Toutes les légendes ont un début ▬ Joël Hamel [100%]

Joël Hamel
« Le premier coup fait la moitié du combat.  »

★ Nom : Hamel. ★ Prénom : Joël. ★ Surnom : Ifrit - Le Démon des Flammes. ★ Age : 28 ans. ★ Sexe : Homme. ★ Où habites-tu ? : Saint-Denis ( Île de la Réunion ) ★ Activité : Gérant & Barman d'un bar.

Ton histoire...

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♠ Description Physique : Bien bien, nous y voilà. Commençons doucement avec une petite introduction qui portera sur le corps du gus que je suis, quel privilège n'est-ce pas ? Ne me remercies pas, je ne mérite pas autant (tu dis oui et tout se passera bien entre nous deux). Pour bien débuter un physique, il suffit de commencer par les yeux. Oh les jolies pierres brillantes placées entre mes orbites, d'une couleur semblable à un rubis sous les rayons du soleil. Ces yeux d'une rareté si attirante sont surmontés par deux sourcils, ni trop épais ou fins, qui me permettent d'accentuer les expressions que je pourrais avoir sur mon visage. Tiens ! En parlant de visage, tu sais que j'ai un magnifique nez qui surplombe mes lèvres ! Plutôt pas mal hein ? Peu de gens peuvent avoir un visage avec autant de charme, surtout que j'aime garder un côté naturel et presque bestial en laissant ma barbe pousser. Elle fait bien le tour de mon visage et de ma bouche, me donnant l'air d'avoir dix ans de plus... Mais je t'assure que je suis presque dans la fleur de l'âge, je n'ai que 28 ans ! Quant à ma tête, je peux t'e dire qu'elle n'est ni trop ronde, ni trop carrée... Nan, j'ai une bonne tête, sérieusement. Mes cheveux sont aussi libre que moi, assez longs pour descendre en dessous de ma nuque, ils sont de nature rebelles et ne restent pas en place une seconde, heureusement que j'ai mon bandeau rouge écarlate sur la tête pour éviter qu'ils ne traînent devant mes yeux. Comment pourrais-je me battre si je ne vois même pas où je frappe ?

Bref, la tête pensante étant faite, passons au corps musculeux et entretenu de l'Adam que je possède. Je suis plutôt grand pour un français, je passe mon temps à me disputer avec le petit centimètre entre le 1m99 et les 2m. Saleté, je suis sûr que si j'avais bu plus de lait et que je m'étais entraîné pour, j'aurai vaincu ce centimètre maudit. Si tu regardes bien - quoique, je suis sûr que tu le verrais même si tu vois mal - j'ai un corps assez musclé, plutôt que massif. Un torse bombé, des plaques dessinées au niveau de mon abdomen, des bras épais et des jambes solides, voilà pour résumer la chose. Il n'y a pas que le sport qui permet de tailler un tel palmarès de muscles, mais de nombreuses années à pêcher en pleine mer avec la famille, c'est plutôt lourd les requins tu sais ! La vie n'a pas tout le temps était gentille avec moi, j'ai été confronté à pas mal de situation qui me coûtèrent de nombreuses blessures, plus ou moins importantes et visibles. Mon corps est recouvert de cicatrices, notamment des coupures. J'en ai sur le visage, les bras, le torse, dans le dos, les jambes etc... Bref, un peu partout quoi. Niveau vêtements je suis pas très compliqué, dans la vie réelle je mets un peu ce qui me plaît, des jeans et des chemises pour le travail, voir même pour la vie de tous les jours. Je ne suis pas très compliqué comme garçon. Par contre dans Dreamland, j'évite de chercher très loin puisqu'en général je porte pratiquement les mêmes habits lorsque je rêve : c'est-à dire une salopette bleue dont je n'utilise pas les sangles pour recouvrir la partie supérieure de mon corps, je l'utilise plus pour le porter comme un short à vrai dire, sans parler du tissu d'une couleur jaune/orange que j'enroulais autour de ma taille. En guise de protection j'ai un morceau d'armure qui recouvre mon bras gauche, avec un gantelet de métal ainsi qu'un tissu de maille qui comble les endroits que ne protège pas mon gantelet.

Enfin bref, c'est tout ce qu'il y à savoir pour l'instant ! Tu hésites encore à te dire que je suis fort physiquement ? Alors n'hésites pas à tendre ta joue pour recevoir mon poing petit !

