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Tag 633696 sur Dream Land Infinity RPG Newdre10Sujet: Ta nouvelle meilleure amie [Terminé]
Angel Mirador

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Rechercher dans: Présentations Validées   Tag 633696 sur Dream Land Infinity RPG I_icon_minipostSujet: Ta nouvelle meilleure amie [Terminé]    Tag 633696 sur Dream Land Infinity RPG I_icon_minitimeJeu 23 Fév - 22:15

Angel Mirador
Soyons les meilleurs amis du monde ! Mais si tu le veux ! Mais siiiiiiii !

Ton personnage...
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Tag 633696 sur Dream Land Infinity RPG Ehdz


Nom : Mirador
Prénom : Angel
Age : 19 ans
Sexe : Femme
Où habites-tu ? : Barcelone
Activité : Coach sportive

Ton histoire...
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♠ Description Physique : J'aime penser que je suis une belle femme. Enfin, c'est même une certitude, les regards affamés des hommes ne laissent aucun doute là-dessus. J'ai la chance d'être relativement grande, faisant plus d'un mètre soixante-quinze, et assez bien roulée avec seulement cinquante-sept kilos à mon actif. J'ai un corps ferme et dynamique. Si l'on m'observe attentivement, bien que mince je suis assez musclée pour une femme. J'en ai avalé des kilomètres de footing et j'en ai soulevé des haltères sur des rythmes effrénés pour en arriver à ce ça! Mais le résultat est là. Il suffit que je marche en me dandinant un peu pour que les hommes se retournent tous sur mon passage, les yeux brillants et la langue pendante.

Je me suis construite toute seule, ce qui a laissé sur mon visage un regard sévère, marqué par les épreuves. Mes pupilles oranges augmente encore le caractère surnaturel de mes yeux. Pourtant, si l'on s'y plonge un moment, on ne voit aucune méchanceté, juste une force de caractère à toute épreuve. Je suis une femme fière et forte et je n'ai pas peur de le montrer avec mes attitudes tantôt provoquantes, tantôt aguicheuses. Ma voix mélodieuse et assez aigüe, surtout quand je ris, attire les regards. Mon corps les maintient braqués sur moi.

Ma beauté est mon plus grand atout, alors je prends soin de moi, de ma peau légèrement bronzée par le soleil d'Espagne, de mes longs cheveux aux reflets violets et de ma ligne de guêpe. Il n'y a pas de secret pour ça, le sport, le sport et encore le sport. A moins d'être en soirée, je ne m'habille jamais autrement qu'en jogging ou tout du moins en tenue suffisamment souple pour courir, sauter et grimper où je veux. Pour le haut en revanche, j'aime bien les maillots légèrement décolletés ; il faut savoir utiliser ses points forts. Si un homme parvient à  fixer mes prunelles orangées et mes lèvres fines plutôt que de plonger le regard dans mes seins, c'est qu'il faut que je change de tenue. Si je suis en train de m'entraîner, j'ai tendance à m'attacher les cheveux en une longue queue de cheval plutôt que de les laisser voler librement au gré de mes foulées.


♠ Caractère : Je suis une jeune femme extrêmement dynamique, certains pourraient même parler d'hyperactive. Je passe mon temps à sortir, à sauter, bouger, danser, chanter... J'aime beaucoup être le centre de l'attention, il y a peu de choses qui me font me sentir aussi vivante que d'avoir des interactions sociales avec tout le monde. J'organise régulièrement des fêtes chez moi pour être sûre de voir du monde et de ne pas dormir toute seule. Les beaux mecs livrés à domicile, il n'y a que ça de vrai. Hé oui, je suis une croqueuse d'homme. Je ne cherche pas le grand amour, simplement en avoir un auprès de moi chaque soir me suffit amplement. J'ai déjà été amoureuse, c'est sûre, mais j'ai trop peur de m'attacher pour ensuite être abandonnée. Alors je l'ai laissé filer entre les bras d'autres qui sauront certainement mieux l'aimer que moi. Les aventures sans lendemain sont beaucoup plus divertissantes et beaucoup moins prises de tête.

