Dream Land Infinity RPG
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 Préface d'une belle aventure sur la terre des rongeurs [privé avec moi même]

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Antony Watson
L'opportuniste
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Antony Watson


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MessageSujet: Préface d'une belle aventure sur la terre des rongeurs [privé avec moi même]   Préface d'une belle aventure sur la terre des rongeurs [privé avec moi même] I_icon_minitimeJeu 23 Juil - 9:22

Quelque part, dans la zone sud de Délirium city, Antony se matérialisa dans un nuage de fumé. Il était allongé sur le bitume avec un petit boxer rouge comme unique vêtement. Alors qu’il se demandait ou il avait encore bien pu atterrir, un vieux magazine transporté par le vent se posa sur son visage. Le voyageur émit un grognement et vira le détritus de son visage avant de s’aider de ses coudes pour se redresser et se rasseoir en tailleur. Il se gratta la tête et prit un air pensif. S’il se trouvait dans le monde des rêves c’est qu’il avait fini par s’endormir. Rien d’étonnant à une heure aussi avancée de la nuit. Avec ses meilleurs amis Clémentine, Sofiane et Jonathan il avait fêté l’obtention d’un  stage super au siège français d’une firme américaine mondialement connu. Un séjour dans cette prestigieuse entreprise sur son cv lui ouvrirait des portes dans de nombreuses boites et lui garantirai un salaire très confortable, autant dire qu’il était aux anges. Il avait commencé la soirée dans un Bar dans le centre-ville et picolé joyeusement tous les quatre avant de se rendre dans une boite nantaise  « le hangar à banane » et continué de danser et boire jusqu'à la fermeture. Vers 5h30 ils avaient fini par rentrer en titubant et chantant plus ou moins faux chez Jonathan pour se poser dans son salon. Antony se souvenait vaguement de Sofiane installer un vinyle de David Bowie sur la platine. Il avait posé sa tête sur l’épaule de clémentine et fermée les yeux pour apprécier la mélodie. Le sommeil l’avait gagné sans qu’il ne s’en rende compte et à présent, son corps se retrouvait sans défense à la merci de trois psychopathes qui ne laisserait pas une si belle occasion d’exprimer leur créativité et fibre artistique. Il se promit qu’à son réveil  ils y auraient de représailles sanglantes.

Les yeux du morpheur se posèrent sur les pages du journal qui s’agitaient avec le vent a côté de lui. Il réalisa alors qu’il s’agissait d’un exemplaire de DreamMag de la veille. Curieux, il saisit le magazine et commença à le feuilleter. C’était la première fois qu’il s’endormait alcoolisé depuis qu’il était devenu voyageur c’est pourquoi il n’avait pas conscience des risques qu’il prenait à bouquiner ainsi au milieu de cette avenue anormalement calme et déserte.

- Hein  !! Je suis dans les mille premiers de la Baby League ?! J’ai encore monté dans ce classement à la con. Surement à cause du tapage qu’on a fait au Mistigri avec Henry.

Contrairement à beaucoup de voyageurs, Anto’ ne partageait pas cet engouement pour le classement de cette revue et de la compétition qu’elle engendrait. Nombreux aventuriers dreamlandais  souffraient d’un problème d’égo et cherchaient à se rapprocher du podium pour combler leur besoin de reconnaissance. Le hic, c’est qu’ils avaient tendances à prendre des voyageurs un peu mieux classés qu’eux pour cible et chercher à les affronter pour  gagner des points. C’était tellement futile… Et pourtant c’est bien cela qui mettait le garçon dans une situation délicate. En effet  sa progression dans la league c’était faite un peu malgré lui et le problème c’est que lui n’avait pas changé. Il était pratiquement toujours aussi faible qu’à sa première nuit. Aujourd’hui il excellait dans l’art de fuir mais était toujours une brèle en combat. Il fallait vraiment qu’il trouve le légendaire royaume des rongeurs. Il avait consacré toutes ses nuits depuis qu’il avait appris son existence à cette tâche, mais pour le moment ses recherches c’étaient révélées infructueuses.  

