait une magnifique peau de métisse. Elle n'était pas bien grande, elle faisait une tête de moins que moi et ce n'était qu'à cet instant que j'avais remarqué qu'elle avait de superbes formes mais qui n'étaient pas aussi voyantes que les bimbos. Mais ça, on s'en foutait. Si on en revenait à l'instant présent, on pouvait constater qu'elle voulait m'embrasser ! Et puis, ses lèvres entrèrent en contact avec les miennes et ce fut comme si je buvais de l'eau alors que je n'en avais pas bu depuis plus de trois jours. La suite, je ne la raconterai pas. Le lecteur peut très bien deviner tout seul.

Et ce fut sur ce long baiser que je rentrai chez elle, complètement déconnecté de la réalité. J'avais dû avoir de la chance pour rentrer chez moi sain et sauf. Cela m'avait complètement retourné, de la tête aux pieds. Je ne vis pas le temps passer et je m'endormis sans manger, pensant pour je ne sais quelle raison de manger de champignons.

–

« Hmm... Pff... J'ai pas envie de me lever... »

J'étais couché sur le ventre. Je bâillais, même si le fait de bâiller en dormant était assez bizarre. Finalement, je me levais et m'étirais. Je craquais mon dos, mes doigts, mon cou, comme je faisais d'habitude lorsque je sortais d'un profond sommeil. Dans ce cas-ci, c'était plutôt d'un profond éveil. Même si Am... Amvrossi, je crois, m'avait expliqué ce qu'était Dreamland, j'étais encore un peu perdu... Un monde où les rêves de tous les habitants de la planète convergeraient en un endroit et que lorsque nous combattions notre plus grande peur, celle-ci serait une source d'un pouvoir auquel nous avions l'accès et nous pouvions avoir conscience de ce monde des rêves ? J'étais assez intelligent pour comprendre mais quand même... Alors, je me trouvais à Dreamland ? Intéressant, très intéressant même... Cela voudrait dire que j'avais un pouvoir ? Mais lequel ? Celui de l'eau ? Mais comment pouvais-je le faire sortir ? Hmm... Si des personnes comme moi pouvaient et avaient vaincu leur phobie, ils devraient y en avoir dans les parages. Donc je pouvais demander plus d'explications à un autre... Voyageur, je crois qu'il avait dit ça, l'autre.

J'examinais ce que je portais car je le faisais maintenant : j'avais un serre-tête jaune, un T-shirt sans manches jaune à bordures blanches, un baggie bleu et des Nike jaunes. Ok... Va pour le jaune, Grand-père. Je commençais à marcher, sans repère mais je tombais finalement sur un sentier. Je pouvais remarquer des traces de roues et des légers martèlements du sol à coup de sabots de cheval, si on regardait de plus près. Et puis, à force de marcher, je pouvais voir que le paysage se composaient exclusivement de champignons en tout genre. Il y en avait un qui avait la forme d'un sexe de mâle et juste pour l'énerver et que cela me démangeait, je lui dis assez fort :

« Eh l'champi ! Quand tu pisses, ça sort par où ? » (HRP : c'était un p'tit hommage à quelqu'un qui avait sorti cette réplique dans un de nos Rps et il m'en voudra pas si je l'ai ressortie : HRP)

Et je rigolais de bon cœur. Cela faisait un moment que je n'avais pas autant ris. Un poids dans mon cœur s'envola. J'étais enfin, et à nouveau, heureux.

« Mon pétit ! Tou vas apprendé que causer du tort au sou villagé, ça se pounit ! »

J'avais marché pendant dix bonnes minutes lorsque j'entrais dans un village constitué de champignons de toutes formes. Devant une assez grande maison, il y avait un attroupement de ces « organismes eucaryotes unicellulaires ». Je demandais à un de ceux qui constituaient l'attroupement la raison de ce rassemblement.

« C'est un voyageur. Il a saccagé la plupart des maisons du village et le gardien du village est furax ! »

Effectivement. Le fait d'être dans un pays imaginaire et de posséder un pouvoir hors du commun ne donne pas le droit de foutre le bordel là où on passait. Je me frayais un chemin entre la horde de champignons jusqu'à ce qu'un décida de s'en aller car il s'ennuyait, et je pus décrire le « voyageur » en question : c'était un blond. Un putain de blond. Drôle de coïncidence, j'avais visionné le sketch de Gad Elmaleh sur les blonds, on verra s'il déroge à la règle ou pas. Il portait des lunettes de soleil, croyant sûrement être à la plage. Le reste n'avait pas d'importance. Puis, une impulsion inconnue me fit sortir du troupeau et me dirigea vers le nain-gobelin à moustache qui se trouvait devant le pauvre « voyageur » apeuré. Ha, s'il croyait que j'allais l'aider...

