Ton histoire...-----------------------------------
♠ Description Physique :
Julie mesure un peu moins d’1m80, est assez mince et svelte. Oui, la jeune femme est assez grande, il faut le dire. Et, cette taille est proportionnelle avec celle de sa poitrine, 110F. À cause de ça, vers les 16/17 ans, Julie avait du arrêter de participer à son club d’athlétisme car ça la gênait de plus en plus. Mais outre les arguments physique, la jeune femme n’est pas une bimbo et est, au contraire, assez pudique avec son corps et n’ose pas le montrer…La partie supérieure en tout cas car elle porte souvent une petite jupe s’arrêtant juste en haut des cuisses laissant montrer ses jambes.
Niveau vestimentaire, des pulls et des jupes lui suffisent la plupart du temps même si, on s’en doute, sa garde robe change en fonction de la température, du climat et des saisons.
Myope comme une taupe, Julie porte des lunettes, de grosses lunettes, lui cachant la moitié du visage et ses magnifiques yeux verts. Ses beaux cheveux roux ne peuvent même pas faire voir leur plein potentiel également.
♠ Caractère :
La jeune femme adore le calme et la tranquillité. Dès qu’elle arrive chez elle, elle se loge dans sa chambre pour lire un bon livre ou passer des heures sur Internet. Ce sont les seules solutions que Julie a trouvé pour quitter le stress et autres frustrations du quotidien. Mais, elle passe une bonne partie de son temps libre pour avancer dans ses cours, comme tout bon professeur. D’ailleurs, elle aime son travail et ne le trouve pas trop fatiguant, surement car il s’agit de sa première année.
Avant d’aller à Dreamland, elle avait peur des insectes. Pas n’importe quel insecte, les gros où tous les détails hideux peuvent être facilement visibles. C’est pour ça que la jeune femme, même s’il ne s’agit pas d’un insecte, reculait à chaque fois face à une grosse araignée en courant de partout. Il en était de même pour les punaises, les énormes mille-pattes, les mante-religieuse, les scarabées rhinocéros etc…
Julie est d’un naturelle craintive et méfiante, elle ne se confit pas beaucoup et n’a confiance en presque personne. Elle parle peu mais parle bien, ce n’est pas une bavarde. Cependant, malgré son côté « geek » ou « rat de bibliothèque », elle adore chanter et faire l’imbécile quand elle est sûre que personne ne puisse la voir ou l’espionner…C'est-à-dire dans sa chambre. C’est exactement la même chose en ce qui concerne des choses plus intimes ou privée. En fait, la jeune femme est, si tout le monde le savait, surement pire que bien des filles, sur bien des points.
Elle envisage de déménager pour prendre son propre appartement.
♠ Histoire :
Née d’une nuit de printemps, le premier son qu’entendit Julie en sortant du ventre de sa mère fut le grondement de tonnerre. C’est surement à cause de ça que le bébé hurla pendant des heures tout en pleurant, sans se calmer. Néanmoins, elle ne garda aucun souvenir de cette nuit et oublia bien vite cet événement…Mais pas ses parents. Ce détail de sa vie reste, d’ailleurs, une anecdote qu’ils aiment ressortir chaque année à Noël.
Vers ses cinq ans, chez son grand-père, la petite Julie, en s’amusant, se fit piquer par deux guêpes. Elle en pleura pendant plusieurs minutes avant que l’on vienne la réconforter. Malheureusement, cet incident vit n’être quelque chose en elle. Au début, il ne s’agissait que d’une simple crainte et ça ne se voyait pas mais, peu à peu, l’enfant développa une peur envers certains insectes.
C’est vers la fin de son adolescence que cette peur s’aggrava encore : Julie commençait à voir des insectes un peu partout dans les coins d’ombres et commença à se renfermer sur elle-même. Et, à chaque fois qu’un insecte était dans son refuge, sa chambre, elle courait de partout pour demander à son père de l’enlever ou le tuer. D’ailleurs, tout du long du collège et au début du lycée, certains s’amusaient avec cette phobie et aimaient la voir aussi pâle qu’un fantôme…Ce qui ne l’aidait pas.
