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Tag 009900 sur Dream Land Infinity RPG Newdre10Sujet: Alice Holmes, ici pour tout remettre en ordre! [Finie!]
Alice Holmes

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Rechercher dans: Présentations Validées   Tag 009900 sur Dream Land Infinity RPG I_icon_minipostSujet: Alice Holmes, ici pour tout remettre en ordre! [Finie!]    Tag 009900 sur Dream Land Infinity RPG I_icon_minitimeSam 8 Oct - 19:22

Alice Holmes
Ici pour remettre de l'ordre!

Ton personnage...
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Tag 009900 sur Dream Land Infinity RPG 1475952463-avatar-aliceholmesfiche


Nom : Holmes
Prénom : Alice
Surnom : Le nomade
Age : 20 ans
Sexe : Homme
Où habites-tu ? : Sans domicile fixe
Activité : Sans-emploi

Ton histoire...
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♠️ Description Physique :

    Le premier points qu'il faudrait abordé sur son physique est le fait qu'il soit un homme, contrairement à ce que son prénom laisse penser. Mais prenons les choses dans l'ordre:
    Du haut de ses un mètres soixante quinze, Alice semble être du genre fébrile, une brindille pouvant se briser au moindre coup. Mais derrière ce t-shirt blanc et ce long manteau vert qu'il porte constamment se cache une musculature fine et souple. Ne pouvant pas compter sur sa force brute, Alice a su exercer son agilité et son endurance que lui offrait son poids plume, si il ne pouvait pas frapper fort, il frappera précisément et encaissera comme il le peut!
    Si on remonte plus haut, on peut remarquer ses traits fins et ses yeux sous ses cheveux blanc mi-long formant un ensemble peu banal, comme sa situation on peut dire, et faisant de lui quelqu'un qui attire le regard. D'un naturel calme et confiant, cela se dégage sur son visage qui arbore souvent un légers sourire, le faisant apparaître comme une sorte de saint en exode constante.
    En effet on peut souvent le voire déambuler dans la ville où il se trouve de sa démarche nonchalante, les mains dans les poches et la tête haute.

♠️ Caractère :

    Alice est souvent considéré comme marginale, aimant profité de sa liberté, il ne reste jamais plus d'une semaine au même endroit. D'un naturel serein, il prend la vie comme elle vient sans trop se poser de questions. Généralement, le passage d'Alice quelque part laisse des marques, désespérément altruiste, il aime aider les gens qu'ils croisent et c'est souvent ainsi qu'il trouve la plupart du temps des vivres quand il ne trouve pas de petit job dans la ville où il se trouve. Que ce soit pour des petits services, consoler les peines des autres ou régler des injustices, Alice est toujours partant et ouverts. En effet, il ne supporte pas les inégalités et ne sera jamais contre une baston si c'était pour défendre un plus faible, le sourire qu'il garde alors constamment devient un sourire narquois car, malgré son excessif gentillesse, Alice ne peut pardonner quelqu'un qu'il juge mauvais et prendra même un malin plaisir à lui faire comprendre.
    Cet enclins au sadisme envers ce genre de personne remonte à ses origines londonienne. Contrairement à ce qu'on peut penser en le voyant, Alice vient d'une riche famille d'entrepreneurs de la capitale anglaise, le genre qui seraient capable de tout pour une poignée de billet sans avoir une once de scrupule. Lui qui était complètement opposé à cette façon de penser ce qui le mena à partir. Depuis il garde le silence sur d'où il vient et ses parents, refusant même de retourner à Londres.
    Tout ses voyages lui ont appris beaucoup de chose et même s'il n'a pas fait beaucoup d'étude, il prône ce que "la vie t'apprend" et a pas mal d'expérience sur le domaine. Ayant quitté sa famille très tôt pour partir au grès du vent, il a vite appris à être indépendant et débrouillard faisant de lui un parfait Robinson des temps modernes. Sachant se contenter de peu, il aime vivre des univers des autres mais ne fera rentrer personne dans le sien, univers qui se limite à son Van dans lequel il voyage et vit. Si vous essayer d'y pénétrer, c'est alors une toute autre facette d'Alice que vous pouvez découvrir, car derrière cette façade d'homme inébranlable et toujours calme se cache un maniaque de première ordre. L'avantage d'avoir peu lui permet de calmer ce trouble en lui mais le peu qui se trouve dans sa caravane est rangé par ordre alphabétique, en angle droit et loin de toutes personnes pouvant déranger sa bulle. C'est aussi pour cet raison qu'il refusera toujours le logis, ne pouvant fermer l’œil dans un endroit "en désordre".