Enfin bref, je suis quelqu'un de très sociable et je vais facilement vers les gens que je ne connais pas. Rencontrer quelqu'un qui ne souhaite pas discuter représente pour moi un véritable challenge. Je le refuse tout simplement. Je vais le coller, le harceler et le questionner jusqu'à parvenir à engager une conversation. Cela peut parfois me mettre dans des situations dangereuses car certaines personnes ne souhaite vraiment pas être dérangées et peuvent devenir agressives mais je n'ai pas bien la notion de danger. Pour moi, tout le monde à une part de gentillesse et si quelqu'un est méchant, c'est de ma faute, c'est que je n'ai pas su la révéler.

En fait, c'est pour moi un gros problème. J'aime tout le monde et savoir qu'une personne ne m'apprécie pas me blesse. Je vais alors me remettre en question jusqu'à comprendre quelle partie de ma personnalité la dérange. J'ai beau savoir qu'on ne peut pas plaire à tout le monde, cela me reste systématiquement en travers de la gorge. En tout cas, je suis extrêmement proche de mes amies à qui je raconte toujours absolument tout. On est tout le temps collées ensembles, de la sortie du boulot jusqu'au soir. J'adore récolter des potins et les partager avec elle. Mais attention, si on me demande de garder un secret, je deviens une véritable tombe. Jamais je ne trahit une promesse. Jamais. Très bavarde malgré tout, je déteste rester toute seule, le silence et l'ennui. Il y a vraiment des gens qui aiment ça?


♠ Histoire : Ma vie n'a pas toujours été aussi rose. En effet, lorsque mon père a appris que je commençais à me développer dans l'utérus de ma mère, il a fait ses affaires et est parti en courant. Croyante, ma mère à malgré tout décidé de me garder, bien qu'elle ne m'ait jamais désirée. Je suis donc née dans un foyer dépourvu de toute chaleur humaine, de tout amour ou affection. Ma mère s'est occupée de moi, certes, mais se contentait de me nourrir et de me changer. Elle a refusé de m'allaiter et ne jouait jamais avec moi.

Ma mère s'est rapidement mise à boire pour oublier. Oublier que j'ai gâché sa vie. Oublier que l'homme qu'elle aimait était parti à cause de moi. Oublier que plus je grandissais, plus ses chances de trouver un jour le bonheur s'amenuisaient. Une mère célibataire a tendance à faire fuir les hommes et l'haleine de whisky n'aide pas. Elle faisait des cauchemars terribles, sa solitude, mêlée à l'alcool la laissait en proie à des crises terribles où elle hurlait mon nom avec rage. Moi, du haut de mes trois ans, seule dans mon lit, les yeux grands ouverts dans le noir, je l'écoutais déverser sa haine et son dégoût envers ce que j'étais. Il lui arrivait de me frapper également même si c'était assez rare. Je me mis à me détester. J'étais en colère contre moi-même d'être née. Je ne comprenais pas bien pourquoi mais je comprenais que j'étais un véritable problème.

Lorsque j'eus l'âge d'aller à l'école, ce fut pour moi un grand soulagement. Rester seule avec ma mère devenait insupportable. Mais d'un autre côté, j'avais peur. Et si tout le monde se mettait à me crier dessus et me frapper? Ce serait probablement mérité mais je ne voulais pas. Je fis plusieurs fugues mais je me faisais à chaque fois rapidement rattraper. Résignée, je me contentais donc de rester dans mon coin et d'observer tous ces enfants en essayant de ne pas déranger. Ils souriaient, jouaient et criaient. Il se courraient après en tenant de s’attraper ou se lançaient des balles.Ce n'était pas désagréable comparé à mon quotidien. Toutefois, j’éprouvais une certaine appréhension à l'idée de sociabiliser car je n'avais absolument aucune estime de moi. A force de voir ce que ma présence faisait à ma génitrice, j'avais fini par penser que j'étais une personne immonde, un véritable monstre qui n'apportait que le malheur avec lui. Je restais donc en retrait. J'étais assez douée en cours, n'ayant rien d'autre auquel m'intéresser. Mon côté intello m'isola plus encore des autres enfants qui se mirent à m'affubler de nombreux quolibets. Mais je m'en fichais. J'aimais bien être là, à l'école, entourée de tous mes semblables même si eux ne m’appréciaient pas.

