Dream Land Infinity RPG
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 Hey the crow I'm Batman !

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MessageSujet: Hey the crow I'm Batman !   Hey the crow I'm Batman ! I_icon_minitimeJeu 3 Juil - 16:27

Maitre corbeau sur un immeuble perché
Pouvait voir l'immeuble que le sang ravage
Maitre Batman par la peur délaissé
Lui tint à peu près ce langage

"Hé zyva' t'est qui Starfoullah ?"

C'est avec toute la finesse de son parlé que Hély prononça le mots doux, raisonnant comme le bruit de poubelle que l'on jette au vide ordure. C'était comme ça que se marquait la rencontre de Crow et Batman.

Bon faut dire que Hély il est pommé, c'est un peu sa première nuit dans Dreamland et l'immeuble dont il a jaillit était celui où il avait du affronter sa peur des rongeurs ailés. Voilà qu'il ressort couvert de sang et qu'il voit l'ombre de The Crow. Dans sa tête il pensait que c'était un mec, mais il lui était difficile de définir un sexe, il pouvait bien lui faire le coup du "ta braguette est ouverte le petit oiseau vas sortir... Non, pas faire une photo... Je t'arrête tout de suite jeune incongru ! Mais il pouvait aussi bien la questionner franchement.

Avec un peu de chance le voyageur lui donnerait son nom en se présentant, mais avant celà, Hély lui, contemplait le ciel pensif, le ciel camouflé par le vol de ce qui désormais sont ses semblables, cet ultrason qu'il avait émis c'était le pouvoir qui lui était attribué !

Dreamland s'était nourrit de sa peur et lui, il se nourrissait de Dreamland. Bien que profondément Ahuris, avec le minimum de jugeote dont il était doté, il comprit la nature de ce lieu. Aussi décida-t-il d'en apprendre d'avantage sur ce monde captivant en posant une nouvelle question au corbac avant qu'il ou elle n'ai pu répondre à la précédente !

"Est-ce que tu peux me parler, d'ici ? Enfin de ce monde, ça m’intéresse"

Il était bien naïf le Hély, qui sait si les intentions de son interlocuteur était pacifiste, bah lui il s'en fichait pas mal, il se sentait tout puissant avec son pouvoir, qui sait ce qui allait se passer.

Dans la fable c'est le corbeau qui fait tomber le fromage.
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MessageSujet: Re: Hey the crow I'm Batman !   Hey the crow I'm Batman ! I_icon_minitimeJeu 3 Juil - 22:16



Hey the Crow I'm Batman !
feat. hély Δ douzième nuit
MUSIQUE
Lorsque tu fermas les yeux, ce n'était pas volontaire. Tu étais juste trop fatiguée pour rester éveillée plus longtemps ; alors tu t'es tout simplement endormie sur ton comics, la tête entre tes bras. Tu n'as pas réfléchi à quoi penser, ni même à quoi rêver. C'est venu sûrement tout seul, comme une envie de pommes. Lorsque tu as rouvert les yeux, c'était encore un nouveau lieu. Tu n'es jamais tombée deux fois au même endroit, pour le moment. Tu te retrouves chaque jour à une place différente ; ou du moins chaque nuit. Cette fois-ci, autour de toi, tout semble lugubre. Il y fait nuit. Ce n'est pas l'ombre de ces grattes ciels qui assombrit la ville, mais plutôt ce ciel couvert. Couvert de quoi ? Tu ne sais pas. Cela ne semble pas être des nuages, mais c'est bien trop haut pour toi. Tu vois l'obscurité bouger, menant une sorte de danse autour de la lune. On dirait des oiseaux ; mais les seuls oiseaux de nuits ne vivent pas en ville. Alors tu ne sais guère. Tu n'as pas idée du lieu où tu t'es retrouvée. Tu ne sais même pas comment tu y es arrivée. Mais ce n'est pas grave, tu vas visiter.

