Le manoir des horribles monstres [Caleb & Vara]

Timothy avait bien apprécié la petite prestation de Caleb avec le chapeaux et le monocle. Il s'était prit au jeu et l'avait également salué en prenant aussi un air pompeux. Enfin, du moins il avait essayé.

« Salut très cher ! C'est ravissant chez vous ! »

Puis le chapeau se mit à parler et Vara à bousculer le jeune homme qui ne dit rien. Ca ne le gênais pas trop, même s'il était très curieux à propos du chapeau. Et un peu inquiet aussi, parce qu'il était sur la tête de Caleb. Et s'il essayé de lui gober la face ? Beurk, ça serait dégoûtant. Heureusement c'était pas le cas et Vara fit son interview.
Timothy écouta tout très attentivement jusqu'à l'arrivé de l'énigme...

« J'ai deux bras le matin, quatre oreilles le midi et sept tentacules le soir. Qui suis-je ? »

(Coin !) Vara s’apprêtait à se concerter avec les garçon, sauf que... bah Tim est trèèèès impulsif. Et du coup le garçon s'approcha du chapeau en gueulant.

« UN GNOME CHAUSSETTOFFAGE !! »

Timothy...

« Mauvaise réponse ! »
« NOOON c'est la bonne réponse tricheur ! Vas-y t'as déjà vue un gnome chaussettoffage au moins ? »
« Je... euh... non, mais c'est pas la bonne réponse. »
« Tu te fous de moi ?? Un gnome chaussettoffage, créature qui gobe les chaussettes des gens – ce qui explique cette disparition massive de chaussette – a deux bras le matin, quatre oreilles le midi et sept tentacules le soir ! M'enfin t'as pas de pied, donc pas de chaussette, je t'en veux pas. »

Le chapeau ne dit rien pendant au moins trente secondes. Un temps qui devait paraître très long pour tout le monde. Puis il reprit la parole.

« Mauvaise réponse. »

Et la première cage avec la petite boule de poile rose s'ouvrit. Tim fronça les sourcils, serra les dents et les poings... puis donna un coup de pied dans le chapeau qui vola jusqu'à la créature qui le goba en plein vole.

« J'ai toujours raison saleté ! »

Et les deux autres cages s'ouvrirent. On dit quoi ? Merci Tim et ton sale caractère !

Spoiler:

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Wait what ? J’avais un chapeau vivant sur la tête pendant plus de cinq minute et je ne me suis rendu compte de rien ? Mais fack j’aurais du sentir quelque chose, une respiration, une transpiration, une éréc…. Wait what ? Est-ce que l’emplacement pour la tête correspond à son trou d’balle ? Oh Shit mes cheveux ! Je passai rapidement ma main dans mes cheveux histoire de checker si je n’avais aucun dépôt dégelasse dans ma superbe chevelure blanchâtre avant de me rendre à l’évidence : je n’ai rien sur le crane autre que mes cheveux. Mais qui me dit que les chapeaux chient des excréments humains ? Hein ? Qui me dit qu’ils ne chient pas des petites boules de tissus rabougries et crade ? Ou des fibres ? PLEEEEEEEEEEEEEEINS DE FIBRE ! Et c’est ainsi que je fus pris de psychose intensive pendant une bonne demi-douzaine de minutes, essayant de me gratter le crane à la recherche de la moindre fibre que le chapeau parlant aurai pu laisser sur mon corps tout en ne portant aucune attention à ce qui pouvait se passer autour de moi, n’écoutant ni le chapeau déblatérer son charabia avec Vara, ni son énigme qui m’a foi m’a l’air putain de simple après 5 gramme d’alcool dans le sang et deux buvards de LSD, ni même la réponse bancale de Tim et son shoot majestueux dans le chapeau. Nan mais en même temps faut dire que c’est bien plus intéressant pour moi de me laver de toute fibre de chapeau plutôt que de tenter d’aider mes deux camarades à faire quelque chose contre ce monstre ignoble.. Et le monocle c’était son œil ? ARG ! J’ai porté un œil devant mon propre œil ! Je need un baril de Javel pour me nettoyer les yeux au plus vite ! Mais avant tout il me faut des réponses…. Reprenant mon sang froid et fonçant direction de la petite bestiole rose, lui chopant les deux parties de la mâchoire avant de forcer comme un taré histoire d’arriver à mon objectif : taper la discutions avec le chapeau. Mais bon vu la force de la mâchoire de cette merdouille je n’ose imaginer ce que ça doit être de se faire bouffer un bras ! On est très loin du gamin de 5 ans avec ses dents de laits qui essaye de bouffer un carré de chocolat et qui va au final juste réussir à le faire fondre étant donné les mini quenottes qu’il se tape ! Mais bon là n’est pas la question, et en prenant appuis avec ma rangers sur le bas de sa mâchoire, je réussi enfin à entrebâiller sa bouche, observant un assemblage très hétéroclite de dents tranchante et de petites dents carrées toutes mignonne, formant une sorte de PUTAIN de dentition hardcore que je préfère ne voir qu’une seule fois dans ma maigre vie. Heureusement pour moi, le chapeau était encore là, percé par de nombreuses dents mais encore à même de me jeter une déferlantes d'insultes dès qu’il vit ma tronche de taré

- Que diantre jeune malotru, on ne vous à donc jamais appris à frappé à une mâchoire avant d’entrer ?