Un grondement sourd le fit sortir de sa réflexion, le sol se mit a tremblé, d’abord de manière imperceptible puis de plus en plus fort. Il se tordit presque le cou pour regarder derrière lui. Il ne vit  d’abord rien d’autre qu’une rue déserte, pourtant le boucan se rapprochait. Un nuage de poussière s’éleva suivi de cris.  Cris de joie ou de peur il ne parvenait pas à l’identifier, ce qui était logique car il y avait les deux à la fois. Une masse sombre se forma puis il les vit. Des centaines de tonneaux de toutes les tailles roulaient vers lui et devant eu un groupe de rêveurs et voyageurs à moitié nus fuyait pour ne pas se faire écraser. Les cris de terreurs c’était eux. Parmi eux, des petits diables au regard fou gambadaient joyeusement. Les cris d’excitations. Dans un sursaut d’instinct de survie, il se redressa et se mit à courir pour sauver sa peau. « Aïe !! ». Antony baissa la tête. La route qui défilait sous ses pieds était piégée. Il y avait des punaises des clous et des aiguilles un peu partout. Pour éviter de se faire à nouveau mal et marcher sur une pointe il ralentit un peu l’allure. Quelqu’un cria derrière lui.

- QU’EST-CE QUE TU FAIS ?! ACCELERES ON EST EN PENTE !! LES BARRIQUES QU’ILS ONT LACHE SUR NOUS PRENNENT DE LA VITESSE.

En jetant un coup d’œil par-dessus son épaule il réalisa que le voyageur qui avait parlé disait vrai, Il n’avait plus que 5 mètres d’avances  sur les autres coureurs et cet écart se réduisait a vu d’œil. « AIE !!! P*tain ! ». Ignorant la douleur, il força l’allure. Il savait maintenant ce que ressentaient les demeurés fans de corrida. Il fallait qu’il trouve une échappatoire et quitter la trajectoire des tonneaux très rapidement. Aucune ruelle perpendiculaire à l’horizon. Seulement deux rangés d’immeuble qui faisait barrage de chaque côté. A environ une cinquantaine de mètres il vit le porche d’un bâtiment qui offrirait un petit refuge parfait. Il dévia légèrement pour se diriger vers son salut, ce qui n’échappa aux sprinteurs derrière lui qui repérèrent également sa planque. Si bien qu’une dizaine de d’entre eux suivirent le même chemin.

- Mais vous êtes cons ou quoi ?? Il n’y aura jamais la place pour nous tous !!

- Vas y fait pas ton rat ! On court depuis plus longtemps que toi. On a les pieds en sang. Je suis sur le point de craquer.

Ça n’allait pas du tout, avec les balèzes qui chargeaient vers son abri il allait finir en bouillie contre la porte de l’immeuble et s’il renonçait à cette issue il finirait aplatie comme une crêpe par les tonneaux.  « FUCK !!! » Le garçon se jeta sur le porche. Il eut tout juste le temps de pivoter qu’une marée humaine le plaqua violement contre le mur. Son visage s’enfonça dans le ventre couvert de sueur d’un énorme monsieur. Ce Free Hugs poisseux lui donna la nausée mais surtout l’empêchait de respirer. Il voulut repousser la masse de graisse qui l’étouffait mais ses bras étaient tout aussi coincés par ceux qui continuaient de se presser dans le porche jusqu'à ce que les derniers barils soient passés. Enfin le groupe de rescapé bascula en arrière, Antony fut libérer et tomba le quadragénaire en surpoids qui l’avait presque noyé dans ses boulets. Avant que quiconque n’ait pu dire quoi que ce soit le bruit d’une clef qui tourne dans une serrure attira toutes les attentions. La porte contre laquelle il avait été compressé s’ouvrit lentement dévoilant une minuscule grand-mère en robe de chambre rose. Elle avait des oreilles pointues le visage fripé comme un vieux pruneau et les grosses lunettes qu’elle portait donnaient l’impression que ses yeux avaient triplé de volume.