Autour de toi semble se dresser un champ de hautes bâtisses. C'est une grande ville, presque digne de Metropolis. Les rues ne semblent pas être très éclairées, certaines ampoules de lampadaires clignotent, semblant ainsi vouloir rendre l'âme. Et pas âme qui vive, pas de fenêtre allumée ou ouverte. On dirait presque que la fin du monde est passée par ici. Pas âme qui vive ; pas de cœur qui bat. Le silence presque total, un trépas presque sans foi. Il y a ces battements d'ailes ; ces battements qui brisent le ciel. Ils déchirent ce silence, ils brouillent la clarté de la lune. C'est digne d'une apocalypse, digne de la fin de tout. Tu n'as pourtant pas voulu être ici, tu n'as pas voulu être dans cette dystopie. Mais la vie semble partie, l'humanité semble détruit. Ce n'est qu'un rêve, mais c'est si brusque. Tout cela paraît si réel que tu en oublis la vérité.
c'est la fin de la fin du monde
même si ça ne dure qu'une nuit
S'il n'était pas assombri, tu jurerais que le ciel pourrait pleurer sa peine. Qu'il pleurerait sa perte. Mais il est si morose, si loin et intouchable. Il ne semble même plus appartenir à ce monde, mais à ces bêtes qui bougent en nombre. Tu en vois certaine se lever du haut des immeubles, pour rejoindre leurs congénères, alors que d'autres se posent. Ce n'est pas humain. Ce n'est pas comme toi. Elles ne t'observent pas ; elles semblent indestructibles du haut de leurs toits. Ton cœur ne doute pas, cette ville est leur et elles sont reines. Ces créatures inconnues qui semblent festoyer en l'air, si près de ce ciel que tu tentes de voir. Elles sont si nombreuses qu'elles pourraient faire une toile de toute leur grandeur. Elles pourraient recouvrir le monde de leur noirceur. Mais elles n'ont font rien. Et tu ne fais rien non plus face à cela. Tu plisses juste les yeux pour tenter de voir plus loin. Tu plisses les yeux avec l'espoir de discerner leur apparence.

Entends les hurler ; entends les pousser ces cris stridents. Ils résonnent si douloureusement à tes oreilles que tes mains viennent les protéger, avec l'envie de pouvoir entendre un royal silence. Ces choses ne sont décidément pas humaines, elles sont monstrueuses, aussi sombres que la nuit elle-même. Et toi, Juliet, tu ne peux que frémir face à ce son. La peur te remonte le long de l'échine et tes yeux restent fixés en direction du toit du monde. Sens-tu ton cœur s’accélérer ? Perdre son rythme initial, s'emballer. Il bat si fort et tes pulsions ne sont en rien calées. C'est la peur qui te procure cet effet. Cette peur qui te fait rendre compte que ces cris étaient déjà présents avant, mais que tu n'étais pas concentrée. Cette même peur qui t'a fait comprendre, cette nuit-là, ce que tu étais. Cette peur doublée d'adrénaline, l'exacte jumelle de celle d'il y a douze nuit de cela.

Et ces créatures volent encore, battent des ailes. Et tes yeux les discernent, tes yeux les comprennent presque. Des chauves-souris qui battent des ailes. Des vulgaires chauves-souris qui règnent. Dans quel rêve t'es-tu retrouvée ? Dans quel cauchemar singulier as-tu attirée ? Tu n'en as pas la moindre idée. Et tu es trop surprise, bien trop choquée et intriguée pour oser te réveiller. Alors tu restes endormie, ici. Tu restes là, le cœur qui bat, à observer ce ciel qui semble surnaturel. Il n'y a que toi et leurs bruits. Il n'y a que toi et eux, ici. Tu fermes les yeux, respirant profondément. Chacun de leur mouvement résonne, encore et encore. C'en est presque relaxant. Mais c'est pourtant si horrible à la fois. Combien sont-ils ? Tu ne sais pas, tu ne sais guère. Ce monde ne semble, soudainement, pas avoir souffert. Et pourtant, le son qui y résonne est comme la musique de l'enfer.

Alors que tes paupières sont toujours fermées, tu entends des pas non loin de là, à quelques mètres seulement de toi. Tu ne fais rien, tu ne bouges pas. Qui sait, peut-être un autre qui s'est perdu ici. Il te parle. Ou du moins, tu penses que cela est l’équivalent de la parole. Pour toi, c'est une sorte de charabia. Ce n'est pas français ; tu détestes ceux qui parlent comme cela. Alors tu ignores sa première question, tu restes silencieuse, concentrée sur les battements de ton cœur qui semble s’apaiser. Tu ne sais pas s'il a compris que tu ne voulais pas lui parler, mais il te questionne de nouveau. Comme si tu savais. Comme si tu avais les réponses. Tu ne fais que voir, tu ne comprends pas tout. Tu ne fais qu'observer, tu ne racontes pas encore.