- OSEF des bonnes manières sur ce coup là, j’avais ton trou d’balle sur mon crane pendant bien cinq minute et ton œil devant le miens et même pas t’a bronché batard ! T’a du prendre ton pied.. enfin ton… euh…. Y’a un pied chez les chapeaux ?

- Nous ne voyons point d’intérêt à l’usage de telle forme d’excroissance, il est plus aisé de se promener perché sur la caboche d’un sot d’en votre genre qui ne se doute même pas de notre présence

- J’vais t’en foutre moi des seaux dans ma gueule tu va voir !

- Je m’en gausse volontiers, cela ne prouvera que notre supériorité face à des êtres insipides de votre espèce, incapable de se défiler devant nos habiles rouerie et…

- Rouerie ? Tu m’cause de mécanique maintenant ? Putain c’est les cours les plus chiants que j’ai jamais pu avoir de toute ma vie et… et… ah merde m’a question c’était quoi déjà ?

- Je n’ai que faire de vos jérémiades insensé, je vous ordonne de refermer cette mâch..

- AH OUAIS JE SAIS ! Un chapeau ça chie comment ?

Un silence se posa autour de nous et le chapeau me regarda de son monocle couvert de bave avant de soupirer un grand coup, essayant surement de trouver ses mots avant de reprendre la parole sur un ton sacarstique et quelque peu offensé

- Nous ne déféquons point jeune homme, nous les chapeaux nous sommes la race de l’avenir et nous val….

- Eukay merci gourgandin !

Je virai ma ranger de la mâchoire du bat et la gueule de la petite créature à poil rose claqua avec puissance, faisant disparaitre le chapeau dans les méandres de son tout petit corps qui doit être sacrément epic pour pouvoir contenir une dentition pareille et bouffer des chapeaux sans aucun problème. Mais je n’eu pas vraiment le temps de tergiverser plus longtemps sur mes conneries vu qu’un téléphone portable volant me heurta en pleine face avant de retourner papillonner dans son coin. Mon regard se tourna vers le reste de la salle pour observer un véritable essaims de téléphone portable volant de multiple marque s’attaquant à Vera et Tim’… les plus féroces étant pour sur les redoutable 3310 et leur coque indestructible !

Bim Vara de retour dans la place. Où en étions nous déjà ? Raaah la panique en plus j'ai la flemme de relire. Ah oui, Caleb s'interrogeait sur les matières fécale du chapeau en jouant au dresseur de boule de poil, et on avait plein de monstres à taper (pour changer). Et là Vara était occupée par une dizaine de portable volant qui s'étaient rassemblés en formation serrée pour foncer en piqué sur le haut de son crâne. Vara sauta donc sur le côté pour les éviter et attrapa le premier objet qui lui tomba sous la main pour se défendre, c'est à dire... La pipe de Caleb, citée dans un précédent post, bah oui, faut suivre, bref, pipe qu'elle utilisa comme une batte de baseball pour repousser un nokia un peu trop agressif. Mais entre une pipeet un nokia... Inutile de vous faire un dessin. La pipe se brisa.
Si l'avenir du petit portable vous intéresse, il est allé se loger avec amour dans les côtes de Caleb, qui me fais poster à cette heure ci. Sérieux. Exploitation.
Mais vous vous doutez bien qu'après un chapeau qui parle et son monocloeil (tiens on dirait un nom de pokémon, c'est pas cool ça? Mais si ça l'est, tout le monde aime pokémon. Non mais si, je suis le narrateur, je décide de ce que vous aimez ou pas. Jean Eude pour être précis et je... Aaaah attendez on me dit à l'oreillette que ce que je fais là c'est pas très bien, c'est du remplissage de post pour rien dire et ça pue, bon, bon, attendez, je reprend.) le monocloeil qui, je disais (non sérieux, qui n'aime pas pokémon ?), il fallait faire quelque chose de cette putain de pipe, nom d'un chien. Et donc, une épaisse fumée noire s'échappa de la pipe brisée, pour prendre la consistance d'un grand génie qui prit une longue inspiration avant de se mettre à hurler.

-Ma maison ! MA MAISON ! C'est qui qui va me trouver une nouvelle pipe maintenant ? SANS BLAGUE !

Vara, surprise, ne bougeait pas d'un poil. Elle tenta une grimace un peu piteuse.

-Oh... Excusez-moi ?

-NON !

-Ah...

Le génie gonfla encore.

-C'est incroyable ça ! Ma maison enfin !

Le génie pulvérisa le portable responsable, avant de se tourner vers Vara.

-Vous ! Je... Vous... RAH ! Gnnnh... Je me vengerais ! Attendez...

Il fit apparaître un livre, le feuilletant.

-Machine à raclette, non, ponyta, taille-haie, non plus, ah, torture éternelle, ça doit être ça.

Levant son bras pou l'agiter de manière étrange et lugubre, il se mit à marmonner quelques mots.