Ce n'est que durant ma troisième année de primaire que s'effectua ma première véritable interaction sociale. J'étais en cours de sport et bien entendu, au moment du choix des équipes, personne ne voulait prendre la petite muette un peu bizarre. Choisie la dernière, je fus intégrée par défaut à l'équipe rouge pour un match de balle au prisonnier. Je fis mon possible pour ne pas être un poids pour mes camarades mais très vite, mes partenaires se firent décimer. C'est alors que je me rendis compte que j'étais la dernière de mon équipe. En face de moi, quatre grands gaillards m'observaient en ricanant, se délectant à l'avance du plaisir de me bombarder. J'entendis alors les membres de mon équipe, vaincus, qui me criaient dessus. Par réflexe, je me recroquevillai, ne voulant pas être la cible de plus d'animosité.

C'est alors que j'entendis "Vas-y!", "Défonce les!". J'écarquillai les yeux et tournai la tête. Une jeune fille me hurlait des encouragements. Puis un garçon. Et une autre fille. Ils ne m'insultaient pas, ils me soutenaient, désirant sincèrement me voir remporter le match pour eux. Je me relevai alors, toute tremblante. Le garçon face à moi me jeta la balle de toutes ses forces. Grâce à mes rapports avec ma mère, j'étais devenue une experte dans l'art d'esquiver les projectiles. La balle me frôla et alla se perdre à l'arrière du terrain. J'étais intouchable. Petit à petit, je parvins à intercepter des tirs et à éliminer tous mes adversaires. Lorsque le dernier fut touché, une explosion de joie éclata derrière moi. Le regard des autres changea alors. Quelques filles vinrent me parler pour me féliciter à la fin du cours. Je ne sus rien répondre, me contenant de rougir. Le cours de sport devient rapidement le meilleur moment de ma semaine. Je me fis quelques amies avec qui je tissai des liens assez étroits.

Lorsque le temps du collège arriva, je découvris une autre façon d'être acceptée. Mon corps se modifiait au gré des hormones et une petite poitrine pointait le bout de son nez sous mon t-shirt. Les garçon découvrirent alors mon existence comme si je venais d'apparaître par enchantement au milieu de la classe. J'aimais cela. Etre regardée, admirée, observée. Plus de haine dans le regard, plus de mépris, plus de dégoût. L'horrible monstre que j'avais été était parvenu à se transformer en quelques chose de bien plus agréable. Plus les années passaient, plus mon corps s'affinait et plus je devenais populaire. Je me mis à devenir très forte en sport, à tel point qu'on me proposa de rejoindre une classe spéciale pouvant amener à des débouchés professionnels. Mais je refusai sans hésiter une seconde. Pas question de m'éloigner de mes amies. Je ne rentrai presque plus chez moi. La simple idée de me retrouver toute seule dans ma chambre, ma mère au rez de chaussée à la limite du coma éthylique, m'était insupportable.

C'est pourquoi je me mis à fréquenter de plus en plus le monde de la nuit, les discothèques, les soirées étudiantes, les rave party... Je passais mes journées entre amies et mes nuits dans les bras des hommes que je séduisais. Mon bac en poche, je déposai ma candidature dans les clubs de fitness de la ville. C'était le meilleur moyen de gagner ma vie tout en m'entraînant. Pas question de flancher, c'est mon corps qui me permettait de ne pas dormir seule. Je fus contactée par plusieurs établissements qui voulaient toutes une femme aussi sportive et dynamique que moi. Aujourd'hui, je suis coach sportive au TOUTOUYOUTOU CLUB, la plus grande salle de sport d'Espagne ! C'est génial !




♠ Dreamland :
Le même rêve. Encore et toujours le même rêve.

La musique est forte, presque trop forte mais on s'en fout. On est là pour s'éclater ! Un verre de vodka à la main, je m'élance sur le dancefloor et je commence à me déhancher comme une folle sur les rythmes endiablés. Julia est là. Elle a mis son mascara spécial "Cils de folies" qui lui donne un regard ensorcelant. Sammy est là elle aussi, arborant un décolleté tellement plongeant qu'on pourrait se demander à quoi bon porter un t-shirt. Comme toujours, nous sommes le centre d'intérêt de tous les mâles de la salle. Je vois bien les regards suivre mes fesses à mesure que je les balance à droite, à gauche, à droite, à gauche... Jimmy siffle et lève son verre en me faisant un clin d’œil. Il est à moitié bourré celui-là. Je me le garde sous le coude au cas où je ne trouve pas mieux d'ici la fin de la nuit.