♠️ Histoire :

    Londres, berceau de l'air industrielle, des machines à vapeur et du cliché de l'homme riche à haut de forme. Ce genre de famille cliché a eu bien sûre une descendance et parmi elle à perduré la famille Holmes. Cadet d'une famille de trois enfants, Alice naquit dans le mauvais endroit, dans la mauvaise famille. Depuis petit, ses activité son réglés comme une partition et ce dans un but: être comme papa et maman. Cours particulier, solfège et cours de boxe française "car un homme de la haute société doit savoir défendre ce qu'il a sur lui, la plèbe pourrait tout faire pour lui prendre ce qu'il a". Sur ce dernier point, il ne le regrettais pas, même si ces cours n'avait pas l'utilité qu'espérait son père.
    Il habitait avec sa riche famille dans une grande maison de Notting Hill, le quartier riche de Londres que tout le monde désire habité en Angleterre. Sa vie là-bas, il a préféré l'oublier, vivant un véritable enfer composé d'ennuie et de bonne manière. Son père était fixé sur l'éducation des héritiers de son empire, sa mère elle voulait avoir des enfant digne de leur nom et une belle famille important, le chemin qu'avait choisi Alice était pour eux une déception. Heureusement pour eux, les deux frères aînés d'Alice furent eux construit dans le bon moule d'or et d'hermine qu'ils espéraient, deux sur trois c'est déjà bien. Il grandit alors dans le silence, suivant ce qu'on lui disait de façon monotone tout en gardant sa frustration caché sous un visage blême et neutre. Il a alors vite pris l'habitude de rester seul dans sa chambre lorsqu'il le pouvait, c'était le seul endroit où personne n'essayer de le contrôler, là où il décidait toutes les règles qui y étaient institué, là où il était vraiment libre. Mais cet univers qu'il s'était érigé allait se transformer en prison, petit à petit, il n'en sortait plus mise à part pour ses cours de boxe qu'il continuait à suivre et qui lui permettait de se défouler de l'étreinte que cette prison dorée. A force de s'y isolé, il ne supportait plus qu'on touche à sa bulle, ici tout était comme il voulait bien rangé à sa façon. Lorsque ses frères essayaient d'y rentrer, il n'hésitait pas à leur montrer ses progrès en boxe, lorsque c'était ses parents, il les agaçaient tellement avec tout ses tics qu'il ne restèrent pas longtemps.

Mais ce manège ne dura pas, non car ceci peut être considéré comme le prologue de l'histoire d'Alice Holmes.

    Arrivé à ses dix-huit ans, il ne supportait plus la présence de cette famille et ce mode de vie si différents de lui. Il avait arrêté la boxe comme les cours et on pouvait le trouver soit dans sa chambre toujours impeccablement rangé soit dans les rue de Londres. C'était là-bas qu'il se sentait le mieux au final, ne supportant pas là où il vivait, il préférait être là où vivaient les autres. Cette manie de traîner dans les rues l'éloigna encore plus de sa famille et de ses tics qui s'étaient amplifier, il lui était impossible de laisser quelque chose de bancale sur son chemin, ce qu'il apprécia. Mais s'il ne supportait pas le désordre chez lui, il ne le supportait pas non plus dans la rue, il y a un ordre qu'il s'était toujours promis, les être aussi mauvais que ces parents devait resté chez eux, chez lui, et non là où il se sentait bien. Car si son père lui avait appris à se battre pour défendre sa richesse des plus faible, lui décida de s'en servir pour défendre les plus faible de ceux qui, comme ses parents, se jouer des plus faibles pour s'élever. Lorsqu'il croisait quelqu'un rackettant un jeune dans une rue sombre, il ne pouvait s'empêcher de rétablir la balance à coups de poing et de pieds. Lorsqu'il remettait à sa place un être comme ça, il ressentait un autant de soulagement que lorsqu'il redressait un tableau sur un mur. Il devint alors connu pour ses bagarres de rues, on entendait partout le noms de Holmes ce qui ne plaisait pas à la famille. Ils décidèrent alors de mettre un terme à ça, cette pseudo-liberté qu'Alice avait réussi à trouver et qui risquait d’entacher leur réputation. Un soir ils l'attendaient dans sa chambre, première erreur, chambre qu'ils avaient mis sans dessus dessous pour lui faire comprendre leur état d'esprit, deuxième erreur. Il n'eurent même pas le temps de dire quoi que ce soit qu'Alice péta littéralement un câble. Lorsqu'il reprit ses esprits, il était devant le corps de ses deux parents, évanouis, et sa chambre impeccablement ranger. Il comprit vite qu'il devait partir, il y avait déjà pensé mais jamais il n'eût jamais le courage de passer à l'acte. Il profita alors de l'état de ses parents pour subtiliser l'argent qu'ils cachaient toujours dans leur bureau et parti. Ce soir là, la vie d'Alice allait changé, mais de la meilleure des façon qu'il soit.