À sa majorité, la jeune femme consulta des psychiatres pour pouvoir se débarrasser de cette peur qui était, il faut le dire, assez handicapante. Mais, toute cette entreprise ne mena à rien.
Niveau études, après son baccalauréat littéraire en poche, Julie fut accepté en faculté de lettres au la main, au vu de ses notes d’examen. Son rêve était d’être professeur d’Histoire, ce qu’elle réussit à être après avoir passé son CAPES avec brio. Elle travaille donc actuellement dans un collège de Cannes, en France et est en train d’économiser un maximum d’argent pour déménager de chez parents. Oui, Julie vit toujours chez ses parents et, à cause de ça, n’aime pas trop parler d’elle car elle a un peu honte par rapport à ses collègues.
Sa première année est un vrai défi par contre. Le principal lui a demandé de devenir principal de la 3°D, classe réputé être la pire de l’établissement. Ainsi donc, en tant que débutante, elle se retrouve rapidement aux bords des nerfs…Même s’il ne s’agit que de la seule classe « turbulente » qu’elle a.
♠ Dreamland :
Un énorme cafard s’avança vers elle. L’insecte dépassait largement les quatre mètres de hauteur. Julie était terrifiée juste en le voyant et n’arrivait même plus à faire le moindre mouvement. Elle était paniquée et essayait de demander de l’aide. Comment se faisait-il que la rue était vide ? Ce n’était vraiment pas normal, surtout en centre ville. La jeune femme était donc seule face à ce monstre qui continuait d’avancer, la prenant pour de la nourriture.
Les craquements des mandibules étaient vraiment effrayants. Elle ne pouvait pas supporter ce bruit et ce fut un énorme effort pour elle que de se boucher les oreilles. Malheureusement, ça ne servit à rien et, au contraire, les claquements devinrent plus intenses. Sa tête allait surement exploser, c’est la sensation qu’elle avait tellement elle avait mal au crâne. Sous la pression et probablement par réflexe également, Julie ferma les yeux et les rouvrit, en espérant que tout ça n’était qu’un cauchemar.
La rue se changea en nappe et les bâtiments en plats ou paniers gigantesque. Le décor avait changeait pour devenir un énorme pique-nique. Et, qui disait pique-nique, disait insectes. Le cafard n’était, à présent, plus seul devant elle. Une colonie de fourmis commençait même à la bousculer pour se précipiter vers les tartines et autres sucreries.
« Qu’est-ce que ça signifie ? »
La jeune femme avait reprit le contrôle total de son esprit malgré le fait d’être toujours autant tétanisée devant le spectacle. Mais, le pire fut de voir deux énormes guêpes foncer droit vers elle. Courir ne l’aida pas à s’échapper et elle dut se cacher parmi la nourriture, ce qui était dangereux avec tous ces insectes en circulation. Le bruissement des ailes s’intensifiait de plus en plus et se rapprochait.
Pitié, pitié pitié, pitié !
Elle joignit ses deux mains comme si elle implorer quelqu’un, pour l’aider à fuir. Personne ne vint. Julie comprit alors que son seul recours était de quitter ce lieu, en espérant n’être pas prise en chasse par les invertébrés et, surtout, de rester discrète.
« BOUH !! »
Une énorme coccinelle se trouvait face à elle et la surprit. Sur le coup, elle hurla tout ce qu’elle pouvait. L’insecte, nouvel arrivant, avait une allure anthropomorphique et ressemblait à une petite fillette d’environ huit ou neuf ans...Il fallait, cependant, rester prudente.
« Je t’ai eu ! Je t’ai eu ! »
« Chut ! »
« Mademoiselle Julie est là ! Mademoiselle Julie est là ! »
Elle n’avait plus le choix, il fallait la faire taire. N’ayant, pour le moment, plus en tête qu’il s’agissait d’un insecte, surement grâce à l’aspect anthropomorphique et à la montée d’adrénaline, le professeur d’Histoire la prit avec elle comme otage, en lui bâillonnant la bouche avec un morceau de ficelle trouvé sur le chemin.