♠ Caractère : Ha ha, on passe à la psychologie apparemment, hein ? Pas la peine de chercher bien loin, je ne suis pas non plus le plus compliqué des humains sur Terre, je n'ai pas des idées capables de rendre fou un psy ou qui que ce soit. Je ne suis et n'ai jamais été un psychopathe qui torturait de pauvres animaux abandonnés dans la rue, au contraire je préférais les ramener à la maison. C'est peut-être pour ça que ma maison de célibataire est remplie de chiens et de chats égarés... Bah, ils n'ont pas envies de partir et j'adore les animaux domestiques, tout le monde y trouve son compte donc je ne vais pas me plaindre. Malgré les apparences, j'ai beau donner l'impression d'être le grand type qui passe son temps à faire peur aux jeunes enfants, je suis aussi doux qu'un agneau. Sérieusement, c'était quand j'étais jeune que je passais mes journées à me battre avec les autres dont la tête me revenait pas, aujourd'hui je suis plutôt posé et je coule des jours heureux dans mon bar, sur ma petite île de rêve, où je peux avoir le soleil tous les jours et la plage à portée de main. Oui j'aime la plage et le soleil, cette lumière qui illumine ton teint, ce doux vent marin qui caresse ta peau, ce sable chaud qui recouvre tes pieds... Il n'y a pas à dire, la plage c'est le paradis sur Terre. Bon, j'ai beau parler des arbres ou de la mer, ce que tu souhaites savoir c'est de voir comment j'entrevois le monde à travers mon regard... Pour moi, cette île représente ma terre natale, j'ai grandi ici et je compte bien écouler mes vieux jours par ici, mais j'ai toujours... Rêvé d'aller ailleurs. Rêvé de quitter ce sable chaud, ce foyer réconfortant, de partir à l'aventure quoi. Puis un jour, Dream Land est rentré dans ma vie, où plutôt c'est moi qui suis entré à Dream Land en tant que voyageur...

Comment je l'ai vécu ? Hahaha, tu verras bien plus tard, en attendant sache que je jouis d'une grande liberté en parcourant ces terres. Le monde des rêves était une opportunité pour moi de voyager, de faire ce dont je n'avais pas envie de faire dans la réalité. Même si c'était beaucoup plus dangereux à travers les rêves, à cause des autres voyageurs ou des seigneurs du cauchemars, je m'en fichais. J'étais une flamme libre, libre de voyager. Si c'est pas cool ça, je sais pas ce qu'il te faudrait. Sinon, je suis un homme de principes, j'ai des valeurs qui me sont propres et je les respecterais jusqu'à la fin, et ce peu importe qui se dresse devant moi. Que ce soit un dragon, un seigneur du cauchemar ou un duc de l'ombre, personne - je dis bien personne - n'a le droit de priver à quiconque (et surtout pas à moi) sa liberté, au risque de prendre mon poing dans la face. Je déteste lorsqu'on empêche les gens de libérer leurs ailes, surtout dans le monde des rêves quoi. Mon premier principe est la liberté, le deuxième est la victoire. Ne jamais perdre face à la personne en face, ce qui signifie ne jamais abandonner, peu importe le temps et les blessures que cela prendra, je serais toujours debout pour affronter les dangers. Le troisième, c'est le respect bien entendu, un véritable guerrier respecte ses adversaires même si ces derniers ne sont pas forts, et rien que l'idée de rencontrer des personnes avec cet état d'esprit n'est que plus plaisant. Un autre de mes principes, c'est de n'avoir jamais de regrets, et de faire ce dont j'ai envie, de vivre selon mes propres lois. Cela rejoint mon premier principe tu me diras mais je le reprécise quand même, ne sait-on jamais...

En soit, lorsque je me bats avec un autre je n'hésite pas à parler, à provoquer aussi. Je suis le genre de type qui même s'il vient de s'en prendre une entre les dents qui revient avec des arguments juste pour ennuyer l'autre. De plus, je ne suis pas quelqu'un qui se cache, si j'ai quelque chose à dire je le dis, il en va de même pour mon langage, si j'ai besoin d'insulter pour exprimer ce que je ressens bas... J'insulte, point. On ne va pas appeler un chien un chat, pas vrai ? Bon... J'ai jamais été vraiment doué pour parler de moi, que ce soit pour la psychologie ou autre... Tout que ce que tu as à savoir sur moi, c'est que je te prends quand tu veux ! Alors, on fait ça où ?