« Euh... Vous êtes sûrement le gardien du village ? Enchanté, je me nomme Kala Kourou. Je suis aussi un voyageur, comme cet énergumène MAIS ! Mais je n'agis pas comme lui, bien au contraire. Je vois que vous êtes à deux doigts de lui passer un mauvais quart d'heure. Permettez-moi de vous en débarrasser. En échange, vous me donnerez... Ce que vous avez de précieux et en grande quantité. Cela vous va-t-il ? »

« Ah... Oh, cé très intéressant, ce que tou mé proposes là, mon jeune ami... D'accord, marché conclu ! »

Nous nous serrions la main et je me rapprochais du voyageur. Tout doucement, je me rapprochai de son oreille pour lui susurrer, de manière à ce que les gens autour ne puisse entendre ce que je lui disais :

« Bon, c'est juste pour te sortir de là. Mais va falloir que tu te laisses faire. Tu fais rien de suspect, sinon je te dégomme. Alors choisis, c'est sois par moi, sois par eux. T'as cinq secondes. »

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Aaron se faisait toujours poursuivre par la moitié des villageois. il ne savait vraiment pas comment il allait s'en sortir cette fois. Pourquoi il faut toujours qu'il se foutre dans le pétrin jusqu'au cou. Il essaya d'accélérer les pas mais apparemment les créatures était bien plus endurante qu'elle en avait l'air au premier abord. L'australien en voyant une maison au loin eu une petite idée pour semer ses poursuivants. Il se dirigea vers la maison en continuant son accélération et fit le tour de la maison assez vite de manière à ce que les villageois le perde de vue mais ce plan était loin d’être une réussite et des villageois se rapprochait dangereusement de lui. Aaron hésita un instant à utiliser son pouvoir mais il se disait que cela ne ferait que aggraver son cas. Et oui vous n'avais pas rêver pour une fois l'étudiant en biologie avait réfléchi avant d'agir. Il regarda une maison puis se mit à courir à toute vitesse vers la fenêtre. Il sauta les pieds en avant pour défoncer celle ci et fit une roulade pour amortir sa chute. Il y avait quelqu'un dans la maison qui essaya de suite d'attraper le pauvre adolescent. Il esquiva de justesse la créature en sautant sur la table de la salle à manger puis il attrapa le lustre et se balança pour sauter sur les escaliers il arriva dans une chambre. Il sauta sur un lit qui le fit rebondir contre une fenêtre menant au toit. Il se mit à sauter de toit en toit. Les villageois les plus courageux le poursuivait encore et toujours. Aaron était plutôt fier de lui.

- Alors vous avez du mal à me suivre haha ne jamais sous estimer le grand Aaroooooooooooooooooh waaaaaaaaaaaaah !

Il avait glisser sur un toit et se retrouva sur la place par terre au milieu des villageois. Il fit un sourire gêné et se releva. Un autre voyageur se trouvait à côté de lui et commença à lui susurrer quelques mots dans l'oreille. L'australien semblait réfléchir quelques secondes. Est ce que ça en valait la peine ? Pouvait il faire confiance en ce voyageur ? Il savait très bien que les voyageurs pouvait être super sympa comme sympa tout comme être des enfoirés de première comme il l'avait vu avec Cobbie le drogué qui voulait son essence vital. N’empêche on s'en rendait pas compte mais cinq secondes ça passe super vite ! Il se tourna et regarda le voyageur et attendit que celui lui dise quoi faire après tout notre jeune voyageur avait déjà mis assez le bordel dans ce village. Il était qu'il les laisse tranquille. Il chuchota.

- Je vais me tenir à carreau pour cette fois... tu proposes quoi ?

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"Je vais me tenir à carreau pour cette fois... Tu proposes quoi ?"

Je ricanais et je fis découvrir mes belles dents blanches. Et avant de lui envoyer un magnifique coup de poing dans le ventre, assez fort pour presque le faire dégobiller :

"Je te frappe une fois. Et tu te laisses faire."