    Ce fut dur au début... Pourquoi se mentir, non, ce n'était pas dur bien au contraire, Alice était l'homme le plus heureux du monde! Au début il déambulait dans les rues, avantage de son côté maniaque: il n'avait pas besoin de dormir, enfin il ne pouvait pas dormir. Mais après les deux nuits blanches qui lui ont permis de quitter Londres, il tomba sur un vieux vanne d'occasion chez un concessionnaire de banlieue, le style de van combi Volkswagen dont raffolait les adeptes du mouvements hippie. Avec l'argent qu'il avait prit à ses parents, il pouvait largement se louer un petit appart et payer le loyer pendant quelques mois, trouver un job et vivre tranquillement, mais Alice refusait de rester ici. Non pas à Londres ni même en Angleterre, il était sûr que ses parents ne le chercherait pas: la somme qu'il leur avait voler ne représentait rien pour eux et ils étaient enfin débarrasser du fils honteux de la famille. Non il ne voulait pas rester au même endroit, il voulait voyager et ne pas se retrouver enfermé quelque part. Il se promis alors que l'argent allait lui servir à voyager, et cela commença par ce van vert qui lui servira de voiture, de maison, d'abris. Depuis ce jour Alice passe sa vie à parcourir les routes et aller de ville en ville, troquant ce visage fermé qu'il avait toujours par e sourire qu'il arbore constamment aujourd'hui. Il avait enfin la vie qu'il désirait. Après avoir fait le tour de l'Irlande et l'Ecosse, le voici aujourd'hui aux Etats-Unis parcourant la route 66 dans son van vert, son univers à roues toujours bien rangé.

Alice, voyageur le jour... et bientôt la nuit.

♠️ Dreamland :

    Une nuit, sur la parking d'un motel vers la Californie, un bruit réveilla Alice comme si quelque chose était tombé ce qui, dans le paradis ordonné qu'était le van d'Alice, était rare voir impossible. Il leva le bras pour attraper sa lampe torche, tâtonnant dans l'obscurité l'étagère qui se trouvait au dessus de sa tête. Il avait l'habitude de tout trouver dans le noir, chaque objet était toujours à sa place, en angle droit à 5 centimètre du bords minimum pour éviter toutes chutes. Mais là où devait se trouvait sa lampe, il y trouva ses clefs. Pour les gens normaux cela ne serait à l'ordre du détail, mais pour Alice cela voulait dire beaucoup: quelqu'un était pénétré ici.

    "C'est quoi ce bordel?"

    Instinctivement, il se leva et chercha à l'endroit où il range ses clefs. Comme il le pensait, sa lampe se trouvait bien là, comme si quelqu'un avait inversé leur place. Il l'alluma alors en trombe, replaça ses clefs où elle devaient se trouver avant de reprendre son souffle, mais il restait encore une chose, celle qui était tombé. Sa respiration recommencer à accélérer, il balaya l'intérieur de sa chambre sur roues, mais rien ne semblait en désordre. Pourtant il était sûr que quelque chose était tombé et cette idée commença à former une boule dans son estomac. Les allés retours du faisceau lumineux commençaient à accélérer dans l'enceinte du combi pour s'arrêter sur l'étagère qui lui sert de bibliothèque. Il remarqua avec stupeur dans le faisceau que "Le roman de Boddah" était rangé à la place des "Songes d'une nuit d'été" de Shakespear. Comment c'était possible? Il ne se posa pas la question non, tout son esprit était embrouillé comme l'ordre qui régnait jusqu'à cette nuit ici. Il se jeta alors sur ses deux livre pour les remettre à leur place et vérifia qu'aucun des rares livres qu'il avait étaient eux aussi inversés. Non, ils étaient tous à l'heure place. Alice dégringola sur son lit, essoufflé. Il s'essuya le front qui commençait à sévèrement dégouliner et essaya de se rassurer:

"Alice ça doit être toi... Oui tu n'as pas du faire attention... Si ça se trouve tu es somnambule..."

    Il savait que c'était faux, que quelque chose clochait... Et c'est à ce moment qu'il eut confirmation. Il crût voire du coin de l’œil un mouvement dans la pénombre. En un rien de temps, Alice était telle un inspecteur, balayant une nouvelle fois une zone de sa chambre avec sa lampe. Personne, rien non... A part peut être ses clefs qui avaient une nouvelle fois bougé et était à la place de son téléphone. La surprise et la peur le fit lâcher sa lampe, il n'osa plus bouger, comme pétrifié. Pendant qu'il était dans l'obscurité avec pour seul repère la porte de son vanne éclairée par la lampe par terre. Mais alors que le seul son qui résonnait était sa respiration saccadé, Alice senti comme une présence autour de lui. Un, puis deux et enfin une multitude de légers bruits vinrent s'ajouter à sa respiration et l'entourèrent. Il sauta sur sa lampe et lorsque la lumière avait repris son règne dans le van, Alice poussa un cri, symbole de sa surprise et sa peur: plus rien n'était à sa place. Son ordi était à la place de son oreiller, plusieurs DVD étaient parmi les livres et inversement, même la carte du monde sur laquelle il marquait son itinéraire était bancale et était affichait à la place de son poster de Nirvana. Alice en tremblait, il essaya tant bien que mal de remettre chaque objet à sa place, mais à peine avait-il le dos tourné que d'autres objets se voyaient leurs places inversés. Ses tremblements se transformèrent petits à petits en spasmes, il ne pouvait rien faire et son corps l'avait compris. Voire son univers ainsi chamboulé le plaqua à son lit, en boule et fermant les yeux, cherchant à fuir ce qu'il se passait autour de lui.