-Parataplop piritipli POROPORO PORO !

Et bam ! Vara disparut dans un nuage de fumée. Vous vous demandez tous comment elle va s'en sortir, n'est-ce pas, étant donné que le génie s'en est allé avec un rire machiavélique et un nuage de fumée noirâtre nauséabonde.
Et bien il s'était juste trompé de ligne et dans la ligne « transgenre et changement d'apparence », Vara était tombée sur la formule qui l'avait transformé en individu de sexe masculin. Et oui, Vara est désormais l'heureuse propriétaire... D'UNE BITE ! (Appelons-la Germaine). Et de poils, et d'une grosse voix, mais ça c'est accessoire. Comment ça c'est totalement gratuit ? Comment ça on s'en fout ? Comment ça,ça n'a aucun sens ? Comment ça c'est improbable ? GENRE VOT' GUEULE ELLE EST PROBABLE. Chui un homme maintenant, j'baiz ta mère ok ?
Bon. De toute manière Vara s'en foutait, elle retrouverait ses boobs la nuit d'après et surtout, s'il y avait une chose qu'elle n'avait eu l'occasion de tester dans sa vie, c'était bien d'être un homme. Forcément dans la réalité tout est un peu plus complexe et un peu plus... Définitif. Et Vara n'est toujours pas guérie de sa curiosité maladive, quoi qu'elle fasse. Bref, un homme, en jean, débardeur et basket parce que oui les habits aussi ça s'adapte. COMMENT CA ROSE MON DÉBARDEUR ? Il est saumon. Pas rose. PAS DE PROTESTATIONS. Bon, après un instant de surprise et un moment de blanc en commençant à marcher avec sa morphologie nouvelle, elle s'arrêta et sortit avec une voix grave, virile, un peu rauque.

-Wow. Sa mère la pute. C'est quoi ce bordel.

Elle n'eut pas trop l'occasion de s'en soucier vu que la bestiole rose s'approchait d'elle en sautillant de manière adorable. Saisissant au vol le premier portable venu, elle le lança droit dans la face de Bouboule, oui elle s'appelle bouboule, j'ai décidé, c'est bien Bouboule, ce qui eu le mérite de... L'étourdir. Vara acheva de l’assommer avant de la ramasser et de la lancer soudain.

-TIMOTHY ! LA PASSE !

Avec une bonne grosse voix grave, aaah, ça c'est un homme, vous la sentez la virilité brute, le poil, le muscle, la sauvagerie ? Bon évidemment le fait qu'il était en train de lancer une boule rose adorable gâchait peut-être un peu le tableau mais tout de même. Un peu de respect.
Bon, cet acte avait un sens bien précis, je l'admet. La bestiole assomée avait la bouche entrouverte et goba un portable au passage. Vara en profita pour lobotomiser brièvement la bête métamorphe qui s'avançait vers Timothy et lui coller un coup de pied dans les côtes, en plus elle avait pris la forme d'un caniche, Vara détestait les caniche, elle avait une profonde haine pour ces chiens, sans raison d'ailleurs, et pourtant elle adorait les chiens, les chats, hamster, chimpanzés, Timothy et autres animaux de compagnies à poils plus ou moins longs mais non, rien à faire, les caniches ça ne passait pas. Tout ça pour dire que ce coup de pied lui fit un bien fou. Incroyablement jouissif. Ne sachant pas trop comment l'immobiliser, elle tenta de l’assommer contre un mur avant de reculer d'un bond alors que celui-ci se transformait en serpent et courait se blottir au fond d'un trou de mur. Ouais un trou de mur. Si c'est très valable comme expression. Je vous merde tous.

Pendant ce temps, Caleb et Timothy avaient fait... Des trucs. Se battre je suppose, sauf s'ils avaient décidé de faire des enfants et de fonder une famille avec les portables, ou plus simplement de danser la macarena, ou de faire une course de fauteuil roulant, mais comme on a jamais parlé de fauteuil roulant ça paraîtrait chelou, enfin bon, peu importe, ils avaient fait leur truc, on s'en branle, ils sont moches et ils ont pas ma virilitude, mais ça, ça se voyait depuis le début du rp. VIRILITE, BIATCH, TU LA SENS LA SAUVAGERIE DE L'HOMME PRIMAIRE ET POILU ?

En parlant de portable, ceux-ci commençait à être peu nombreux, sûrement grâce au combat acharné de Caleb et Timothy, ou alors à leur course de fauteuil roulant, muais, bon, je m'en bas les couilles, ah quelle merveille de pouvoir dire ça sans risquer de vexer mes ovaires, je vous jure, merveilleux d'être un homme, pour la peine Vara aurait presque eu envie d'avoir envie (si, si) d'aller faire pipi histoire de pouvoir tester cette étrange et mystérieuse technique masculine judicieusement appelé le « pipi debout ». Bon, tout ça pour dire que les portables s'étaient rassemblés et formait un petit robot à la voix insupportable et visiblement décidé à leur refaire le portrait. Bim. Je vais finir là dessus moi. Gros cliffanger. Suspens insoutenable. Haha.