- Quelqu’un a frappé ? Bredouilla-t-elle en regardant devant elle sans les voire avant d’ajouter en faisant apparaître un fusil de chasse dans sa main. Si c’est un vandale je n’ai pas peur, je sais me défendre.

Sur ce, elle chargea son arme et se mit à tirer aléatoirement dans toutes les directions. La panique s’empara du groupe, et tous détalèrent le plus vite possible. Les balles sifflèrent autour des oreilles du morpheur qui traversa la rue et plongea derrière des poubelles pour se mettre à couvert. L’atterrissage fut plutôt douloureux, il s’écorcha à plusieurs endroits du corps en tombant contre le sol. Un rictus de douleur se forma sur son visage. Il jeta un coup d’œil par-dessus la poubelle. Il vit un rêveur caché derrière une borne d’incendie (Pour l’info, je viens de découvrir que ça s’appelait un Hydrant, grâce à-moi vous pourrez briller dans les diners mondains, ne me remercier pas ^^), deux autres se tenaient de profil derrière un lampadaire. La mémé campait toujours devant son immeuble en continuant de canarder ses hooligans imaginaires. Il remarqua qu’il tenait toujours fermement le DreamMag dans la main. Un mot écrit en gros sur la couverture du magazine l’interpella. « Celestiafest ». Il en avait déjà entendu parler quelque part. Mais où ? Il ne s’en souvenait plus. Les coups de feu cessèrent,  et mère grand rentra dans son immeuble en claquant la porte. Le steampunk put lâcher un soupir de soulagement. Il chercha dans le sommaire ou il pouvait trouver l’article à ce sujet. Page 18. Un reporter de Relouland résumait l’évenement :

Toutes les 2000 nuits, Deus, le seigneur céleste invite les grands de Dreamland à venir dans son royaume. Le gratin de Dreamland est invité à venir pour 3 nuits de fête au royaume céleste. C'est l'un des événements les plus attendus et les plus fameux de Dreamland. Seulement, seuls ceux qui y ont été invités peuvent accéder au royaume des cieux grâce au Pass VIP qui leur permet de parvenir jusqu'au 7° ciel et la ville de Celestia capitale du royaume du vide. Pour  tous les recalés, il existe un moyen d'assister à cet événement. La veille de la célestiafest, l'île éphémère apparait reliant le royaume céleste grâce à une immense tour qui monte jusqu'aux cieux : La tour de l'oubli. Des centaines de voyageurs et créatures font à chaque fois le déplacement pour essayer d'aller à la célestiafest mais seul les meilleurs, les plus forts et les plus motivés parviennent jusqu'au centre de l'île d'où on peut accéder au royaume céleste par un énorme ascenseur. A suivre, les Favoris qui rejoindrons l’île éphémère et en exclusivité l’interview D’Annab…

- Ah ok, en gros c’est un survival le truc. A la limite du Battle Royale enfaite. Et bien ça promet. C’est vrai qu’assister à cette fête me plairait bien mais de là à me lancer dans quelque chose de si dangereux… Encore une fois je suis trop faible pour jouir des merveilles de Dreamland. Si seulement je parvenais à dénicher ce foutu royaume des rongeurs !