    "Arrêtez!!! Pitiez arrêtez!! Rémettez tout en place je vous en prit!!"

    Il empoignait ses cheveux trempé de sueur, tout ça lui rappelait cette nuit... Pourquoi maintenant? De telle souvenirs n'avait rien à faire dans sa nouvelle vie non.

    "Dégagez... Dégagez... LAISSEZ MOI LIBRE ET DEGAGEZ!!!"

    En hurlant ses mots, il se releva et commença à saccager ses propres étagères, renversant leur contenu sur son lit.

    "Ca vous fait plaisir de tout ruiner? Ca vous fait plaisir d'imposer votre bordel chez les autres? VOUS VOULEZ A TOUT PRIX RUINER MON MONDE ET BAH VOILA VOUS ETES CONTENT!!!!"

    Le silence revint alors, plus rien ne bougeait et Alice se trouvait au milieux de ses affaire éparpillaient sur son matelas. Il pensait vivre un cauchemars en observant de ses yeux gris écarquillés le désordre que lui même avait mis. Il se senti bizarre, comme différent. Les présences qu'ils ressentaient avait disparût. Il tendit ses mains devant lui et les fixa. Il ne savait pas encore ce qui lui était arrivé ni ce qu'il était devenu, mais il se sentait guidé par quelque chose. Il tendit alors la main vers un paquet de cartes qui avait fini sur le siège conducteur de son van et, comme possédait par quelque chose, il claqua des doigts en en ignorant la raison. Le claquement résonna et sans même sans rendre compte, il se retrouva assis derrière son volant. Avant même qu'il ai le temps de se poser plus de question, une sonnerie retentit.
    Alice ouvrit les yeux et se leva dans son lit, apeuré. Alors comme ça, tout ceci était un rêve? Pourtant tout lui avait parut si réel... Après avoir vérifié que tout était en place, il s'habilla et ouvrit la porte de son van sur le soleil américain qui baigna l'intérieur de son véhicule de lumière. Pour Alice, tout ceci ne fut qu'un rêve, mais il comprendra vite la nuit suivante que tout ceci était plus que ça...

J'aime -
1. L'ordre
2. Les voyages
3. La baston
4. Son Van
5. Les rencontres
6. Nirvana
Je n'aime pas -
1. Le désordre
2. Qu'on rentre dans son Van
3. Sa famille
4. Se fixer
6. Qu'on se moque de son prénom
5. Le Jägermeister



- Phobie : Ataxophobie: la peur du désordre.

En grandissant, Alice s'est vu développé un certains nombre de toc faisant de lui ce qu'on appelle un maniaque. Depuis la nuit où il a quitté sa famille, ces tocs se sont transformé en réel phobie, la moindre chose qui n'était pas à sa place pouvait le faire paniquer.

- Pouvoir : Le pouvoir de réorganisation.

Depuis qu'il a vaincu cette peur, Alice est capable d'échanger sa position avec n'importe quel objets ou personne dans un rayon de 5 mètre, pour l'activer il doit pointer sa cible du doigt et claquer des doigts. Avec de l'entraînement il pourra augmenter la porté de son pouvoir et inverser la position de deux objets/personnes.

- Objet magique : Nope!

• Le personnage sur ton avatar : Nagito Komaeda de Danganronpa: Goodbye Despair
• Rang spécial désiré : Le Vagabond  #009900
• Relation prédéfinie :
Vladimir Icarus:

    Lors d'une de ses excursion en Californie un soir, bien avant cette fameuse nuit, Alice fut témoins d'une agression. Une bande de lombards étaient entouré autour de deux jeunes à terre dans une ruelle. Cela faisait longtemps qu'Alice n'avait pas eût l'occasion de mettre une rouste à quelqu'un et sans même réfléchir, il interpella les individus qui étaient au nombre de quatre:

    "Hey vous! Vous devez pas être téméraires pour se mettre à quatre contre deux, surtout quand ils n'ont vraiment pas l'air costauds! Il se tourna vers les deux victimes qui semblaient mal en point, sans vouloir vous vexer les mecs!"