♠ Histoire : La vie a son lot de moments importants, que ce soient de bons ou de très mauvais souvenirs d'ailleurs. Pour ma part je ne saurais dire si j'ai eu une vie exemplaire, ou si j'ai été plus heureux que triste. Le meilleur moyen de le savoir, c'est de commencer par le début, j'imagine. Je suis né à Saint-Denis, à la Réunion. Mes parents sont tout de suite tombés amoureux l'un de l'autre à la première rencontre, faut croire que le coup de foudre ça existe, tant mieux. Ma petite enfance je l'ai vécu à l'intérieur du nid d'amour concocté par mes parents, qui même s'ils n'étaient pas forcément les plus riches de la ville, pouvaient facilement laisser de côté leurs soucis lorsqu'ils repensaient à leur petit enfant. Très vite durant la primaire je n'étais pas intéressé par l'école, je préférais largement partir en mer avec mon père qui était un professionnel dans le domaine de la pêche. Même si cela ne plaisait pas à ma mère que je sois autant focalisé sur la pêche que mes études, elle ne pouvait affronter le sourire que moi et mon père lui adressions. Tout était si simple à l'époque... Je vous laisse imaginer que beaucoup de choses changèrent à l'adolescence, comme pour tout le monde. Le collège fut l'une des périodes de ma vie les plus mouvementées, entre les bagarres avec les futurs lycéens, les professeurs énervants et collants, les disputes avec les gonzesses qui s'épataient qu'on les traitait de traînées... Bref, un chapitre bien chiant. Et je ne parle pas de mes nombreuses soirées à s'engueuler avec les parents. Bien que mon père appréciait que je lui donne pas mal de coups de mains à la pêche - au prix de quelques blessures, rien de bien méchant - j'avais l'impression que lui et ma mère s'étaient ligués contre moi pour me faire la morale et me forcer à devenir « quelqu'un » par les études...

Je n'ai même pas besoin de vous faire un dessin sur ma réaction, j'étais un gosse qui, alors qu'il sentait ses ailes pousser petit à petit voyait des murs de plus en plus grands se dressaient devant lui. J'en avais assez qu'on me dise ce que je devais faire, je voulais être ce que je souhaitais être, point. Aucune journée ne passait sans que je sois de mauvaise humeur. Enfin, jusqu'au jour où ma mère fasse une chute. J'étais en cours au moment où on m'a appelé, je n'avais pas hésité à aller la rejoindre à l'hôpital. J'avais retrouvé mon père qui semblait désespéré dans le couloir. Il m'expliquait avec une voix détruite que les médecins étudiaient une maladie qui s'était déclenchée chez elle depuis longtemps, et qu'elle avait cachée... Un cancer. La mèche de mon coeur s'était allumée, ayant l'effet de faire battre fort mon organe battant, au point à me faire mal. Je ne pouvais plus rien dire, jusqu'à ce qu'un médecin sorte de la chambre et s'adresse à moi et à mon père. « Je suis désolé... Nous ne pouvons plus rien faire à ce stade du cancer... » Finalement, la mèche fit exploser la bombe en moi, au point que j'hurle en prenant par le col le docteur et que je le frappe.

▬ Vous mentez ! Maman ne peut pas mourir, pas maintenant ! Vous avez pas le droit de la laisser tomber !

J'avais continué à le cogner contre ce mur, même si plusieurs personnes finirent par me saisir par derrière, à commencer par mon père qui m'ordonnait d'arrêter. C'est en larmes que lui et moi, nous tombions à genoux dans le couloir, alors que je serrais les poings à en saigner tandis que mon père se mordait la lèvre... Quelques jours plus tard, je fus autorisé à rendre visite à ma mère sur son lit d'hôpital - parce que bon, après avoir tabassé un des médecins ce fut plutôt difficile de rentrer - elle avait maigrit, moi aussi. Je ne mangeais plus grands-choses depuis sa chute, je parlais très peu aussi. Assit à côté d'elle, j'ai vécu le moment qui fut le tournant de ma vie...

▬ Joël... Tu as tellement maigris, tu manges bien j'espère ? J'ai appris que tu avais fait des siennes au médecin qui s'occupe de moi, j'étais inquiète...

▬ Pardon Maman, c'est juste que...

Serrant le poing, je ne savais pas quoi dire, j'avais à la fois si honte et si peur, j'étais en colère mais à la fois triste, j'avais envie d'accuser le monde mais de m'excuser auprès d'elle. J'avais à la fois si mal alors que je me sentais si vide. C'était insoutenable... Aussi pire que de faire face à une flamme brûlante.