Le DJ se met à scratcher, provoquant une grosse montée d'ambiance. Tout le monde crie pour l'encourager à balancer du bon gros son qui déchire. Je ferme alors les yeux et vide mon verre d'un trait. J'ai la tête qui tourne et les oreilles qui bourdonnent. La musique me parvient de plus en plus faiblement. Je rouvre les yeux. La piste de danse s'est singulièrement vidée. Les lumières stroboscopique sont maintenant fixes et la musique n'est plus qu'un fond sonore. Les gens se regardent sans se parler et tournent les talons en direction de la sortie.

-Hey! Mais... Qu'est-ce qui vous prend. Vous allez où? Julia? Sammy? Johnny?
-La soirée est finie, tu le vois bien.
-Quoi?! Mais je... Je...

Les jeunes enfilent leurs manteaux et quittent la boîte petit à petit. Je ne comprends pas ce qui se passe mais je ne veux pas. Je ne veux pas rester ici ! Pas toute seule! Non, surtout pas toute seule !

-Attendez-moi ! Je viens avec vous ! Ne me laissez pas ici !
-Ca va ! T'es soûlante à force !
-Ouais, on t'as assez vu, arrête de nous coller comme ça !
-Mais on s'amusait bien !
-TU t'amusais bien, arrête de nous coller maintenant !
-Qu'est-ce qu'elle est chiante !

Je tend le bras vers Julia, ma meilleure amie, mais elle repousse ma main et se retourne après m'avoir jeté un regard de dégoût. La porte de la discothèque claque. Le son résonne un moment avant d'être remplacé par un silence total. Toutes les lumières s'éteignent une par une mise à part celle située juste au dessus de moi. Le temps semble s'être arrêté. Je ne distingue plus rien à part moi. Une grosse boule descend le long de ma gorge. Lorsqu'elle se libère, je mets à hurler à plein poumons. Hurler encore et encore, tandis que des larmes lourdes coulent le long de mes joues. Je ne veux pas être seule !  Plus jamais ! Pas ça ! Je suis horrible, il faut absolument que quelqu'un arrive, n'importe qui !  J'entend des bruits de pas derrière moi. Je me fige, un sourire sur le visage. Mais en me retournant, je me vois. C'est moi ! Moi quand j'avais trois ans, un nounours crasseux entre les bras. La fillette s'approche de moi et se met à rire.

-Hihi, ben sûr que t'es toute seule. Qui voudrait de toi ?! Tu es une méchante fille. C'est maman qu'a dit !
-Non ! Les gens m'aiment ! J'ai des amis !
-Mais un jour ils partiront, ils te laisseront. Tu finiras seule. Comme maman.
-Non! Non! NOOOOOONNNNN! Je suis plus que ça !
-Toi, tu es moi. Rien de plus ! Tu n'as qu'à jouer avec moi.
-Fiche moi le camp! Au secours ! Quelqu'un ! Ne me laissez pas toute seule!
-Joue avec moi. S'il te plaît.

Alors que je cours dans le vide pour tenter de m'échapper, une autre version de moi me barre la route. J'ai cinq ans et j'ai un gros coquard. Ma mère vient de me mettre une rouste.

-Tu sais bien qu'on le mérite. Nous sommes une véritable plaie. Pauvre maman, elle était si heureuse avant qu'on arrive !

D'autres représentations se mettent alors à m'entourer. J’aperçois une version vieille de moi, le teint cireux, une bouteille d'alcool à la main. Elles tiennent toutes le même discours que je ne supporte plus ! Je suis seule, je vais finir seule et je ne mérite rien d'autre. Je n'aurais jamais du naître. A genoux, entourée, harcelée par mes alter ego malheureux, je suis terrorisée. Mais je sens petit à petit ma peur se changer en colère. Je la sens, elle bouillonne en moi. C'est alors que j'explose.