Sur le coup, Julie pensait vraiment en mode survie en acceptant, inconsciemment, de toucher et d’entraîner un insecte avec elle. Mais, à son grand malheur, la coccinelle se libéra en donnant un énorme coup dans le mollet de sa ravisseuse.
« Mademoiselle Julie est là ! Mademoiselle Julie est là ! »
Ce n’était qu’à cet instant que la jeune femme remarqua que la petite fille connaissait son prénom. Comment pouvait-elle le connaître ? Ça l’intriguait et sa curiosité commençait à la démanger. Cependant, elle était assez réticente pour la poursuivre vu que cela signifiait qu’il fallait retourner auprès des autres insectes.
Pourquoi ça n’arrive qu’à moi ?!
« Eh ! Attends ! »
La jeune femme se mit à courir aussi vite qu’elle pouvait pour rattraper la coccinelle. Plus elle avançait, plus son esprit était portait vers des souvenirs qu’elle avait voulu oublier ; comme ses années d’athlétismes. Au moins, ils ressurgissaient au bon moment, pour l’aider à se distraire de cet enfer.
« Mademoiselle Julie est là ! Mademoiselle Julie est là ! »
Elle était toute proche. Sans écouter sa peur, la poursuivante sauta et plaqua la poursuivie. À présent, les réponses n’allaient sans doute pas tarder. Mais, ayant oublié, pendant tout ce temps, où elle se trouvait, le fait de revoir l’énorme cafard la fit frissonner.
« Je vous l’ai ramené…Ça fait trois pucerons. »
Julie lâcha son otage et commença à reculer, tout doucement. Puis, elle fut bloquée par une des deux guêpes. L’hyménoptère avait son dard en garde, prêt à être utilisé. Il n’y avait plus aucune échappatoire : elle était encerclée.
« C’est pas juste ! J’avais parié qu’elle ne reviendrait pas… »
« Tu me dois un verre, Spike. »
Deux moustiques étaient en train de commenter ce qui était en train de se passer apparemment. Ils survolaient l’assemblée et semblaient parler paris. Car, effectivement, ils avaient parié sur ce qu’allait faire l’humaine : fuir ou affronter sa peur.
« Nelly, combien de fois je t’ai dis qu’il ne fallait pas parler dans les rêves? »
« Mais…C’est pas ma faute »
Sur le coup, la jeune femme ne savait même plus ce qui se passait autour d’elle. Des insectes avaient parié sur elle et, en plus de ça, parlaient comme si tout était normal. Même le cafard s’était calmé et avait prit une allure anthropomorphique, ressemblant presque à un vieil homme à présent.
« Désolée ma chère, ça ne devait pas se dérouler comme ça. »
Il s’agissait d’une des deux guêpes derrière elle. Mais, maintenant, les deux ressemblaient à des femmes fatales très peu vêtues, pour ne pas dire en lingeries très fines et presque transparente. De véritable cauchemar, Julie était passée dans le pays des fous.
« Qu’est-ce que l’on va faire maintenant ? C’est bien la première fois que ça nous arrive »
« Dans le royaume des Reptiles ça arrive régulièrement, Basile n’arrive jamais à tenir sa langue… »
« Et il se passe quoi après ? Les rêveurs sont considérés aptes pour devenir voyageurs ? »
« Ça, je ne sais pas… »
Elle était vraiment perdue avec tous ces termes qu’elle ne comprenait pas et, surtout, exaspérée de n’être qu’une spectatrice dans cette discussion qui tournait autour d’elle. Pouvait-elle au moins participer ? Ce n’était pas trop demandé au moins ? Sur le coup, elle fit la boude en croisant les bras et en faisant une tête assez énervée et irritée.