Il ne bouge pas, il ne parle plus. Il doit attendre ta réponse, et si tu ne lui réponds pas, il te demandera sûrement autre chose. Mais sa première t'a fait si mal au cœur, pour cette chère langue de Molière. Cette première phrase aurait pu te faire saigner les tympans. Et il ne parle sans aucune forme de politesse ; croit-il être ton ami ? Tu ne le connais pas. Il a déjà fait des faux pas. Alors tu soupires, et tu parles d'une voix claire et nette, mais pas trop haute. Tu ne veux pas attirer la foudre de ces bêtes.

Δ Premièrement, tu vas te calmer tout de suite, surtout quand tu me parles. Je ne suis pas ton amie, on ne se connaît pas, tu me dois donc un minimum de respect. Le langage de la cité, très peu pour moi, vois-tu ? Secondement, hum, il n'y a pas de secondement. Pourquoi doit-on absolument dire secondement quand on dit premièrement, d'abord ? C'est n'importe quoi.

Ce que tu dis est n'importe quoi. Toi qui voulait être sérieuse, tu as quand même raconté des âneries lors de la deuxième partie. L'influence de Caleb, il y a deux nuits de cela, a dû être néfaste à ta façon de penser. C'est la seule réponse possible. C'est la seule logique que tu vois. Tu ouvres les yeux et te décales un peu sur le côté, afin de l'observer d'un œil. Un adolescent, visiblement. Tu lui donnerais au grand maximum seize ans, au grand minimum treize. Il ne doit pas avoir le même point de vue que toi sur la situation, sur cet endroit, ce nouveau lieu. Sait-il seulement qu'il en existe d'autres ? Tu ne sais pas. Mais ton cœur te pousse à lui dire ce que tu ressens pour le moment ; ce que tu ressens à l'instant. Alors tu parles, à la même intonation que plus tôt. Et ta voix est bancale, elle tremble. Pourtant, toi, tu ne trembles pas. Tu restes droite face à ce spectacle.

Δ Ce monde là … ressemble à l'enfer.

Tu regardes de nouveau le ciel. L'enfer, ce n'est pas ça. Sartre l'a dit, l'enfer, c'est les autres. Pourtant, tu ressens un sincère malaise ici ; tu n'es pas à ta place. Tu ne sais pas pourquoi. Et tu t'en inquiètes. Car même si ta respiration est de nouveau modérée, la boule dans ton ventre est toujours présente. Tu as ce nœud au cœur qui t'empêche de penser calmement, cette petite réticence de l'esprit qui te fait douter. Tu te mords la lèvre inférieur, tes pupilles tremblantes. Cette danse est macabre, qui sait si elle n'est pas saignante. Tu tournes de nouveau les yeux vers lui. Il n'en verra qu'un, car tu n'es toujours tournée qu'à moitié vers lui. Tu tentes de reprendre une voix soutenue, non pas hésitante.

Δ Depuis combien de temps es-tu ici ? Qu'est-ce que tu fais-là ?

Tu as besoin de savoir. Tes yeux sont toujours posés sur lui, tu ne le juges pas mais ça en a tout l'air. Tu attends sa réaction. Il n'y a pas que lui qui pose des questions, tu es là toi aussi, dans cette ville qui résonne à ton humble avis comme l'enfer. Les bâtiments montent trop, ils sont installés comme dans un champ de vignes. Tu as presque l'impression d'être écrasé par le poids du béton autour de toi, par le poids des bêtes au dessus des toits. Tout cela est presque digne du premier Batman de Nolan, lors de la fuite du justicier camouflée grâce aux chauves-souris.

Tu te prends une giffle mentale en pleine face. Juliet, ton putain de comics, c'était Batman.