Le Bruit d’une porte qui s’ouvre à la volé fit sursauter Antony. Il vit débarquer dans la rue tout un groupe de vielles armées jusqu’aux dents. Apparemment mémé était allé chercher les renforts. Voir le club du troisième âge faire ainsi de la résistance l’aurait fait beaucoup rire si il n’avait pas remarqué, posé sur un déambulateur, un F*cking Bazooka !!  A la tête de ce commando, super mémé retira son dentier, et en fourra un métallique aux canines aiguisé dans la bouche. Elle claqua deux fois des dents pour s’assurer qu’il tenait bien en place et beugla « CHASSE AUX VANDALES !!! ». Tous ses soldats l’imitèrent et crièrent en chœur. Il était temps pour notre voyageur de déguerpir en vitesse. Il se changea en souris et s’enfuit quelques secondes avant que tout le quartier ne devienne une zone de guerre.  Run, Run, Run.  Il avait bien du mettre 1 km entre lui et le champ de bataille pourtant il entendait encore l’écho des explosions. Il  fut carrément  dépassé par deux ou trois maisons qui se faisaient elles aussi la malle pour ne pas subir trop de casse. Il finit par s’arrête dans un petit parc ou trônait une fontaine digne de celles des jardins à Versailles. A la différence près que dans celle-ci se n’était pas de l’eau mais du vin qui coulait à flot. Il se retransforma en garçon. Il s’étira et s’allongea sur le bord de la fontaine pour se remettre de son marathon. Un Km ça parait peut être pas grand-chose mais à pattes de souris vous verriez les choses autrement. Il sentait que les battements de son cœur revenaient à la normal.

- Bon sang ! J’n’y crois po ! Un voyageur rongeur ! ça fé bien longtemps que le royaume n’en avait po eu !

Plouf, La boule de poils qui venait de brayer juste à côté de l’oreille d’Antony failli lui causer une crise cardiaque. De peur il avait eu un mouvement de recul, perdu l’équilibre et il était tombé comme une daube dans la fontaine. *Mais c’est quoi ces bestioles qui surgissent de nulle part !!! Attend une minute. Elle a dit quelque chose des voyageurs rongeurs ??* Antony ressortis la tête du bassin et en prenant une grande inspiration et chercha la touffe parlante du regard. Elle n’avait pas bougé et elle le fixait les yeux écarquillés. Il s’agissait d’un mulot bien en chaire eu pelage noir.

- Eh bin, l’est sacrément tendu l’petiot ? Maint’nant qu’il a piqué une tête il va p’t’être être plus calme.

- Une minute ! vous avez parlé d’un royaume je crois, vous  venez du royaume des souris ??

- Mais c’est qu’il pourrait se présenter d’abord avant d’poser les questions ? Et j’viens de La prairie d’la providence gamin.

- Ah… Excusé moi, Je suis Antony Watson. Je suis voyageur depuis quelques semaines. Je pensais que vous auriez pu m’aider mais ce n’est pas votre prairie que je cherche. C’est le royaume des souris.

- Bah qu’il est sot. La prairie est un district du royaume miniature. Si c’est la capitale que tu veux, on est juste au-dessus. Mais tu peux y accéder d’à peu près n’importe quel royaume de la première et deuxième zone. Faut juste que tu trouves la bonne plaque.

- On est Juste au-dessus ??? Je n’y crois pas !! De quelle plaque tu parles ?!

- De plaque d’égout bien sûr. De quelles autres plaques veux-tu que je te parle. Pour un voyageur rongeur tu ne regardes pas beaucoup sur quoi tu marches. Les humains d’aujourd’hui… Bon suis moi, je peux te conduire à celle de Délirium city elle est toute proche.

Anto’ n’en revenait pas. Il cherchait ce royaume depuis si longtemps, et la solution était juste sous ses pieds. Après avoir tant stagné, cette rencontre inopinée lui permettait enfin de poursuivre ses aventures oniriques. Il suivit le mulot qui se nommait Martin. En marchant il commença à lui décrire approximativement l’empire des Rodentiens. Il y avait la capitale sous la cité des ivrognes ou vivait principalement les rats et les souris. Ensuite il y avait trois autres colonies qui obéissaient à leur reine, le bosquet qui était occupé par les écureuils, la forteresse de pins pour les castors et enfin la prairie de la providence où il vivait avec sa femme et ses 14 enfants. « Stop! » Le mulot arrêta le voyageur juste à temps pour l’empêcher de se prendre un tabouret en pleine tête.

- Au non, les lapins de paques se sont encore mis minable. Quand ils sont bourrés ils cherchent les embrouilles avec tout le monde et sa finit souvent en baston. Ce sont de vrai alcoolique, vu qu’ils sont au chômage presque toute l’année, ils viennent souvent picoler ici. On va contourner leur rue.