« Elle m’a prise en otage sans hésiter ! Elle n’avait pas peur de moi. »
« Tu avais ton apparence de fillette, ça ne compte pas vraiment. »
« Mais…C’est pas juste. »
Puis, la colonie de fourmis rentra en scène. Comme les autres insectes, elles avaient prit une forme anthropomorphique, ressemblant, à présent, à des militaires. L’une d’elle, avec des décorations, montrant son grade, s’avança vers le petit comité afin de donner son opinion sur le sujet.
« Colonel Ant, au rapport ! Mademoiselle Julie n’a pas été terrifié en se sachant bousculer par mon escadron, je plaide en sa faveur. Bien que l’on puisse dire que son entière attention était portée sur Monsieur B. qui l’effrayait. »
L’assemblée débattit comme ça pendant plusieurs heures, pour savoir si Julie allait, ou non, devenir une voyageuse. L’intéressée, bien qu’au milieu du cercle, était mise à l’écart, bien que certain lui demandait comment elle allait et lui expliquait ce qui se passait ou répondaient à ses questions. Finalement, un vote fut choisi pour les départager.
« …Et, vous n’avez le droit qu’à un seul vote, donc ne trichez pas. »
Après plusieurs minutes, le dépouillement des voix pouvaient commencer. C’était assez ridicule de voir ça. Et, si ça devait se savoir, il était probable que les autres prendraient la jeune femme comme un voyageur par défaut. Il valait mieux la forcer à se réveiller pour plus entendre parler de cette histoire et mettre un point final sur cette affaire. Ce n’était pas si important que ça, ce n’était pas comme s’ils avaient des quotas à respecter.
« Et la majorité est pour ! Mademoiselle Julie peut rester parmi nous. »
« Bienvenue parmi nous. »
« Je trouve tes lunettes très…grosse…Hmm hmm. C’est un compliment. »
« Bienvenue parmi nous. »
Pendant que tout le monde la félicitait pour une chose assez absurde et pendant qu’elle était en train de se dire que tout ce beau monde était prêt pour faire une visite en hôpital psychiatrique, Julie commençait à voir les choses de plus en plus flous et de plus en plus éloignées. Peut-être qu’elle allait se réveiller ? En tout cas, elle se sentait comme aspirait vers le ciel.
J'aime -
1. Pumpkin, son chien
2. Lire
3. Écrire
4. Naviguer sur Internet
5. Le calme | Je n'aime pas -
1. L’intolérance
2. Les punaises (pour l’odeur)
3. Recevoir des ordres
4. Les moqueries
5. Le bruit/le vacarme |
- Phobie : Entomophobie, peur des insectes, même si cette peur est « ciblée » sur certaines espèces.
- Pouvoir : Julie devient un morpheur et peut se changer, soit en insecte de son choix (à taille réelle par contre), soit transformer son corps en nuée d’insectes afin d’évider un affrontement brutal, un coup ou tout simplement charger son adversaire.
- Objet magique : (Si tu en as un. Evidemment, il y a très peu de chance que tu puisses avoir un objet magique si tu as un pouvoir. Les objets sont surtout là pour les voyageurs et créatures sans pouvoirs.)
• Le personnage sur ton avatar : Vera de Scooby-Doo
• Rang spécial désiré :• Relation prédéfinie :
• Code du règlement :
Derrière l'écran...
-----------------------------------
• Prénom ou pseudo: Julie Augustin (gardons le nom du perso’)
• âge: 24 ans et toutes mes dents
• comment as-tu connu le forum ? J’ai tapé « Dreamland » sur Google ?
• Connais-tu Dreamland ? Oui
• Depuis quand fais-tu du rp ? Depuis début 2011.
• Pourquoi as tu choisi ce forum? C’est difficile comme question…
• Des critiques sur le forum ? Aucune, sauf des positives peut-être.
• Une remarque ? Nop
Sujet: Julie Augustin, la voyageuse élue par les insectes 
Dim 4 Jan - 18:27