Des portables volants qui viennent attaquer Tim et Vara, ainsi qu'un étrange métamorphe qui avait à présent l'apparence d'un lion avec une corne de licorne. Et pendant ce temps, monsieur Caleb s'en va discuter avec un chapeau dans le ventre d'une boule de poil rose. Tout va bien dans le meilleur des mondes en fait.
N'ayant d'autre choix que de se défendre seul – parce que Vara venait de détruire une pipe pour parler avec quelqu'un d'autre. Tim n'avait même pas vu qui était ce quelqu'un, il avait bien trop à faire abandonné dans la merde qu'il avait lui même provoqué. Pour commencer : le métamorphe. Il chargé, corne devant, droit sur le blondinet. Ce dernier créa alors un énorme nounours en gélatine qui vint s'écraser sur la créature. Elle n'était pas du tout vaincu, mais était immobilisé pour le moment.

Ainsi, il pouvait s'occuper, avec plus de tranquillité, des portables volants. Il créa pour ça une énorme sucette qui lui servait de masse. Et avec son arme il frappa le plus de portables possible. Il les enchaînés un par un, et par fois avec de la chance deux par deux. Il s'épuisait énormément à faire autant d'effort seul, mais il n'avait pas trop le choix. A un moment, il réussit même à en renvoyé un droit sur Caleb. Sans le faire exprès bien évidemment.

C'est alors qu'une voix rauque le fit sursauter en hurlant son nom. Il pointa sa sucette dans la direction du bruit pour voir Vara... différent(e). Il n'eut pas le temps de poser de question, car elle/il lui avait envoyé la bouboule rose poilu. Se la jouant, joueur de base-ball, le blondinet fit un hom-run avec sa sucette pour batte. La boule de poil se fit éclater contre un mur.

De son côté, le métamorphe s'était décoincé du gigantesque bonbon, avait prit la forme d'un caniche et s’apprêtait à attaquer Tim à nouveau. Mais c'était sans compter sur l'intervention de Vara. Enfin elle/il se rendait utile pensa Timothy.

Les portables restants fusionnaient alors ensemble pour devenir une sorte de robot plutôt étrange, mais forcément avec une lubie de vouloir attaquer tous se qui bouge pour ne pas changer. A croire que cela n'allait jamais s'arrêter. Trop, c'est trop.

« Ce clown qui dirige ce manège va m'entendre ! Il aurait dû préciser qu'on risque de crever ici ! »

Oui, le jeune homme commençait à être blasé de, non seulement devoir combattre chaque créature, mais en plus de constater qu'au final les créatures sont toutes ridicule. Rien à voir avec des « horribles monstres ». Voyant un coup de poing du robot venir vers lui, Tim fit un bond en arrière et s'éloigna de plus en plus de la machine. Il n'allait pas la combattre, il allait laisser les autres se débrouiller avec si ça leur faisait plaisir.
Lui en attendant s'en aller chercher une sortie dans la pièce, gardant toujours un œil sur le robot et les deux autres pour être sûr qu'il ne se prend pas un coup perdu. S'approchant du grand fauteuil de roi, il l'examina. C'était la seule chose qui faisait vraiment tâche ici, hormis le levier que Caleb avait utilisé pour faire remonter le cercueil. En l'examinant, Timothy y découvrit sans peine un interrupteur sur le bras du fauteuil. Cliché jusqu'au bout cet endroit. Ne pouvant se contrôler face à une telle découverte, le blondinet appuya sur l'interrupteur. Un petit tremblement se fit ressentir, se retournant le faiseur de sucreries constata qu'un grand tableau sur un mur venait de se déplacer pour laisser place à un petit tunnel dans le mur... avec un lumière au bout. Celle de la sortie ? C'était mieux que rien, il fallait tenter sa chance. Malgré tout, il ne pouvait pas abandonner les deux autres. Donc il se concentra à nouveau sur eux pour voir s'ils s'en étaient sortie avec le robot ou pas.

Spoiler:

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- TRANSFORMERS SUCKS !

Tel fut mon cris de guerre lorsque je fonçai en mode bourrin vers le robot qui venait de se former à partir de l’essaim de téléphone portable volant qui devait surement en avoir marre de battre de clapet pour arriver à ce maintenir dans les airs.. Surtout que attend, les Nokia 3310 ils n’ont pas de clapet si mes souvenirs sont bon c’est bien ça ? Alors comment ils ont fait pour voler ? Ils ont un générateur d’anti-gravité planqué à la place de la batterie ? Un réacteur à Naquadah peut être en plus pour alimenter le tout et en faire un système autonome… Et avec la coque de base ont peut être sur qu’il ne cassera jamais ! Oui je viens de me taper un trip SF pour tenter d’expliquer pourquoi un Nokia 3310 peut arriver à voler dans les airs alors que la réponse est simplement « Ta Gueule C’est Dreamland » mais bon quand même…. Un putain de générateur d’anti-gravité alimenté au Naquadah ça sonne bien non ? Restant dans mon imaginaire délirant, je ne vis pas le coup de poing robotiquement téléphonique m’arriver en pleine gueule et j’effectuai un léger vol plané dans une direction random, me heurtant à quelque chose de dur et… Avec des cheveux ? Tournant la tête sans me relever, je fis face au visage de Vara avec des traits bien plus masculins et ce je ne sais quoi en moins…. Ah ben oui, y’a plus de sein ! Bondissant comme un diable hors de sa boite, je pointai Vara du doigt en prenant une pose dramatique et pleine d’interrogation

- T’A PERDU TES SEINS ! SORCIEREEEEEEEEEE !