    A ces mots, la bande de voyous se retournèrent et, voyant la brindille qui osait leur manquer de respect, se mirent à rire bruyamment. Alice avait l'habitude de ce genre de réaction et cela lui plaisait, cela augmentera leur surprise quand il en mettra un à terre. Cela ne prit pas beaucoup de temps, il fonça vers le groupe et asséna un violent coup de pied au plus proche qui se fracassa contre le mur. Alice se redressa, fier du coup qu'il avait porté, mais une fois proche de la scène il se rendit compte de véritable état des deux jeunes à terre: ils avaient les jambes en sang, comme tailladé. Lorsque les trois coupables de ces blessures se remirent de la surprise qu'avait provoqué le KO technique de leur compagnon, ils se jetèrent sur Alice, couteaux en main, qui ne pouvait que fuir. Même s'il était habitué au combat de rue et plutôt bon, il n'avait pas beaucoup de chance de gagner face à trois homme armés. Après tout, s'il arrivait à éloigner ces types des deux autres il était gagnant. Il se perdit dans les ruelles, provoquant ses poursuivant pour être sur qu'il ne revinrent sur leurs pas, heureusement qu'il était rapide:

    "Et bien? En plus de ne pas avoir de couilles, vous n'avez pas de jambes?!"

    Il s'assurait que ces derniers ne puissent le rattraper, balançant poubelle et autres déchets dans leurs jambes, mais malgré son endurance il ne pourrait continué indéfiniment et même si il ne paraissent pas très malins, ils s'arrêteront bien à un moment pour revenir détrousser leurs victimes. Il fallait vraiment qu'Alice s'en débarrasse. Il commençait à perdre son souffle quand il se cogna contre quelqu'un. Même avec son élan, cette personne ne recula même pas et fixa Alice qui était à terre, il avait l'air de savoir se battre aussi et le jeune vagabond espérait de pas l'avoir vexé, un quatrième sur le bras n'était pas nécessaire:

    "Hey petit, pourquoi cours tu comme ça?"

    En entendant ces mots, Alice était au fond de lui rassuré, il sentait que ce gars n'était pas mauvais. Ce dernier l'aida à se relever pendant que les trois agresseurs le rattrapèrent. Étrangement, ils n'eurent pas besoin de s'expliquer et après s'être échanger un simple regards. Ils se lancèrent à deux dans la baston: à deux contre trois les forces était bien plus égales et après quelques échangent de coups les trois finirent à terre. Depuis cette nuit, les deux hommes se croisèrent encore deux ou trois fois. Ils ne discutèrent pas souvent mise à part après avoir rétamer quelques mecs, mais les bagarres de nuit qu'ils partageaient étaient beaucoup plus intense que n'importe quelle discussion. Ce Vladimir Icarus est surement la meilleur rencontre qu'il fit en Californie!

• Code du règlement :

Derrière l'écran...
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• Prénom ou pseudo: Moi c'est Nicolas!
• age: 19 ans ( J'tappe les 20 en décembre!)
• comment as-tu connu le forum ? Google
• Connais-tu Dreamland ? Mon chat s’appelle Sabba et j'ai son pinceau tatoué sur l'épaule mais non pas trop Very Happy
• Depuis quand fais-tu du rp ? 2-3 ans peut être
• Pourquoi as tu choisi ce forum? Parce que Dreamland?
• Des critiques sur le forum ? Avec la présence d'un Watson et l'arrivé d'un Holmes, il manque maintenant un Moriarty!
• Une remarque ? Oui, le pouvoir de mon perso est comme Trafalgar Law de One Piece! (Sans le côté je découpe tout)
Tag 009900 sur Dream Land Infinity RPG Newdre10Sujet: Very Bad Trip~FINIIII. (-18)
Saul Silver

Réponses: 2
Vues: 666

Rechercher dans: Présentations Validées   Tag 009900 sur Dream Land Infinity RPG I_icon_minipostSujet: Very Bad Trip~FINIIII. (-18)    Tag 009900 sur Dream Land Infinity RPG I_icon_minitimeLun 17 Aoû - 22:25

Silver Saul
"Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d’être un homme."

Dans le terrier du lapin blanc...
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Tag 009900 sur Dream Land Infinity RPG 11752410


Nom : Silver
Prénom : Saul
Surnom : Halucinogen-Boy.
Age : 18 ans.
Sexe : 23 centimè... *hum*
Où habites-tu ? : Nîmes, France.
Activité : Teufeur à plein temps.


A drug addict's story.

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♠ Description Physique : La police entra dans la pièce, ou plutôt dans le capharnaüm qui servait de piaule à Saul, le plus jeune inspecteur s'avança vers la fenêtre ouverte puis se tourna vers la table. Sur celle-ci était posé un polaroïd (vous avez dit Hipster?) d'où dépassait un petit morceau de papier, c'était une photo de lui.

Un jeune adolescent aux traits marqués, grimaçant comme à son habitude, les pupilles plus dilatées que l'organe génital de Paris Hilton. Ses cheveux châtains retombant en de longues mèches colorés azur comme la lapis aux extrémités rendirent l'identification plus complexe. On y distinguais pourtant ses écarteurs et ses piercing, un à chaque oreille et le reste autour de sa bouche étirée en un mesquin sourire non sans rappeler un certain morpheur papillon de nuit...