▬ Je sais Joël... Tu sais, je me suis toujours demandé si je ferais une bonne mère, si avec ton père je serais capable de t'offrir ce que je n'ai pas pu avoir. J'ai toujours voulu être à la hauteur du défi que tu étais, toi et ton père ensemble furent les plus belles épreuves que Dieu ait pu m'offrir. Je regrette juste de ne plus pouvoir rester pour m'occuper de ton père, et de toi mon chéri.

Tremblante, les larmes aux yeux, elle pleurait devant moi tandis que je m'étais levé pour l'enlacer, n'hésitant pas à pleurer avec elle.

▬ Je suis désolé Maman, si seulement je pouvais changer tout ça...

A la sortie de l'hôpital, je sors le paquet de cigarette de ma mère alors que la pluie commençait à tomber. Je fermais les yeux en allumant le briquet pour commencer à fumer une cigarette. C'était ma première cigarette, ma première bouffée de fumée. Ca avait un goût infect, mais je ne pouvais pas m'empêcher de la terminer pour éviter de penser à l'inévitable qui se produira la semaine prochaine... 20 Juin 2002, Louise Hamel meurt d'un cancer du poumon. L'enterrement se fit quelques jours après. C'est face à sa tombe au cimetière que j'ai fait une promesse, que je ferais tout pour qu'elle soit fière de moi là-haut et qu'elle voit à quelle point elle fut la meilleure mère que le ciel ait vu éduquer l'enfant à problème que j'étais...

12 ans plus tard, que se passe-t-il au final ? Et ben au jour d’aujourd’hui je possède avec moi mon baccalauréat, mon diplôme obtenue à la fac de lettres et me voilà désormais gérant d’un bar plutôt connu à la Réunion. Pêcheur à mes temps perdus avec mon père – qui semble reprendre goût à la vie et à la pêche – je me demande ce que je pourrais ajouter… A moi, cela fait déjà 7 mois que je suis voyageur à Dream Land, et je compte me barrer du Royaume du feu, cool hein ?

♠ Dreamland : Je me souviens de cette nuit un peu spéciale... Le genre de nuit où ce qui n'est pas banal finit toujours par t'arriver sur le coin de la figure, que tu le veuilles ou non. En tout cas, avant même que je n'ai besoin de vraiment comprendre, je savais déjà que c'était pas un rêve, c'était un cauchemar. J'étais enfermé dans une pièce que je ne connaissais ni d'Adam ni d'Eve, enchaîné au niveau des poignets - jusqu'à être relié au mur derrière moi - il faisait une chaleur terrible. Si terrible qu'elle brûlerait un rat en moins de deux minutes... Oh suis-je bête, j'avais déjà oublié qu'en faite cette pièce était en proie des flammes, tout comme moi je l'étais. Je voyais les meubles en bois se faire consumer, petit à petit, alors que j'observais sans rien dire. Si j'avais peur ? Bien sûr que j'avais peur ! Je mourrais de trouille même. Il n'y a rien qui puisse me faire aussi peur que le feu, bon sang. Néanmoins, je vais vous révéler un petit secret - que j'ai gardé pour moi durant un long moment - peu importe le nombre de fois où je me retrouvais dans cette pièce, je ne me brûlais jamais. Lorsque les flammes m'atteignent, je finissais par brusquement me réveiller en ayant chaud, suant comme pas possible. Je ne me suis jamais senti agresser durant mes cauchemars, juste... Oppressé, menacé et observé. Oui, j'étais un peu paranoïaque à l'époque, je commençais petit à petit à croire que ces rêves avaient du sens là où normalement il n'y en a pas. J'étais loin d'imaginer ce qui m'arriverait...

Pendant que je cauchemardais dans cette pièce, à paniquer pour rien, je réfléchissais... Pourquoi j'ai autant peur du feu ?... Cela paraît un peu débile demander comme ça à un pyrophobique mais si c'est une peur, elle doit bien être née quelque part. Alors je me suis petit à petit replongé dans mes souvenirs, que ce soit le jour ou la nuit, j'ai fouillé au plus profond de mon esprit... Et j'ai fini par me rappeler. C'était une journée normale, il faisait beau dehors, mes parents étaient restés plus tard que d'habitude à leur travail respectif. J'étais pas plus haut que trois pommes à l'époque, un petit gosse incapable de faire de mal à une mouche - je ne vous raconte pas le million de rounds que j'ai dû partager avec elle - et allait savoir comment j'ai fait, mais je me suis débrouillé pour déclencher un incendie à la maison. Il y avait des flammes partout, à chaque fois que j'en touchais une du bout des doigts ça faisait mal, je voyais le salon puis la chambre partir en feu... C'était effrayant, j'étais même tétanisé, au bout de tourner de l'oeil à l'époque. Lorsque je m'étais réveillé, j'étais à l'hôpital en train de me faire soigner, avec mes parents morts de trouilles pour moi... Sauf que moi, j'étais devenu mort de trouille pour toutes les flammes qui croiseraient ma vue. Enfin voilà, tu connais toute l'histoire à présent... J'ai beau être un gars bien courageux, 'faut pas s'attendre à des miracles quand on me demande d'affronter le feu hein !