Mais il n’y avait pas que ça qui me dérangeai au plus haut point, et il me fallu choper un flambeau dans un coin de la salle et l’approcher du visage de Vara qui ne semblait pas vraiment comprendre ce qui était entrain de se passer avant que je la lumière de la flamme ne révèle ce que je n’avais toujours pas compris depuis le début de cette nuit

- MEIN GOT ! VARA A PLUS DE MOUSTACHE QUE MOI ! HÉRÉSIE !

Manque de bol le robot devait aussi avoir un problème avec la moustache de Vara vu qu’il me balaya à nouveau, entraînant Vara à nouveau au sol. Bordel ce que le sol peut être glissant dans ce genre de moment, j’ai presque l’impression de faire moins de chute sur un parquet savonné qu’ici en plein combat ! Mais ce fut sans compter sur ma superbe…. Chance ? Mouais je sais pas vraiment comment appeler ça donc je pense qu’on va dire que c’est de la chance parce que sinon je vois vraiment pas ce que ça peut être ! BREF… ma chance me fit lâcher le flambeau en tombant et ce dernier roula tranquillement sur le sol, rependant un peu de son huile en arc de cercle et en voulant me relever je posai mon pied sur cette huile, me permettant de glisser à nouveau comme une merde sur le sol.. Mais le robot voulu me prendre à nouveau pour cible et manque de bol pour lui il glissa comme une merde sur le sol, laissant une partie de son armure Nokia sur le sol pendant qu’il exposait les Smartphones composant son cœur. Avant qu’il n’ai le temps de se relever, je grimpa sur le torse du robot pour le bloquer tant mal que mal au sol avant d’hurler à qui pouvait m’entendre

- FAUT PLANTER LE FLAMBEAU DANS L’I-CŒUR ! LES IPHONE N’AIMENT PAS CA EN GÉNÉRAL !

Le flambeau ? LE FLAMBEAU. On l'avait encore ce putain de flambeau ? Heureusement qu'on l'a ce motherfucking flambeau, il nous aura tellement sauvé la vie.Vara n'hésita pas un instant. Elle s'est farci Bouboule, elle a fait fuir le métamorphe, et dans sa tête tout hurlait « LE TRIPLE, LE TRIPLE, LE TRIPLE. » C'est donc avec une énergie incroyable que Vara se saisit du flambeau et se jeta avec énergie, courage et heu bonne humeur sur le robokia. Flamme en avant, elle la lui enfonça au niveau du cœur. Bim. Le flambeau s'éteignit au contact et le robot grésillafaiblement avant de s'immobiliser. Vara, heu, appelons-le Varel, se redressa, puissant, un rayon de lumière éclairant son profil marqué souligné de cette élégante moustache aux reflets sombres et de cette barbe négligée qui lui donnait ce petit air d'aventurier qui aurait fait craquer toute les femelles s'il avait eu la possibilité de voir autre chose que des monstres plutôt pourris et moyennement sexy. Varel se redressa, remettant sa chevelure en arrière d'une main, un grand sourire sur le visage en pensant très très fort « ACE ». La puissance. S'il vous plaît. Virilité.

Varel recula donc d'un pas, et, se détourna du cadavre fumant de robokia, s'avança vers la porte qui venait d'apparaître dans une EXPLOSION de fumée verte parce que oui j'ai décidé que ce post serait marqué par les EXPLOSIONS. Tous le monde aime les EXPLOSIONS et ok je vais arrêter avec mes adorables majuscule même si avouez que ça donne direct plus d'impact au mot. Regardez juste. EXPLOSION. Explosion. CARREMENT COOL. Carrément tapette. Vous comprenez ?

Bon, c'est au moment où Varel allait ouvrir la porte de manière glorieuse et épique que le robot se releva. Et se jeta sur elle... Pour lui faire un gros câlin. Ben oui. Le robot était revenu en... Un peu moins agressif, quoi que le câlin avec un nokia laisserait certainement des bleus sur les côtes de Varel. De toute manière il la relâcha bien vite pour courir gauchement vers Caleb. Se frottant les côtes, elle... il... Enfin bref mon bonhomme se retourna, surpris, grimaçant. Ok, presque triplé. Avec un soupir, il s'étira.

-Bon, maintenant, on se casse de cet endroit pourri !