Son nez épatés semblait comme le détail gâchant un tableau, car il était plutôt beau garçon, si ce n'était son teint pâle, il rentrait dans les critères de beauté de ce triste siècle dans lequel il fallait répondre à certaines exigences pour exister:
Une mâchoire carrée à souhait, des traits fins comme si ils étaient dessinées au crayon, le tout s'alliant parfaitement à ses épais sourcils de star de cinéma.

Mais quelques chose à la vue de cette photo ressortait, quelque chose de malsain... il avait l'air d'un enfant malgré ses attraits virils, et connaissant le personnage cela en devenait presque glauque. Le jeune enquêteur reposa la photo sur la table ou jonchait des mouchoirs au contenu suspect, eux-mêmes posé sur des restes de traces de speed et des miettes d'herbe de tabac et froid qui embaumait la pièce.

Ce dernier se dirigea alors vers le placard en prenant soin d'esquiver la bassine où le toxicomane avait semble-t-il déglutis (pour ne pas dire qu'il avait vomis ses tripes). Quand il ouvrit l'armoire un monceau de tissus et de vêtements tâchés lui tomba dessus, parmi eux se trouvait t-shirts à motifs humoristiques, métaleux, geeks, et tribes... ainsi qu'un lot de sarouels et de baggys tout aussi loufoques. A croire que c'était lui qui gérait les stocks de Goéland (Rpz le meilleur site de fringue en ligne...).

Il semblait s'habiller en S, il ne devait pas excéder le mètre soixante et dix, au vue des plis qu'avait pris les vêtements, il devait avoir une corpulence respectable, ni trop épais ni trop fin. Au fond du placard une seule veste tenait sur un cintre. Une veste en Jean bleu avec un patch des Pink Floyd cousus à la poche. Quand il l'attrapa une carte de visite s'en échappa. L'homme la ramassa, c'était une carte de tatoueur/perceur de Nîmes. Le policier la tourna et lu dans un rire étouffé l'inscription que Saul avait pris soin de laisser "Fuck Da Police"

♠ Caractère : Monsieur Narval, notre jeune flic en charge du dossier de Saul restait bouche bée face à l'insolence de Saul, c'était depuis le début de sa carrière le plus couillu des jeunes qu'il avait poursuivi. Il n'en avait ce jour là pas seulement dressé l'aspect physique mais également le portrait psychologique. Le psychologue sur le terrain le qualifiait d'émotionnellement instable au vue des objets détruits volontairement au sol. Quelqu'un d'impulsif qui pouvait se révéler violent, ce qui étais vrai mis à part pour la violence, il ne s'attaquerais jamais à un être vivant comme le prouvait les plantes vertes entretenue sur le bureau du jeune homme ainsi que le hamster en parfaite santé dans sa cage. Il avait juste besoin de se passer les nerfs de temps en temps...

Madame Silver, sa grand mère, en larmes répondait aux questions que les inspecteurs lui posait mais étais dépassée par la situation, elle ponctuait chaque réponse par "vous savez c'est un gentil garçon" (et c'étais le cas...) ou bien "c'est pas de sa faute il n'a pas connu ses parents" (C'étais tout aussi vrai...) et enfin "j'ai fais de mon mieux pour l'élever...".

Les policiers consciencieux et compréhensif (lol) lui répondirent qu'il comprenaient et qu'ils voulaient bien la croire. Mais en réalité il ne l'entendaient pas de cette oreille et stigmatisaient le pauvre Saul en le rangeant dans la même case que les autres "délinquants". Faut dire qu'en ces temps il est difficile d'en trouver un ouvert d'esprit... (ça c'est cliché... Mais c'est ça qu'on aime). Et pourtant parmis eux, un, un seul était prêt à croire la pauvre grand mère anéantie, monsieur Narval.

Il s'avança vers elle, il voulait en savoir plus sur le garçon... Elle commença à décrire Saul comme quelqu'un plein d'esprit et surtout ouvert d'esprit, un garçon en recherche de lui même qui avait eu de mauvaises fréquentation au mauvais moment. Car aussi intelligent soit-il il n'en étais pas moins influençable. Ce qui étais assez contradictoire avec Saul c'est qu'il était pointilleux et toujours à ce qu'il faisait, jamais éparpillé, appliqué à la tache et précis.

Elle n'en dit pas plus, pour protéger son petit fils...