-Bande de connasses ! Ecoutez moi bien, vous n'êtes que des représentations de ce que j'ai été et de ce que je pourrais devenir ! Mais c'est moi et moi seule qui décide de mon destin ! Parce que je ne suis pas qu'un enfant non désiré! Je suis aussi une belle fille !

Alors que ces mots franchissent mes lèvres, une représentation de moi apparaît en petite tenue, plus belle que jamais.

-Une fille sportive !

Je me vois alors apparaître en short et débardeur, parée de superbes muscles parfaitement dessinés, une balle de hand à la main.

-Une fille intelligente !

Pop! Encore une version de moi, cette fois-ci avec des couettes, des petites lunettes et un gros livre calé dans le creux du bras. J'énumère alors une à une mes qualités et mes défauts, ce qui provoque l'apparition de dizaines de nouvelles versions de moi. Au fur et à mesure que je prends conscience de qui je suis et que je m'assume, mes bourreaux deviennent de plus en plus transparents et finissent par disparaître dans un nuage de fumée. Je souris. Non, je ne serais plus jamais seule. Parce que moi-même, je suis une infinité de personnes. Toutes les Angel se retournent vers moi et explosent de rire. Je ne peux m'empêcher d'en faire autant. Je ris! Je ris à en pleurer, je laisse s'envoler toutes mes peurs et mon appréhension de la solitude. Je ne suis pas un monstre. Je suis une fille bien !

Les lumières se rallument une par une et me laissent apercevoir un endroit rempli de monde. C'est une ville !  Il y a des gens ! Mes avatars disparaissent les uns après les autres. Je me mets alors à courir en direction de la première personne à ma portée. C'est une petite vieille qui me regarde avec de grands yeux.

-Madaaaaame ! Bonjourjem'appelleAngeletjevienstoutjusted'arriverc'esttropbieniciyapleindemondet...
-Hoooola ! On se clame, vous parlez trop vite et je ne comprends rien !
-Hannnnn je sens qu'on va être trop copines ! C'est quoi cet endroit?
-Ici? Vous voyagez au hasard?! C'est Trampoli Parc voyons, regardez!

Elle tend le bras derrière elle et je constate que les gens se déplacent en rebondissant sur les murs, le sol et les objets. Mais ca existe pas un endroit pareil. C'est génial mais ca n'existe pas.La vieille semble voir mon regard perplexe.

-Vous êtes une nouvelle voyageuse, c'est ça ? Vous êtes à Dreamland, le monde des rêves. Vous venez ici la nuit. Il y a plein de royaumes différents.
-Mais... Comment ça je viens ici la nuit ? Vous voulez dire que je suis en train de dormir là?
-C'est ça ! Et comme, j'imagine, vous venez de vaincre votre peur, vous pourrez aller et venir ici librement à chaque fois que vous vous endormirez.
-C'est... c'est.... énooooooooorme !!!!!!

Le réveil sonne. J'ai mal au crâne.



J'aime -
1. Les gens
2. Parler
3. Sortir
4. Picoler
5. Les mecs
Je n'aime pas -
1. Être seule
2. Glander
3. Me taire
4. Attendre
5. Le piment



- Phobie : Autophobie :Peur d'être seul, peur de soi-même

- Pouvoir : Invocation de plusieurs versions de moi-même avec différents tempéraments

- Objet magique : Aucun

• Le personnage sur ton avatar : Yoruichi de Bleach
• Rang spécial désiré : Gros pot de colle #633696
• Relation prédéfinie : J'aime la spontanéité
• Code du règlement :

Derrière l'écran...
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• Prénom ou pseudo: La star
• Age: 26 ans
• Comment as-tu connu le forum ? Par un ami
• Connais-tu Dreamland ? Oui
• Depuis quand fais-tu du rp ? Aussi loin que je me souvienne
• Pourquoi as tu choisi ce forum? Et bien parce que j'aime bien Dreamland, tout simplement.
• Des critiques sur le forum ? C'est un peu tôt pour ça.
• Une remarque ? Sans vouloir être désagréable, dans le code de la présentation il y a une faute assez dégueulasse. Section Dreamland "Après quoi, a t-il était émerveillé par ce monde ou effrayé ?". Voilà, pas taper siouplait!
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