Et lui de sortir, l'air gaillard et conquérant, une lueur déterminée dans les yeux. Sauf qu'évidemment... Ce n'est jamais aussi facile. Le manoir se révéla être un véritable labyrinthe. Après avoir traversé la terrible salle pleine de poils à gratter, passé un ruisseau qui passait innocemment par là, survécu à la salle où des poussins carnivores tombaient du plafond (d'ailleurs, Calinorobot, qui les suivait toujours, en avait adopté un au passage), avoir traversé une salle composé d'une piscine remplie de poisson chat mangeurs de tissus (dans laquelle, Varel étant toujours à la tête du groupe, il était tombé lamentablement), et avoir fait trois fois le tour d'une série de couloir sombre couvert de tableaux qui ricanent, ils finirent par admettre la situation : ils étaient paumés. Carrément paumés. C'est donc avec nettement moins d'habits (Varel était fort heureux d'être un mâle à ce moment-là, si elle avait encore eu des boobs la situation aurait été très vite gênante), la peau irritée par le poils à gratter et encore trempé de leur tour dans la salle piscine (qu'il avait malgré tout fallu traverser), les trois compagnons... Enfins, quatre avec le robot... Voir cinq avec Poussinou le poussin carnivore... Enfin bref, nos protagonistes commençaient sérieusement à voir rouge. Caleb avait même commencé à frapper les murs, je veux dire, littéralement, avec ses petits poings, ses petits pieds, sa petite tête creuse, voire même celle des autres quand elles passaient à proximité. Et les ricanements des tableaux n'arrangeaient rien à leur état.

Varel aussi en avait marre. Parce qu'avoir pu aller faire pipi debout dans un coin était une piètre consolation au fait d'être là, coincé. Elle avait tenté de détrure les tableaux mas rien à faire, ils ricanaient d'autant plus fort. Il se retenait de hurler. Et d'autant plus quand le robot vint vers elle pour lui faire un câlin et sortit soudain un bonbon de son ventre. Après une longue série de juron chargés de faire comprendre au robot que non, définitivement, elle ne voulait pas de câlin, et encore moins de bonbon, et encore oins se faire bouffer le doigt par Poussinou, le pauvre petit robot recula tête basse... Avant de revenir à la charge avec un bouquet de fleur. Varel soupira, avant d'avoir une idée lumineuse.

-Mais dit-moi, robot, tu n'aurais pas quelque chose d'autre dans ton ventre ? Un truc qui pourrait nous aider à sortir ?

Le robot sortit généreusement un tournevis de son ventre. Varel soupira.

-T'as pas mieux ?

Le robot se mit donc à fouiller dans son ventre, lançant tout va des objets divers, style chaussettes, accordéon, habits de rechange, reproduction de la Joconde, fourchette, explosifs, couvertures, poulet rôti... Et oui, explosifs. C'est avec un énorme rire démoniaque que Varel se jeta sur eux et les souleva, ramassant de plus un paquet d'allumette à côté.

-On va sortir d'ici, moi je vous le dis ! On va carrément sortir d'ici !

Bah oui, je vous l'avais promis, EXPLOSION, tout ça... Mais je vous laisse ce plaisir. Allez. Je sais je suis trop bonne. Mais oublie pas j'ai une teub maintenant, Germaine qu'elle s'appelle, alors fait gaffe mon chou. Bon. Boum boum, explosion, tout ça... A vous !

Caleb et Vara... ou plutôt le truc qui faisait office de Vara, avaient réussit à se débarrasser du Robot fait de portables Transformers. Et comment je vous pris ? Avec un flambeau dans le cœur ! Le flambeau c'est magique. C'est l'arme idéal dans n'importe quelle situation. Achetez en un et vous serez invincible ! Ouais, les flambeaux c'est le bien.
Bref, quoi qu'il en soit, une porte venait d’apparaître dans une EXPLOSION de fumée verte. Le truc, c'est qu'il y avait aussi le tunnel que Tim avait fait apparaître. Sauf que ça, Vara/Varel ne l'avait même pas remarqué et son cerveau, probablement trop petit, n'arrivait pas à s'en rendre compte. Du coup, elle/il allait ouvrir la nouvelle porte. Timothy ouvra la bouche pour le/la prévenir, mais c'est là que le robot se releva et vint faire un câlin à l'amatrice d'explosions. De plus en plus bizarre. Avec son nouvel ami, Vara/Varel décida de continuer et passa la porte.

« Eh ! Attendez ! Il y ce chemin là ! Et il à l'air... plus sûr... »

Il parlait dans le vent, parce qu'on l'ignorait totalement. C'est pas bien du tout ce genre de comportement quand on est censé être à plusieurs. Du coup, comme le faiseur de bonbons était ignoré, il ne les suivit pas. Et à son tour il les ignora. Dans sa barbe invisible, le jeune homme fulminait, marmonnait et râlait.

« Ras le bol de ce manoir ! Ras le bol de ces monstres en carton ! Et ras le bol de ras le bol ! »

Tim laissa donc la porte se refermer derrière Vara avec son robot nokia (et Caleb ? ) et il préféra se diriger vers le tunnel qu'il avait ouvert. Au bout, il y avait de la lumière. Comme celle du jour, ce qui était plus réconfortant que la vieille porte qui apparaît dans une explosion. Le jeune homme passa à quatre pattes à l'intérieur du tunnel et au bout de quelques mètres... se retrouva sous les escaliers du porche du manoir. En fait il était en train de ramper sous le manoir. D'un violant coup de pied, il dégomma deux marches de l'escalier en bois et sortit de là.