[hrp; les paroles en italiques et décalées de la marge viennent de La fin de la fin du monde, de Calogero]
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MessageSujet: Re: Hey the crow I'm Batman !   Hey the crow I'm Batman ! I_icon_minitimeSam 5 Juil - 16:23

Tient, à sa voix il avait reconnu la grâce et surtout la niaise intonation d'une femelle ! Tss, mais pour qui elle se prend ! Non seulement elle se la pète grave et en plus elle décide de ne pas répondre à certaines de ses questions ! Hély, il n'est pas du genre à laisser passer ce genres de choses ! Elle surjoué mais tellement mal ! Bordel, le roux ne pourrait plus contenir son envie de lui mettre des baffes très longtemps ! Il à craqué lorsqu'elle à dit

"Cet endroit ressemble à l'enfer !"

"On est pas dans un putain de film !!! Alors tu peux stopper ce rôle de BARBIATCH ! Tout de suite, parce que t'est tête à claque c'est horrible"

Il serra les poings, sa rage montait en lui ! Il voulait la frapper, laisse le faire... Il entendait une voix dans sa tête, elle lui disait "Tue la" alors qu'attendait il "Allez, tue là" toi aussi elle t'énerve pensa t'il ! Derrière lui se tenait une chauve souris géante, c'était elle qui lui chuchotais  ce qu'il devait faire ! Hély regarda mieux, il s'agissait de Crystal, la fille dont il était amoureux dans la réalité, elle aussi était voyageuse, et elle avait la même phobie que lui, bien qu'encore à cet époque là les termes voyageurs et voyageuses se rapportant à Dreamland était encore inconnu à Hély !

"FUCK YOU" dit -il en tirant la langue et en se faisant pousser les griffes de tout à l'heure... On vous l'avait bien dit, il est totalement imprévisible, et quand il est lançé, on ne l'arrette pas !

"Headbang INSIDE" Hurla-t-il en une ultrasons puissante, si il avait réussi, comme tout à l'heure, elle devrait exploser, eh oui... Sauf que non ! C'est étrange vous ne trouvez pas ! Il viens juste d'arriver, et quand mien même il n'a aucune idée de l'étendue et de la fonction de ce monde, la notion de pouvoir, elle, fut la première que le batman rouquin comprit ! Et bien qu'il ne saisit pas tout de suite pourquoi son attaque ne faisait pas le même effet que sur les bestioles de tout à l'heure.

Il eu juste le temps d'attraper la comédienne par le col avant de lui dire

"Maintenant tu t'arrête de te foutre de ma gueule, sinon je vais tellement te refaire ta face en 8bit que tu pourras te présenter au casting du nouveau Flappy Bird !"

Dans ses yeux brillait une lueur rouge, celle du sang qui brillait d'avance dans ses yeux, Batman, il était mauvais, bien plus qu'on ne le pensait ! C'était sûrement du au fait qu'Hély c'est un petit gamin, avide de pouvoir, désirant se rendre intéressant et se donner une raison de briller devant les autres, le genre de gars à mettre sa vie de façon stupide en danger pour que ses potes lui disent "ouah t'est trop fort".

Mais bon là il avait surtout envie de faire le coq devant Crystal, peut être qu'elle, lui donnerait plus  d'explication, en attendant il avait un piaf à déplumer !
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MessageSujet: Re: Hey the crow I'm Batman !   Hey the crow I'm Batman ! I_icon_minitimeJeu 10 Juil - 20:45