Antony regarda Martin  en mode Wtf, pas pour l’histoire des lapins mais pour son discours il avait parlé d’une manière bien plus raffinée que d’habitude, sans accent de campagnard. « Bin tu viens ? qu’es t’attends ? On va po y passer la nuit. » Ah non, il avait dû rêver. Il ne fallait pas qu’il oublie que lui aussi était encore un peu alcoolisé. Bref, la suite de leur chemin plus tranquille, ils ne croisèrent plus rien de dangereux, seulement un couple de dromadaires qui leur demandèrent  ou se trouvait la station-service la plus proche pour étancher leur soif avant de se rendre au royaume du sable Saharia. Après un ultime croisement le mulot souris.

- Ah, on y arrive, c juste à côté d’cette cabine télépho… *Pouf* Euh.. T’serieux gamin ! J’prends l’temps de t’conduire à une plaque et tu disparais comme un voleur ? Spèce d’ingrat tu t’débrouilleras tout seul la prochaine fois.

Très loin de Délirium city, dans un petit appartement derrière la place Graslin, quelque chose chatouilla le nez de notre étudiant Nantais. Il s’agissait d’une mèche de cheveux de son amie clémentine qui dormait sur le même sofa que lui. Il poussa un « nooooooonn !! » silencieux très  théâtral. Il avait été à un chouilla de regagner son royaume après des nuits d’errance dans Dreamland. Tout ça à cause d’une mèche de cheveux ! Il tourna la tête vers celle qui lui avait volé cette chance, mais quand ses yeux se posèrent sur le visage de la belle au bois dormant le feu de sa colère, mourut pour ne laisser que des braises. Des braises qui propagèrent une chaleur agréable dans tout son corps.  Elle était si belle, comment se faisait-il qu’il ne l’avait pas remarqué plus tôt. Il détailla sa respiration paisible qui soulevait et abaissait lentement sa poitrine, les deux grains de beauté sur son épaule dénudé, son long cou dans lequel on avait l’irrésistible envie d’y poser ses lèvres, son menton, ses pommettes, son petit nez, ses lèvres fines, ses paupières qui cachait deux iris bleu, ses longs cheveux châtain qui était imprégné d’une odeur fruité.   Ils étaient amis depuis plusieurs mois mais cela faisait quelques semaines maintenant que lorsqu’il la regardait comme il le faisait à cet instant. Il ressentait quelque chose de nouveau. C’était à la fois mélodieux et plaisant, un peu comme un rayon de soleil qui caresse la joue, mais aussi tellement effrayant. Notre voyageur soupira, et bailla avant de grimacer. Il avait les lèvres gercées comme à chaque fois  qu’il buvait des tekpaf. Tekpaf ? Odeur fruité ? Comme les cocktails d’un de leur bar préféré ? LA SOIREE !!

Tout lui revint  en mémoire à la manière d’un film que l’on passe en accéléré, de son début de soirée au vinyle de David Bowie. Antony se redressa d’un coup, en regardant affolé autour de lui. Jonathan et Sofiane dormait sur le canapé juste en face. Qu’est-ce que ces monstres avaient eu le temps de lui faire avant de s’endormir à leur tour. Le Steampunk se leva et se dirigea vers la salle de bain. La bas il découvrit que ses amis c’était surpassé. Sa crinière habituellement brune avait pris la couleur rose bonbon. Pendant 15 minutes, la tête dans le lavabo, il s’acharna à essayer de faire partir la teinture. Comme leurs œuvres état récente, ils retrouvèrent pratiquement la couleur d’origine mais quelque mèches tenaces conservèrent sois un rose pétant sois un rose délavé. Il ne lui restait désormais plus qu’à prendre rendez-vous chez le coiffeur pour arranger avant son retour à Paris pour commencer son stage et mettre la main sur le petit pot de Piment Thaï Hot de la mère de Jo’. Ses trois affreux allait vivre un réveille chaud bouillant dont ils se souviendront toutes leurs vies, mais ils l’auront bien cherché.

The End.
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