« L'air libre, enfin ! »

Tim était dehors à présent, juste devant le Manoir. Et face à lui, quelques créatures et rêveurs qui comptaient faire l'attraction et... cet enfoiré de propriétaire du Manoir ! Lui qui les avait bien roulé avec tous ces beaux discours comme quoi c'était une attraction « innovante » et « fabuleuse » et j'en passe. Il sembla très surprit de l'apparition soudaine de Timothy. Et le garçon, serrant les dents et les poings se dirigea droit sur lui l'air furieux.

« Ahh... ahh... alors... ? C'était comment... »

Le faiseur de bonbons ne lui laissa pas le temps de terminer sa phrase. Il l'attrapa par le col et le souleva d'un coup. C'était pas compliqué au vu de sa petite taille.

« Toi le chauve, tu t'es bien foutu de notre tronce ! Tu vas nous rembourser ! »
« Mais... mais, c'était gratuit... »
« Ah ouais ? … Ouais peut-être... N'empêche que tu t'es foutu de notre tronche ! Si ça avait été quelqu'un d'autre, il aurait pu crever dans ton manoir ! Et tes horribles monstres ! S'TE BLAGUE ! La seule chose d'horrible chez eux c'est à quel point ils sont ridicules ! »

Le petit être dégarni tremblait. Il était effrayé et sans défense. En plus, Tim était en train de lui faire une très mauvaise pub.

« Je... désolé que l’attraction ne vous a pas plût... »
« Pas plût ?! J'avais pas fait deux pas à l'intérieur que je me suis fait cramer les doigts à l'acide ! Je réclame une compensation ! »
« Une compensation ? Mais, je n'ai rien hormis ce manoir. »
« Hmm... et clairement j'en veux pas de ton Manoir. Ok, là je demande rien, mais oubli pas que tu as une dette envers moi ! Et je reviendrais la chercher. »

Et sur ces mots, Timothy balança le petit homme au sol. Comme un vulgaire chiffon. C'est alors qu'un explosion retentit derrière lui. Cela venait du Manoir. De la fumée sortait d'un énorme trou dans le mur sur la façade à l'étage. Les autres avaient finalement trouvé une sortie. Tim positionna ses mains autour de sa bouche pour que sa voix porte plus loin.

« EH ! VOUS ETES EN RETARD ! »

Puis il se tourna à nouveau vers le petit gras-souillé. Il lui éclata une bulle de chewing-gum sur la tronche, tout simplement.

« T'as de la chance qu'ils soient encore en vie. »

Puis il s'éloigna, n'attendant même pas les deux autres pour leur dire au-revoir. Timothy retourna dans le Royaume de Circus Attraction et cette fois, il ne fit aucun autre manège jusqu'à son réveil.

Invité

Bordel… Le soleil….. J’ai presque envie de dire que ça fait du bien ! Bon eukay juste presque, parce que ma condition de geek vivant dans une grotte ne m’autorise pas à apprécier le soleil à ça juste valeur et pour moi rien ne remplacera jamais la douce lumière artificielle des écrans d’ordinateur qui grandissent, génération après génération. Mais bon OSEF, le soleil de Dreamland c’est comme le soleil qu’o peut observer à travers les pixels de son écran, celui qui baigne nos avatar de lumière dans les recoins les plus sombres de nos univers virtuels… Ou juste dans le désert qui entour Ogrimar quand tu dois farmer les cochons parce qu’un connard de PK te stalk depuis trois jours… Mais bon ça encore c’est du vécu donc pas la peine de revenir dessus ! Anyway je détournai finalement mes yeux du soleil après être resté une bonne minute comme un con à le regarder, clignant des yeux plusieurs fois avant de me rendre compte que c’est un peu trop tard : j’ai maintenant les sortes de tache solaire sur les yeux qui m’empêche de voir correctement… Si vous voyez, les genres de tache zarb qu’on ne peux pas vraiment regarder mais qui obstrue la vue quand on a regardé trop longtemps le soleil. C’est pas dangereux, ça fait juste chier et ça dure je sais pas combien de temps mais bon voila, j’ai bien l’air con maintenant. Une voix s’éleva un peu plus loin et je ne la reconnu pas dans un premier temps, et un rapide coup d’œil ne me permit pas de véritablement voir la personne mais bon vu les paroles je ne pouvais pas m’empêcher de répliquer, même si ne savais pas à qui

- UN ALBINOS N’EST JAMAIS EN RETARD ! NI EN AVANCE ! IL ARRIVE TOUJOURS A L’HEURE PRÉVUE MAIS JAMAIS AU BON ENDROIT !

Content d’avoir pu placer ma connerie, je voulu tendre ma main vers Vara maintenant possesseur d’une superbe barbe histoire de faire un high-five dès plus viril histoire de bien accentué ma connerie mais un mouvement un peu trop rapide et pas vraiment contrôlé fit que ma main s’aplati sur son visage assez mollement, lui aplatissant la moustache. Histoire de me rattraper, je posai mon doigt majestueusement sur son nez avant d’appuyer de manière dramatique en parlant d’une voix forte, puissante et charismatique

- ……… Boop !