Je laissais tomber le corps affaibli du Voyageur et commençais à le tirer hors du rond de créatures. Je souriais à tout le monde et avant qu'on ne disparaisse, je dis au Gardien du Village :

"Je l'embarque pour qu'on fasse plus ample connaissance. Je reviendrai pour récupérer ma récompense avant la fin de la nuit !"

Je rigolais un peu, puis je continuais de le tirer par le col pour sortir du village. Je l'amena contre un tronc et regardais s'il était toujours conscient. Je n'y étais pas de main-morte, il devait m'en vouloir à mort. Mais c'était ça, soit de se faire tabasser par plusieurs champignons, dont certains étaient armés. Mais en fait, pourquoi je l'avais aidé ? Hmm... Je ne savais plus, mon bon fond avait agit, sans doute. Bah, il était toujours vivant pour pouvoir m'expliquer ce qu'était Dreamland et comment utiliser mon pouvoir. Mais j'étais sûrement tombé sur un abruti car, dévaster plusieurs habitations juste pour le plaisir, fallait avoir une case en moins dans le cerveau... Ou peut-être que c'était fait exprès, qu'il avait de mauvaises intentions. Peut-être était-il à la recherche d'un objet d'une grande importance, d'un document confidentiel par rapport à un secret gouvernemental. En cet instant, je me disais toujours qu'on était dans un rêve, ce qui voulait dire que je me mentais à moi-même car je savais évidemment que tout cela était réel : mes cinq sens marchaient comme dans le monde réel, les sensations étaient vraiment réelles. Mais je me persuadais à croire qu'il y avait toujours quelque chose de faux, quelque part. C'était pour ça qu'il fallait que quelqu'un m'explique bien clairement. Ou que je devais me mettre dans une situation à risque. Pourquoi pas...

"Bon, maintenant que tu as repris tes esprits, je veux que tu me parles de cet endroit car je viens d'arriver. C'est ma... "Première nuit" ? Oui, je pense que c'est ça. Vas-y, je t'écoute."

En attendant sa réponse, je m'asseyais devant lui en tailleur. Place aux révélations !

Invité

Aaron regardait le voyageur qui se trouvait à côté de lui et qui fit un grand sourire éclatant suite à sa réponse. Sur le coup notre contrôleur de soda flippé un peu car on aurait dit un sourire de psychopathe. Limite il attendait que ça.

- Euh wait ! Tu es sur que tu sais comment me sor... OUCH !

Le jeune homme n’eut même pas le temps de finir sa phrase qu'il reçu un coup en plein ventre qui lui coupa totalement le souffle. Il était au sol en train de se tenir le bide, il faut bien dire que Kala Kourou ne s'était pas retenu. Du coup, Aaron ne pouvais pas faire autrement que se laisser faire tellement l'attaque l'avait surpris et sonner. Kala se mit alors à porter Aaron et s'écarta des villageois en colère contre les actes destructeurs mais qui ne se voulait pas agressif. Une fois à l'écart de tous ce vacarme, le mystérieux voyageur déposa l'australien contre un tronc d'arbre. Le jeune étudiant c'était remis du coup surprise et commença à raler.

- Non mais ça va pas la tête t'aurais pu me prévenir avant quand même ! Are you mad ? Je suis pas un punching ball ! en plus tu me frappe quand je te parle c'est putain d'impoli quoi c'est comme si tu me parlais de la saison des betteraves en Europe et que là tu me donnerais un coup violent dans les couilles... En fait je m'appelle Aaron...

Aaron faisait un peu la tête mais il se disait au final qu'il avait fait ça pour son bien mais bon il aurait pu prévenir pour le coup quand même. C'est à ce moment que son "sauveur" lui demanda des explications sur Dreamland. Aaron comprit de suite que c'était un nouveau voyageur.

- Dreamland... je suis loin de tout connaitre sur ce monde vu que moi même ça fait juste 3 nuits que je parcours ce monde mais je peux t'expliquer quelque truc plutôt AMAZING !!! Déjà pour commencer ton pouvoir n'est d'autre que ta phobie moi perso avant d'arriver à Dreamland j'ai fais un rêve bizarre ou j'ai affronter ma phobie justement. Tu pourras venir à Dreamland que lorsque tu dors dans la vie réel mais fais gaffe car dès que tu te réveilles tu disparais de Dreamland quelque soit la situation dans laquelle tu es...

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