Elle avait en effet volontairement omis de parler de sa consommation régulière de toute sorte de psychoactifs... Qui lui permettais entre autre de s'évader mais de chercher quelques chose dans sa tête. Il se sentais en connexion avec l'univers et il pensait que les coups de génie que lui offrait le lsd le mènerais loin dans la vie... C'était juste un allumé de plus au royaume des allumés, un junkie... lui il avait sa façon de le dire, dans sa tête c'étais un voyageur du psychédélique, ou encore un teufeur banale pour rester modeste... Non la modestie ça il connait pas, en réalité il se faisait appeler "roi des teufeurs"

"Ne vous inquiétez pas, nous allons le retrouver"

Ouais ça parait idiot comme ça... Mais Saul avait simplement fugué, et sa ligne étant sur écoute il avait un peu trop attiré l'attention...il n'étais impliqué dans aucun meurtre ou n'était pas au entre d'un cartel de drogue... C'étais juste un petit con de 17 ans qui allait sur ses 18... Retenez surtout de lui ses sautes d'humeurs, son orgueil et son insolence...

♠ Histoire : Je crois que tout prédestinais Saul à devenir ce qu'il était, et si avant de partir les inspecteurs et le psychologues avait pris la peine de regarder le carnet ouvert au sol, ils aurait un peu mieux saisi à qui ils avaient à faire, car dans celui-ci se trouvait toute  sa vie :

"Journal de Saul Silver, dans mon délire psychédélique, il me vint dans un flash provoqué par le tip, le visage d'une femme, elle devait être ma mère, et la voix d'un homme qui pourrait être mon père. Je les ai longtemps cherché, ils m'ont longtemps hanté.

J'avais 4 ans quand ils sont mort dans cet accident de voiture, ce jour là, j'avais découvert ce qu'étais "la mort". Mais j'eus bien le temps de le concrétiser, car bientôt tous se mirent à mourir autour de moi, cette fille dont j'étais amoureux, puis mon pépé...

Autant d’évènements qui firent que je grandis subitement, et dès lors, avec mes résultats scolaires plus qu parfait, je me prédestinais à de brillantes études jusqu'à aujourd'hui..."

Cela s’arrêtait la, mais cela résumais parfaitement ce qu'aurais pu être sa vie si, ponçant les bancs du Cdi de son collège avec tout ses livres fautes d'avoir des amis... Si il n'avait pas ce jour là tenu dans ses mains un livre sur les rites shamaniques et un autre sur la botanique qui attirèrent l'oeil de Maxime.

Maxime c'étais un gars qui ressemblais beaucoup à Saul, sauf qu'il avait grandit avec des parents stonner à deux cents pourcents. Il venait au cdi parce que disait-il on ne l'emmerdait pas quand il était gelé. Et ce jour là il vint vers Saul.

Saul lui il s'en souvenais, ils étaient ensemble en cm2 que Maxime avait redoublé deux fois ! Mais c'est pourtant ce jour là que leurs destin se croisèrent pour faire un bon bout de chemin. Et il l'emmena fumer, Saul n'aima pas de suite, crapotant, puis quand Maxime lui expliqua comment faire, il toussa. Mais il se sentit soudainement comme du beurre au sommet d'une bonne grosse pile de pancakes. C'est ce jour là ou il s'était fais deux amis inséparables, Maxime et le THC.

De fil en aiguille il commencèrent à aller en teuf, à faire des fêtes. Les notes de Saul elles, dégringolèrent. Mais il s'en foutait, il s'éclatait tellement.

Mais ce fut au tour de Maxime de le quitter, son coeur ayant laché à cause des  amphétamines, Saul du faire face à la triste réalitée, ils étaient juste deux paumés... du moins il était le seul paummé... Il venait de perdre son seul vrai pote !

La réalité lui revint à la gueule comme une bonne grosse tartes pour le réveiller, il était seul, il n'allait plus au lycée fautes de s'être fais emmerder par les profs et la vie scolaire à cause de sa consommation de "cannabis" si seulement ils savaient tout ce que ce con de Saul se mettait dans la tête.

♠ Dreamland : Cette nuit devait être mémorable, c'était la nuit en l'honneur de Maxime, sauf que Saul anéanti tomba dans l'excès, et il ingurgita simultanémment une quantité importante de Lsd, des champignons, et des ecstasy et un peu toute les merdes qu'il trouva en teuf. L'avantage avec la teuf, mis à part le son, c'est le prix de la came. Et Saul puisant sur les fonds que lui avait laissé ses vieux avant de crever, il préférait tout de même économiser, il avait de quoi faire la fête jusqu'à ce que la drogue l'emporte lui aussi... Cette nuit se coupa net à ce moment là... La seule chose dont il se souvint c'est d'avoir dit un truc du genre "J'arrive mon frère!"

Et là, là descente aux enfers, le bad trip de trop, et trop puissant, il en avait déjà fais, mais ça c'était le plus impressionnant et le plus dur de toute son existence. Si bien qu'il se créa une véritable phobie, celle de tous les psychoactifs qu'il avait pris. Il se mit en boule seul dans la forêt et commença à hurler, il était tétanisé, en sueur, il sombrait dans les tréfonds de la folie furieuse. Et tandis qu'un mal de crâne plus puissant que n'importe quel migraine ou maladie s'acharnait sur lui, il pleurait tous ces gens qu'il voyait mourir au loin.