Vara... rel, Vararel Varel (je ne m'y fais pas décidément) lui sourit. Boop ?

-Carrément. Boop.

Il eut un gros rire.

-Enfin, on s'en est sorti ! Ça mérite une bière non ? Fit-il en désignant un stand non loin. Et je sais pas toi, mais moi je me ferais bien un tour dans ce truc là-bas.

Elle désignait un manège immense où les gens était tournés et retournés dans tous les sens à une hauteur plutôt impressionnante, une sorte de boule tenue par une pince. Sa proposition de faire des manèges fut acceptée et c'est après une boisson bien méritée que Vara et Caleb allèrent faire un tour à la recherche de sensation forte en courant partout dans la foire. Vara reçu une barbe à papa géante de la part d'un vendeur grincheux mais gentil, et elle le partagea avec le Caleb histoire de pouvoir plus vite retourner au manèges. Vara adorait les sensations fortes, l'adrénaline... Elle refit encore quelques tour de manège jusqu'à se retrouver soudain coincée dans un cauchemar de rêveur. La chute fut rude, surtout de cette hauteur. Vara et Caleb s'en sortirent de justesse et décidèrent d'aller vers des activités plus calmes, style un tour en poney. Les poneys étaient en plus adorable et.... Parlant. Le poney gris qu'avait récupéré Vara était d'ailleurs particulièrement causant, bon, particulièrement bête aussi, mais tout à fait sympathique malgré tout. C'est donc en discutant de la qualité de l'avoine et de la conjoncture actuelle du marché des carottes que Vara et Caleb continuèrent leur tour. Quand soudain, quelque chose frappa Vara. Enfin, façon de parler. Lui tapa dans l'oeil. Merde vous avez compris.

Une femme, une très jolie femme d'ailleurs, aux jambes interminables, la taille mince, de taille moyenne. Ses longs cheveux noirs encadraient un visage mince, aux lèvres pulpeuses, et aux yeux d'un bleu pâle, glacial. Varel resta un instant bloqué sur son visage, ses épaules mince dont la peau pâle apparaissait grâce à un décolleté qui aurait fait frémir d'envie bien des stars hollywoodiennes. Vara tapa l'épaule de Caleb.

-Bon, on se retrouvera une prochaine fois... J'ai des trucs à faire.

Elle fit donc trotter son poney (qu'elle avait « emprunté » dans une écurie pour une durée indéterminée) vers la jeune femme. Oui, je sais, c'est sexy. Bon c'est un grand poney. Non mais j'vous jure que ça marche. Bon. Le fait est que Varel descendit de son poney pour engager la discussion.

-Mademoiselle... Excusez-moi...

Ok, Varel n'avait aucune phrase d'approche de prévue, il fouilla donc ses poches désespérément à la recherche d'une idée quand soudain la femme lui sourit et, portant une clope à ses lèvres délicates, lui demanda :

-Oui ? Auriez-vous du feu, jeune homme ?

Du feu, Varel en avait. Il avait récupéré la boîte d'allumette jetée auparavant par le robot et se fit un plaisir d'allumer la cigarette de la jeune demoiselle. Elle tira dessus avec un plaisir manifeste.

-Mais dites-moi, que vous est-il arrivé ? Vos habits sont tout déchirés... Ne me dites pas que vous avez croisés ces monstres, ceux qui se sont échappés du manoir tout à l'heure... Il paraît qu'ils ont fait de gros dégâts dans la ville !

-Et bien pour tout dire, j'en reviens, de ce manoir, avoua-t-il avec un demi sourire, savourant la lueur intéressée qui brillait soudain dans les yeux de son interlocutrice.

A partir de ce moment-là, tout alla pour le mieux pour Varel et la jeune femme nommée Natalia. C'est à dos de poney qu'ils firent connaissance, le petit oney gris en profitant même pour se taire un peu, les laissant discuter tranquillement. Et au bout de quelques heures, la femme n'étant pas particulièrement farouche et Varel ayant fortement envie de tester son corps provisoire avant d'en être privé, ils louèrent une chambre dans un hotel. Elle lui semblait de plus en plus belle, et avait en plus la peau douce et fine comme personne. Elle avait la nudité tendre des nus de Boucher, cette peau pâle à l'aspect soyeux qui semblait appeler au plaisir, dans ses yeux aux cils épais comme un orage se bousculait l'excitation et la tendresse, quand soudain...

Varel... non Vara excusez-moi, se réveilla. Sept heure du matin, il était largement temps d'aller travailler. Dégoutée, Vara tâta son corps pou vérifier qu'il était bien celui d'une fille. Non d'un chien ! Elle y était presque ! Et dire qu'elle retrouverait son corps de femme la nuit d'après ! Jamais elle ne saurait ce que ça faisait d'être un homme alors ?

Un cri de rage lui échappa, faisant fuir le chat qui dormait avec elle. Incroyable ! Laisser passer une chance pareille ! La curiosité de Vara n'était jamais assouvie et manquer une occasion pareille la frustrait incroyablement. C'est donc en ruminant sa colère que Vara alla travailler. Interview de cultivateur de poireaux ogm. Génial.

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