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feat. hély Δ douzième nuit
Sa réaction fut la raison de ta surprise. Tu ne t'attendais certes pas à une joie euphorique face à tes réponses, mais tu n'avais pas non plus pensé qu'il allait s'énerver à un tel point, et au passage, utiliser un mot dont l'orthographe te ferait sûrement vomir si tu la voyais. Mélanger le nom du poupée populaire chez les gamines de cinq ans avec une insulte en anglais, ce n'est pas vraiment ta passion. Mais il faut croire que c'est la sienne. Du coup, tu grognes et tu mets tes mains sur tes hanches, te tournant vers lui pour mieux le voir et, qui sait, tenter de comprendre quel est son problème. Et là, tu vis avec horreur ce qui était non loin de lui. Un Man-Bat sortie de l'encre, un monstre de Talia et de sciences. Ta mine dégoûtée ne doit pas tromper ; tu n'aimes pas cette vue. Ton nez se fronce et tes yeux se plissent. Le rouquin ne semble pas choquer de cette présence, à croire qu'il à l'habitude. E après, il ose de te demander où il est ? Il te prend pour une conne, n'est-ce pas ? S'il ne savait pas, comment pourrait-il rester aussi impénétrable face à cette découverte. À tous les coups, c'est un sorte d'invocateur de chauve-souris qui faisait semblant de ne rien savoir de ce monde. Et ta remarque sur ce lieu ne lui a pas plût. « Qu'il nique sa mère. » Dans tes pensées, on peut lire toute la grâce d'une petite racaille de la rue, ces racailles que tu hais tant et dont tu veux refaire le portrait à chaque fois que tu les croises en rentrant dans ton logement étudiant. En fait, il t'ont un peu contaminé dans leur langage, ou tu utilises juste cette phrase car elle est celle qui correspond le mieux à ce que tu voulais dire ; soit qu'il aille niquer sa mère. Pour en revenir au rouquin, tu ne te doutes pas qu'il est énervé, ça se voit énormément. Il t’injuries même, te criant en anglais d'aller te faire foutre. Sale gosse. À ton époque, de telles paroles n'étaient pas acceptées. Si tu avais dis ça à ton père, tu serais probablement partie te cacher sous ton lit en espérant qu'il ne te trouve pas. Bien entendu, ton père n'est pas bête ; il t'aurait forcément trouvé et passé le savon du siècle. Après tout, ton père n'est pas gay et il n'y a donc aucune raison qu'il aille faire ce genre d'actes de sodomie. Oui, Juliet, tu as choisis de comprendre cette phrase dans le véritable sens, pas en tant qu'insulte. Après tout, il n'a jamais crié métaphore ou autre. Du coup, tu as raison ; forcément.

Alors que tu allais dire à ce gamin de se calmer sur ses paroles et sur ses gestes qui te semblaient fortement décalés, il se mit en tête de hurler violemment. Ta bouche était donc juste restée entre ouverte alors que le cri résonnait à tes oreilles. Tu n'eus même pas le réflexe de mettre tes mains sur ces dernières. Tu es juste restée immobile, ton cerveau se prenant un sacré coup sans même que tu puisses t'en rendre compte. Tu n'avais pas prévu ça ; tu ne l'as pas compris non plus. Et lorsque tout sembla fonctionner de nouveau normalement dans ton crâne, il était entrain de t'agripper par le col, commençant à te menacer d'une manière stupide. Ton regard se baisse vers le sien, il y a cette petite chose en lui qui te met en rogne. Cette lueur dans son regard qui ne signifie rien de bon. Alors, tout ce que tu trouves à faire, c'est de l'attraper à ton tour, de la même façon dont il osa te toucher, et de le surplomber du haut de ta taille. Tu sers peut-être même un peu plus fort que lui l'habit dans ta main. Ce gosse te saoul, clairement.

Δ Tu t'es cru drôle à parler de ce jeu ? T'as cru que faire de l'humour c'était de mettre un clin d'oeil à un truc populaire pour les jeunes ? Oh, ne me dis pas que tu penses être un pro-gamer si tu joues à ça ; tu vas me faire pleurer, gamin.

Tu le lâches en le repoussant violemment. Tu ne le supportes déjà pas. Avec ses grands airs, les manières avec lesquelles il te répond ; il n'a aucun respect et tu hais ça. Tu veux prendre sa tête et la claquer contre un mur. Brutalement. Clairement. Immédiatement. Mais tu te retiens. Tu dois rester calme, ne pas t'énerver. Sinon, qui sait, tu verras peut-être des plumes pointer le bout du nez sur ta peau. Ou un seul de tes pieds se transformer sans que tu le veuilles vraiment. Franchement, respires posément, Juliet. Respires et restes calmes, ne te laisses pas submerger par tes émotions ou ta colère.

Δ Rentres chez toi avec ta chauve souris, je n'ai franchement pas envie de me battre avec toi.

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MessageSujet: Re: Hey the crow I'm Batman !   Hey the crow I'm Batman ! I_icon_minitime

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