Son mauvais trip l'avait emmené au bord d'un précipice, pas physiquement, mais dans sa tête, il se voyait tomber, sans discontinuer, il tombait. Dans un trou sans fond il s'enfonçait. Ses pires cauchemars l'y attendait... Il hurlait, toujours plus fort, si bien que les plus conscient de ses amis vinrent le chercher, mais à reculon... Saul les effrayaient. Personne ne savait de quoi il était capable dans cet état là. Et tous redoutait le moment de son salut, celui ou la mort viendrait le ceuillir tel une vulgaire capsule de pavot qu'il aimait tant fumer.

Tant mal que mal, on ramena sa carcasse chez lui, ou sa grand mère presque aussi terrorisée que lui l'attendait en pleurs... Elle n'osait pas le menacer ou l'engueuler de peur qu'il ne se sente que plus mal. Mais dans son délire, il la voyait le battre l'insulter et le renier et il balança un "MMLKT'façonn... J'vaisGn Fuguer..."

Puis il se rua dans sa chambre, mais tous lui rappellait sa situation, ces bongs, ces sachets à moitiés pleins de toute sortes de saloperies !

Il venait de le penser ! c'étais de la saloperie ! Et il en avait la nausée, c'est comme si il venait de comprendre qu'il avait passé sa vie entière à se mentir, à mentir aux autres, il n'avais jamais vraiment été lui...

Il commença à se faire vomir et à se moucher pour rejeter toute cette merde qu'il avait accumulé ! Il détruit de rage tous ce qui avait un lien avec son ancien lui... Puis à bout de force il s'écroula à moitié dans sa bassine.

Il apparut dans un étrange monde ou rien n'avait de sens.


"BIENVENANT A DEEELIRIIIOOOOMMMEUU SSSSITTTYYYYY!"

"aaaarhh... ma tête, qu'est-ce qu'il se passe ?" dit il à l'espèce de créature informe qui venait de l'acceuillir...

Puis il fut réveillé par les voisins qui alerté par le vacarme forcèrent la grand mère à appeller la police, mais elle donna un faux motif, il fallait le faire accuser de fugue.

Mais lui se rendormit aussitôt.

Il était complétement arraché, il ne savait même plus qui il étais, tout ce qu'il savait c'est que l'idée de retoucher à de la drogue le terrifiait, pourtant il flottait sur un champignon lui même sur un lac de lsd, entouré de pied de beuh poussant sur une dune de cocaine.

Il pleurait, c'est tout ce dont il étais capable, ce qu'il avait chéri des années durant était devenu sa phobie. La peur allait jusqu'à provoquer des symptomes physiques... Comme ceux que pouvait ressentir les gens accrocs aux meths. Des démangeaisons si intense qu'il s'en grattais jusqu'au sang.
Il ne pouvait plus fermer les yeux, comme si les drogues l'en empêchait... Il ne savait pas même comment échapper à ce cauchemars.

Un cau...
Un cauchemars...
Un cauchemars...

Et tout pris une envergure différente.

Tout ça n'étais qu'un cauchemars, simplement, c'était à lui d'en faire un rêve comme il l'avait fais dans sa vie.

Toutes ces drogues, elles étaient une bénédiction, comment avait-il pu en douter ? il l'avait pourtant si longtemps prôné... Pourquoi s'en priverait-il ? La suite vous vous en doutez, avec ce qui lui restait de neuronne il se fit apparaître un maillot de bain (prévisible?...non ?) et plongea dans la mer de Lsd, ingéra les champignons et fuma l'herbe...

Saul venait en devenant un voyageur de sauver sa vie, ce serait l'endroit ou il viendrais désormais faire la fête et se déchirer sans conséquence sur sa santé, et il pourrais enfin reprendre une vie plus ou moins normale... mais ça il n'en étais pas encore conscient !...

Mais bientôt la voix d'une vieille dame le réveilla, sa grand mère ! Elle tapait à la porte en disant "La police arrive!!!"


Et Saul complétement ensuqué trouva assez de force pour sortir par la fenêtre.


Il aime -
1. Le Lsd.
2. Les champignons magiques.
3. Sa Mamie.
4. La teuf.
5. Les filles.
Il n'aime pas -
1. Les Bad.
2. Les mauvaises redescentes.
3. L'idée qu'il fais du mal à sa Mamie.
4. Les gosses qui vont en teuf.
5. Les poufiasses

- Phobie : Suite à un Bad trip, une phobie naissante des psychotropes se révèlent chez Saul, malheureusement pour sa santé, il combat cette phobie le jour même.

- Pouvoir : Controleur des Psychotropes. Il sera en mesure de contrôler différents produits stupéfiant, à son avantage ou au désavantage de l'ennemi.

• Le personnage sur ton avatar : Nom inconnu, Original Character by Atlasky.
• Rang spécial désiré : "Roi des teufeurs" avec le Roi en #009900 le des en #ffcc00 et le teufeur en ff0000
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