En tout cas, c'était censé être un cauchemar comme j'avais pris l'habitude d'en voir... Les flammes commençaient petit à petit à approcher, je me disais que c'était l'heure pour moi de fermer les yeux pour me réveiller, enfin. Parce que bon, c'est pas tout ça mais c'est bien flippant d'être attaché dans une pièce en feu. Cependant, c'est à ce moment-là que tout changea pour de bon. Pour la première fois, les flammes se jetèrent sur moi dans le but de me consumer à mon tour. Je les sentais se coller à moi, me brûlant de part en part, alors que j'hurlais de douleur en serrant les dents. Ca faisait mal, beaucoup trop mal, j'étais complètement cerné par un feu qui me faisait souffrir. On dirait que le véritable cauchemar débutait enfin, je me disais que j'allais devoir endurer tout ça jusqu'à mon réveil, bordel... Jusqu'à ce que j'entende des voix s'adressant à moi, des voix horriblement aiguës qui riaient.

▬ Oui hurle ! Baisse la tête comme tu le fais ! ▬ Pas moyen que tu résistes à tout ça ! ▬ Tu vas finir carbonisé ! Hihihihi (...)

Elles m'énervaient, je sentais ma colère bouillir en moi, comme une eau qui ne cessait de chauffer rapidement. J'aimais pas vraiment dire cela, mais je sentais le feu de la haine se répandre en moi, jusqu'à exploser !

▬ VOUS ME FAITES CHIER PUTAIN !! CA BRÛLE !!!!

Exploser dans tous les sens du terme, en me relevant brusquement j'avais tellement tiré fort sur mes chaînes qu'elles arrachèrent des portions du mur, je pouvais même voir les flammes se rassembler autour de moi jusqu'à finir par se projeter aux alentours, une vague de flamme détruisant en morceau la porte fermée depuis le début de mes cauchemars. N'étant plus attaché, j'étais resté immobile en observant une nouvelle fois autour de moi, remarquant les flammes qui n'étaient plus... Si agressives que cela. En faite, celles qui étaient encore sur moi ne me faisaient plus du tout mal. Je me souviens qu'en sortant de la pièce, j'avais aperçu plusieurs soldats en armure et un type au longs cheveux blancs. Ce n'est qu'à partir de cette rencontre avec le Seigneur des flammes que j'allais prendre conscience du monde qui existait depuis le début...

J'aime - 1. Être libre 2. Me battre pour devenir fort 3. Voyager dans Dream Land 4. Ma petite île paradisiaque 5. La famille

Je n'aime pas - 1. Les ordres 2. Perdre 3. Les larmes 4. Me brûler 5. Le Seigneur du feu

- Phobie : Pyrophobie - Je suis pyrophobique, ça veut dire que je n'autorise aucune flamme (pas même les petites flammèches) à traverser mon champ de vision, au risque de me voir détaler comme un lapin jusqu'à l'autre bout du quartier. Le feu c'est la destruction, c'est le chaos, c'est les incendies et moi j'ai une peur bleue (rouge ?) des brûlures.

- Pouvoir : Je suis un contrôleur de feu, ça veut dire que... Bah que je contrôle le feu quoi ! En créant des flammes j'ai la possibilité de leur donner la forme souhaitée, ca permet en quelque sorte de s'adapter à tous types de combat je suppose... Bref, voilà ce qu'est un contrôleur de feu en gros.

- Objet magique : Nop (pas au début ♥)

• Le personnage sur ton avatar : Jecht - Final Fantasy X
• Rang spécial désiré : Combattant Du Feu Libre #B9121B
• Code du règlement :

Derrière l'écran...

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• Prénom ou pseudo: Weiss o/
• age: 18 bougies.
• comment as-tu connu le forum ? En cherchant sur google o/
• Connais-tu Dreamland ? Bien sûr.
• Depuis quand fais-tu du rp ? Plus de 3 ans.
• Des critiques sur le forum ? Plutôt sympathique o/
• Une remarque ? Nop, juste que la présentation est Terminée ! ~